Le côté positif de la crise dite du covid c’est qu’elle aura révélé la corruption totale du système politique, et mis au jour son pourrissement.
RIP la dignité du Conseil constitutionnel.
Le gouvernement n'attend même plus la publication de ses avis. https://t.co/Eg7Oe3OYUv
— Juan Branco (@anatolium) January 20, 2022
@andrebercoff : "Ça y est ?! Le #PassVacinal va entré en vigueur lundi. Mais je croyais que le #Conseilconstitutionnel avait été saisi par des députés et sénateurs... Montesquieu réveille toi, ils sont devenus fous... ou mous !"
https://t.co/yZGUFXXB0q pic.twitter.com/EbbPqw6HhH
— Sud Radio (@SudRadio) January 21, 2022
Pour beaucoup de Français qui y croyaient, c’est fini. Et ça, c’est bon pour les années futures. Et c’est tout sauf de l’ironie.
Ceux qui pensaient que le CC constituerait un rempart contre l’ignominie et l’injustice en seront pour leurs frais. Les Fabiusiens ont même validé la vérification d’identité par les cafetiers. Les Français n’oublieront pas, pour un nez qui coule, cette scélératesse.
On a vraiment des génies aux manettes !
Le #PasseVaccinal est autorisé par le Conseil Constitutionnel le jour où l'OMS le déconseille. du grand Art ! https://t.co/ezTi9HfA5b— Leroux Arthur (@LerouxArthur10) January 21, 2022
Le Conseil constitutionnel a validé ce 21 janvier l’essentiel du projet de loi instaurant le pass vaccinal, selon l’AFP. Ce nouveau dispositif, remplaçant le pass sanitaire, doit entrer en vigueur lundi 24 janvier.
Le 20 janvier, le Premier ministre Jean Castex annonçait que le très controversé pass vaccinal remplacerait le 24 janvier le pass sanitaire, sauf décision contraire du Conseil constitutionnel, qui avait été saisi par des députés et sénateurs de l’opposition. Le Conseil constitutionnel a finalement validé la plupart des dispositions du projet de loi, rapporte l’AFP ce 21 janvier, y compris les possibles vérifications d’identité par les cafetiers ou restaurateurs, au nom de l’objectif de « protection de la santé » face à l’épidémie de Covid-19.
Les Sages ont toutefois censuré la possibilité, pour les organisateurs de meetings politiques, de demander un pass sanitaire aux participants.
[...]
Dès l’entrée en vigueur du pass vaccinal le 24 janvier, il faudra pouvoir justifier pour les plus de 16 ans d’un statut vaccinal afin d’accéder aux activités de loisirs, restaurants et bars, foires ou transports publics interrégionaux. Un test négatif ne suffira plus, sauf pour accéder aux établissements et services de santé.
Le Conseil constitutionnel souligne que le pass vaccinal ne constitue pas une obligation de vaccination
Les Sages de la rue Montpensier notent que les dispositions sur le pass vaccinal « ne sauraient être regardées, eu égard à la nature des lieux et des activités qui y sont exercées, comme instaurant une obligation de vaccination ». Les mesures concernant le pass doivent être « strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus » et il y sera « mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires », ajoutent-ils, le projet de loi prévoyant une application possible jusqu’au 31 juillet.
Concernant les vérifications d’identité par les cafetiers, restaurateurs, dans les cinémas ou encore les théâtres en cas de doute sur le détenteur d’un pass, le Conseil estime qu’il ne s’agit pas d’un contrôle de police administrative. « Le refus de la personne de produire » un document officiel comportant sa photo « ne peut avoir pour autre conséquence que l’impossibilité pour elle d’accéder à ce lieu », appuie-t-il.
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Pour mémoire
Laurent Fabius a été le deuxième Premier ministre de François Mitterrand, en 1984, lors du tournant dit de la rigueur, qui n’est qu’un alignement sur l’économie de marché, et donc la fin du socialisme à la française. C’est aussi la date de naissance de SOS Racisme, cette obédience sioniste.
Fabius est aussi à l’origine de la loi Gayssot qui réprime la contestation de crimes contre l’humanité, mais qui concerne surtout la persécution des juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Gayssot n’a été qu’un prête-nom, d’où l’autre appellation, loi Fabius-Gayssot. Cette loi perverse a permis de brider la liberté d’expression en France, puisque le pouvoir sioniste s’en sert comme bouclier absolu.
Fabius, qui n’a pas pu devenir président de la République, à cause de la terrible affaire du sang contaminé, se consolera avec des postes ministériels, dont le Quai d’Orsay sous Hollande, où il s’illustrera de manière incroyable en soutenant les djihadistes, certes opposés à Bachar al-Assad, mais qui organiseront des attentats sur le sol français.
Fabius, désormais, malgré ces faits d’armes révoltants, c’est la présidence du Conseil constitutionnel, qui valide donc la loi intolérable, indéfendable, même d’un point de vue juridique – on ne parle même pas du point de vue sanitaire, totalement disproportionné –, imposant le pass vaccinal, qui crée de fait une ségrégation parmi les Français. Soit l’effondrement moral de cette cour suprême à la française, et de tout notre système politique attenant. Il n’y a plus d’égalité entre les citoyens, donc plus de République. Les conséquences de ce vote contre toute une nation pour les intérêts de quelques-uns – l’oligarchie – sont incalculables, politiquement s’entend. Les Français mettront peut-être du temps à le comprendre, mais il s’en apercevront un jour.