Les chars russes sur l’avenue des Champs Élysée, cela aurait eu de la gueule mais le ministre Shoigu a levé les bras en signe de désappointement lorsqu’on lui a demandé si la Russie allait gagner la guerre. Le déroulement de l’opération spéciale s’emboîte de plus en plus dans l’agenda globaliste avec pour conséquence directe le renchérissement de l’accès au ressources primordiales ( pétrole, gaz, électricité , alimentation, etc ), cause d’appauvrissement des populations d’Europe . Le bilan en termes de morts est bien supérieur à toutes les catastrophes naturelles mises sur le compte du dérèglement climatique. L’Europe est éclaboussée par le sang de centaines de milliers de soldats morts au combat pendant que ses citoyens, au mental en carton pâte, se préoccupent d’accroître leur prospérité en décroissance sur fond d’inflation galopante et d’immigration-invasion ou tentent d’assurer leur survie dans le contexte oppressant de sociétés en tension perpétuelle, soumises à la réinitialisation du monde. On attendait des vainqueurs de la grande guerre patriotique qu’ils étrillent une armée ukrainienne équipée de matériels militaires obsolètes avant que l’OTAN ne vienne pallier ces carences en l’approvisionnant en armes et munitions.L’OTAN pris court,l’Ukraine aurait capitulé en 10 jours. L’attentisme russe a donné l’opportunité à l’OTAN d’organiser l’aide à l’Ukraine. L’état major ne pouvait ignorer que ce genre de tergiversations pouvait s’interpréter comme un aveu de faiblesse et entraîner la Russie dans une guerre longue au prix du sacrifice de ses soldats. Tout le monde n’est pas Hitler. La Russie n’a obtenu le contrôle que de 2 républiques. Elle doit démontrer qu’elle est capable d’assurer sa sécurité en s’assurant la maîtrise du littoral par la prise d’ Odessa ! Elle doit faire honneur à ses morts. Des dizaines de milliers de jeunes garçons y ont laissé leur vie dans ce bourbier créé par l’inertie initiale. Tout ce qu’ils avaient, c’était la fougue de leur jeunesse mise au service d’un pays qui avorte en masse et vante l’un des plus faibles taux de natalité au monde. C’est le signe d’une occidentalisation outrancière des mœurs qui se reflète dans une fascination accrue pour les innovations technologiques, considérées comme autant de manifestations de la modernité qui sert de fil directeur à la société russe, au détriment du désir de procréer pour créer le foisonnement de la vie, gage de foi en l’avenir.
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