Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Le chant du cygne du moment macroniste

Jusqu’où le RN peut-il monter ? La question inquiète les sortants au point que des rumeurs de tractations secrètes circulent concernant une éventuelle et inédite coalition. Au lendemain du premier tour, Emmanuel Macron n’est même pas parvenu à imposer une position claire sur la question des désistements à son propre camp. Analyses.

 

 

En dépit d’une résistance partielle en nombre de voix, nous avons assisté à l’écrasement du bloc présidentiel qui a été pris entre l’impitoyable marteau de la droite incarnée par le Rassemblement national et l’enclume de la gauche. Confus et déconnecté, le macronisme finit recroquevillé sur ses bases les plus réduites, concentré dans la France du granite chère au politologue André Siegfried. Cette dissolution précipitée voulue par Emmanuel Macron aura réduit son action à un septennat, forme de retour à la normale historique de la Ve République, car le président ne peut plus l’emporter. Tout juste peut-il encore essayer d’empêcher son adversaire du Rassemblement national d’obtenir une majorité absolue, qui, si elle ne lui est pas encore acquise, lui tend plus que jamais les bras… Les enseignements d’un scrutin historique.

Le Rassemblement National et la gauche LFIsée :
les seuls à avoir encore des baronnies locales

Dans un contexte de polarisation de la vie politique, le scrutin majoritaire à deux tours favorise les offres politiques les plus marquées au premier tour. On a pu le constater avec les élections de 38 députés du Rassemblement national le 30 juin au soir, parmi lesquels se trouvaient de nombreux cadres connus du parti bénéficiant de la mention « vus à la télé ». Citons notamment des personnalités médiatiques comme Marine Le Pen elle-même, Sébastien Chenu, Laure Lavalette ou encore Julien Odoul. Le Rassemblement national dispose désormais d’une série de fiefs d’où il est indéboulonnable. Majoritairement situés dans le nord, le nord-est et le sud-est du pays, ils sont aussi présents en Gironde avec Edwige Diaz, en Occitanie avec Nicolas Meizonnet ou Aurélien Lopez-Liguori. Ces baronnies sont autant de points d’ancrage et de progression pour la formation menée par Jordan Bardella, irradiant sur les territoires limitrophes.

Une même réflexion peut être formulée à l’égard de La France Insoumise qui dispose de circonscriptions extrêmement fidèles, quasiment toutes comprises dans les banlieues parisiennes dites « rouges ». Les cadors de La France Insoumise, proches de Jean-Luc Mélenchon, ont pour la plupart déjà validé leur ticket pour le Palais Bourbon, à l’image de Sébastien Delogu, Clémence Guetté, Danièle Obono, Carlos Bilongo ou Bastien Lachaud. Ce fut bien plus difficile pour les sbires candidats à leur réélection dans des circonscriptions rurales ou périurbaines. Une personnalité importante telle que celle de Fabien Roussel, actuel dirigeant du Parti communiste, en a fait les frais. Gagnant in extremis en 2022 dans une circonscription du Nord qui place Le Pen en tête à tous les scrutins nationaux depuis 2012, le communiste a été sèchement éliminé dès le premier tour par Guillaume Florquin du Rassemblement national. Dans une enquête publiée par Libération[1], le témoignage d’un habitant indique bien ce qui a présidé au choix des électeurs de la 20ème circonscription du Nord : « J’aurais bien voté Roussel, c’est communiste depuis 60 ans ici. Mais je n’aime pas les gens de LFI quand ils parlent, ils sont agressifs et vulgaires, à la limite du manque d’éducation ».

Dans la première circonscription de la Somme, François Ruffin a pareillement fait les frais de la stratégie communautariste et agressive de La France Insoumise. En ballotage défavorable derrière Nathalie Ribeiro-Billet, le porte-parole de Picardie Debout est une de ces victimes collatérales de la fuite en avant mélenchoniste qui continue de profiter au Rassemblement national, bien installé dans les anciennes circonscriptions ouvrières de la gauche en rassemblant d’anciens électeurs de la gauche modérée, du Parti communiste, mais aussi du centre et de la droite. Un tour de force qui a commencé entre 2007 et 2012 et qui atteint aujourd’hui son plein potentiel, dans le nord comme dans certains départements du sud (Hérault, Gard et Vaucluse).

 

 

Des revers de fortune du scrutin majoritaire à deux tours :
un « front républicain » inefficace et anachronique ?

Longtemps cruel pour le Rassemblement national, le scrutin majoritaire à deux tours pourrait devenir son principal atout. En 2022, déjà, le parti de Marine Le Pen avait surpris en faisant élire 88 députés sous ses couleurs, bénéficiant notamment d’importants reports de voix des électeurs centristes dans les duels l’opposant à des candidats de LFI, mais aussi du découragement d’une partie des électeurs de gauche quand il leur était sommé de voter pour des candidats sortants de la majorité honnie. Cette énorme progression avait d’ailleurs empêché Emmanuel Macron d’obtenir une majorité absolue, conduisant deux ans plus tard à la situation que nous connaissons présentement. Avec la participation en hausse, le Rassemblement national est passé de 4.248.626 voix en 2022 au premier tour des élections législatives à 10.628.312 voix – en incluant les candidats présentés par Éric Ciotti – en 2024. En regardant dans le détail des circonscriptions, il n’est pas rare de trouver des candidats qui ont littéralement triplé leur score de 2022, passant par exemple de 7 000 électeurs en leur faveur à 21 000 dès le premier tour. C’est une performance colossale qui indique la mobilisation fervente des électeurs de ce bloc, mais aussi l’arrivée d’anciens abstentionnistes et d’électeurs du centre et de la droite. Le Rassemblement national est donc un vote porteur d’espoir pour un tiers du corps électoral, considérant par ailleurs qu’il a encore des réserves puisque Marine Le Pen avait enregistré plus de 13 millions de voix au deuxième tour de l’élection présidentielle 2022.

De l’autre côté, la gauche a aussi progressé du fait de la participation accrue. Elle passe ainsi de 5.826.202 suffrages exprimés à 8.974.463 sous son incarnation actuelle du Nouveau Front Populaire, et ce en dépit d’immenses dissensions qu’elle exhibe constamment au public depuis trois semaines.

Quant à la majorité dite présidentielle, elle « gagne » quelques électeurs, ou disons plutôt qu’elle en perd moins que prévu avec une participation en hausse, puisqu’elle compte 6.425.525 voix contre 5.857.561 en 2022. Dominé par la gauche, le bloc présidentiel se retrouve donc en fâcheuse posture dans de nombreuses circonscriptions, régulièrement troisième des triangulaires avec le Rassemblement national en tête et le Nouveau Front Populaire en seconde position – par ailleurs souvent représenté par un candidat insoumis, ce qui complexifie encore grandement leur tâche.

Reste que le « danger » de la situation, qui voit le Rassemblement national très près d’obtenir une majorité absolue, a fait réviser les plans d’un camp présidentiel écrasé dans un étau. Ainsi, la doctrine du « ni-ni » qui aurait très sûrement prévalu avec un bloc de droite moins puissant est désormais remplacée par une stratégie de désistement généralisée afin de diminuer le futur contingent de députés du Rassemblement national. Quasiment tous les candidats du bloc présidentiel arrivés en troisième position se désisteront si le Rassemblement national est en mesure de gagner, sans même un regard pour l’identité et les idées des candidats du Rassemblement national auxquels la gauche sera confrontée. Il faut bien dire qu’Emmanuel Macron avait très mal calculé son coup. Il est fort à parier que lui et ses conseillers ont jugé que la gauche partirait désunie sans La France Insoumise avant de dissoudre, ce qui aurait mécaniquement augmenté le nombre de ballotages favorables au camp présidentiel qui avait en 2022 plus de chances de l’emporter contre le Rassemblement national que n’en avait la gauche. Dans des départements comme l’Isère, par exemple, on constate que la majorité augmente en voix par rapport à 2022 (bien moins que le RN qui dans ce type de circonscriptions double ou triple) et se retrouve troisième de peu derrière la gauche, avec souvent des Républicains à 6 ou 7 points. En fait, le pari d’Emmanuel Macron aurait pu réussir si le NFP n’avait pas été jusqu’à La France Insoumise et s’il avait mieux négocié son coup avec Gérard Larcher. Le niveau d’impréparation des « stratèges » élyséens est, à dire vrai, assez comique.

Car, rien n’indique que leurs électeurs se reporteront sur la gauche dans le cadre de duels avec le Rassemblement national. Au contraire, dans certains territoires où le centre est sociologiquement de droite, le rejet d’une gauche extrémiste qui a, selon les propres mots des proches du président de la République, « bordélisé » la France durant deux ans, est immense. Comment expliquer à un électeur lambda du centre que Madame Laure Lavalette est plus « dangereuse » pour ses intérêts bien pensés que Monsieur Louis Boyard ? C’est totalement absurde. Si à gauche, les électeurs suivent généralement les consignes, en dehors d’une partie de l’électorat insoumis et trotskiste qui en toute logique marxiste ou complotiste ne fera pas de différences entre les partis soumis selon eux à la « bourgeoisie », les électeurs dépolitisés de l’astre mort macroniste n’auront sûrement pas ce type de préventions dans toutes les circonscriptions qui n’ont pas une culture politique foncièrement hostile au parti de Jordan Bardella.

Et ce d’autant plus que le facteur local a très peu joué dans ce scrutin du 30 juin. Les électeurs s’étant en moyenne déterminé à 75 % selon des critères de politique nationale, comme l’indique un sondage Harris. De quoi mettre en danger d’éminentes personnalités politiques comme Charles de Courson, Laurent Wauquiez ou Emmanuelle Ménard.

Lire l’article entier sur causeur.fr

Philippot, relayé par Afrique Média : destituer Macron

 

Le communiqué du CRIF en entier

Fidèle à ses engagements historiques, le Crif appelle les Français à se mobiliser pour empêcher l’arrivée au pouvoir du Rassemblement National en votant massivement pour les candidats de partis démocratiques et républicains, et à refuser catégoriquement toute compromission avec La France Insoumise.

Face à la menace d’une majorité absolue du RN, LFI ne fait pas partie de la solution mais du problème. Ses provocations antisémites et sa stratégie du chaos, en alimentant les peurs des Français, ont fait du rejet de LFI le carburant électoral de la montée du RN.

La perspective d’une majorité absolue du RN constitue une menace pour la République et son projet émancipateur et universaliste. Jamais dans l’Histoire, les projets populistes ou nationalistes n’ont été un rempart face à la montée de l’antisémitisme et de la haine.

Seule une ligne républicaine claire permettra dimanche d’empêcher le RN d’accéder au pouvoir.

La présence de Rima Hassan aux côtés de Jean-Luc Mélenchon dimanche soir témoigne une fois de plus de la stratégie communautariste et clientéliste de LFI.

Il est encore temps pour tous les candidats républicains de mener le combat contre le RN tout en dénonçant LFI et toutes les complaisances antisémites.

L’oligarchie panique

 






Alerter

44 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #3388043
    Le 4 juillet à 06:44 par Kal
    Le chant du cygne du moment macroniste

    La Grande Coalition, voilà l’idée de manœuvre de notre cher Leader.

    C’est la suite logique et annoncée du front républicain. Les escarmouches entre les fous furieux de LFI et les sociaux-démocrates du PS à une partie de LR ne sont destinées qu’à faire monter les enchères pour se distribuer les postes lundi prochain.

    Macron joue aux échec avec brio (n’en déplaise) : il sacrifie ses troupes Ensemble comme un joueur d’échec sacrifie un fou et un cheval pour mieux reconstituer une nouvelle armée à gauche. Toujours en joueur d’échec, Macron oblige ses fidèles à l’obéissance aveugle pour mieux placer l’adversaire en position d’échec et mat dimanche soir.

    Du grand art !

    Les marchés l’ont anticipé. Après la frayeur toute passagère d’un RN donné à 290 députés, la bourse se ressaisit en ce moment. Je la vois à 8000 points lundi, rassurée sur le défaut de la dette en France grâce aux impôts de LFI qui vont peser sur les petits blancs.

    Jamais la droite n’aura le pouvoir en France. Jamais.

     

    Répondre à ce message

  • #3388046
    Le 4 juillet à 06:48 par Bolduc
    Le chant du cygne du moment macroniste

    On cherche actuellement à nous vendre l’autre Marine (Tondelier). En marche vers la dictature macroniste "écolo"-"libérale".

     

    Répondre à ce message

    • #3388165
      Le 4 juillet à 10:25 par Alençon
      Le chant du cygne du moment macroniste

      "libérale" ? tu rêves.. sandrine Rousseau a dit :
      "La France est l’un des pays dont l’épargne nous permettrait très bien de reprendre la main sur notre dette », quitte à « contraindre » les épargnants.

       
  • #3388048
    Le 4 juillet à 06:54 par Olivier Besancenot
    Le chant du cygne du moment macroniste

    J’ai voté pour Philippot ...

     

    Répondre à ce message

  • #3388074
    Le 4 juillet à 08:00 par marksus
    Le chant du cygne du moment macroniste

    Ou comment faire pour nous imposer Glucksman et sa communauté ? !

     

    Répondre à ce message

  • #3388081
    Le 4 juillet à 08:25 par Sev
    Le chant du cygne du moment macroniste

    Mon esprit "mal tourné" (d’après mon entourage gauchards qui bosse dans le cul-turel :-)) me souffle que la Bordellasition de la société française est exactement ce qu’espérait le petit poudré....

    Le gros cirque vient de lancer son nouveau spectacle : "Tous contre le RN fasciste !". Les dialogues sont-ils de la nouvelle équipe du théâtre-cinéma français pathétique ? Ce n’est pas exclu, tant les répliques sont éculées.

    On se souviendra des mêmes "cul-tureux" et autres bien pensants terrorisés lors de l’irruption d’un JMLP dans le jeu de quilles de la petite politique française à l’époque où ces "Bons et Justes" gueulaient qu’ils allaient d’urgence veauter "Chichi" avec une pince sur le nez ! On ne se lasse pas de ce petit monde qui serre les miches dès que le pognon est dans la visée....

    Cela dit, le RN n’est rien d’autre que la poursuite du plan Macron. Il faut être sot pour croire un instant que les conseillers du Micron lui auraient murmuré une dissolution pour offrir une vraie et efficace politique. Faut se réveiller, là, non ?

    Ceux qui le croient n’ont juste pas bien pigé comment fonctionne la technocratie qui tient fermement les manettes pratiquement partout. "Agiter le peuple avant de s’en servir"... les veautants de tout poil ont donc déjà totalement oublié ce conseil tout en perversion ?

    Les uns affirment que le Micron a pris une tawa, d’autres qu’il est in fine vainqueur... A l’évidence, non. Si la Van der Leyen a été réélue (par ses obligés dont la gamelle est aussi copieuse que celle des cultureux subventionnés) c’est que la destruction du pays et des autres nations européennes embourbées dans le Gros Bouzin Bruxellois va se poursuivre...

    Tout va bien du côté des faiseurs de chaos...

     

    Répondre à ce message

  • #3388092
    Le 4 juillet à 08:41 par de Bonald
    Le chant du cygne du moment macroniste

    Je trouve Philippot un peu pompeux dans cette vidéo, je préfère son style habituel. Aprés......malheureusement il prêche un peu dans le désert même s’il a raison dans ce qu’il dit. C’est l’époque qui veut ça. Il faut dire des conneries pour avoir des suffrages.

     

    Répondre à ce message

  • #3388100
    Le 4 juillet à 08:52 par MAD MAX
    Le chant du cygne du moment macroniste

    @figaro68, même si vous avez raison en parlant du frexit, il ne faut pas être naif, l’angleterre a bien fait le brexit, voté en 2016, et il a fallu attendre 2021, cin q ans c’est long, pour qu’il soit réellement effectif, ils ont toujours des immigrés, et ce pays, l’angleterre, surtout depuis thatcher, reste un pays libéral, et est et restera proche des américains, ne pas oublier que miss maggie n’était pas opposé aux immigrés, même si elle critiquait l’union européenne, et la réunification en 1989.

     

    Répondre à ce message

    • #3388250
      Le 4 juillet à 13:30 par Figaro68
      Le chant du cygne du moment macroniste

      @MadMax

      Quand on est souverain on fait ce que l’on veut ! FREXIT en une semaine ! Ou mieux, du jour au lendemain ! Lenine, l’a bien fait et alors... quoi ? Il suffit d’arrêter de payer les 25 milliards de rançon annuels à l’UE pour payer VDL, ses ronds-de-cuirs et les traîtres polonais !

      Il y a un contrat, mais selon le principe du Droit International Pacta sunt servanda, une sortie unilatérale est possible au surplus de l’art.50 TFUE. Puis, il y a le Referendum de 2005 qui a nié nos 55% de NON et rend le contrat frauduleux ! Le contrat Pfizer dans notre dos, les exactions de la Tsarine, les abus de Thierry Breton, etc... Bref, il y a moulte violations du contrat de base (déjà frauduleux).

      Si les Britishs ont mis autant de temps pour en sortir, c’est parce que la PM Thereza May en était chargée et qu’elle dans l’autre camps. Du côté UE, c’est un échec et la Commission a tout fait pour "punir" UK et pour montrer aux autres ce qu’il se passerait... Mais allez savoir la part de comédie car UK voulait sortir à tous prix de l’UE puisqu’ils savaient de source sûre que la logique de la GM3 était engagée ! Réfléchissez aux conséquences : UK conserve sa souveraineté au Conseil de Sécurité et la faculté de financer toutes les parties bélligérantes, notamment. Bref, un remake de 1939 !

      Evidemment, il faut un Président français couillu pour tenir tête à la Mafia ! Mais c’est faisable avec des Alliés comme les BRICS. Vous n’ignorez pas, j’espère que l’UE est une construction de la CIA, le bras armé de la Federal Reserve Bank ?

       
    • #3388463
      Le 4 juillet à 21:59 par Cristal
      Le chant du cygne du moment macroniste

      À Mad Max,
      Autre différence importante il me semble, c’est le mensonge (fakenews) du Brexit à proprement parlé, ils n’ont jamais eu à sortir de l’euro, ils n’ont jamais utilisé la monnaie, l’euro, toujours la Livre. C’est le nerf de la guerre et c’est peut-être un détail pour vous, mais pour la triche, ça veux dire beaucoup.

       
  • #3388128
    Le 4 juillet à 09:28 par Snayche
    Le chant du cygne du moment macroniste

    Je ne sais pas pourquoi, mais une majorité (logiquement absolue) du RN smililaire à la majorité française, silencieuse, polie, pacifique, patriarcale, volée et donc ettoufée depuis des décennies, enverrait un grand bol d’air frais comme ce début d’été, possiblement jusqu’à faire boule de neige conservatrice comme en Russie, pourquoi pas en commençant doucement par refavoriser les PME et PMI françaises et même les grandes françaises, et par arrêter ce très grotesque enseignement satanique de la théorie du genre.

     

    Répondre à ce message

  • #3388182
    Le 4 juillet à 11:13 par patriote lambda
    Le chant du cygne du moment macroniste

    "... le Crif appelle les Français à se mobiliser pour empêcher l’arrivée au pouvoir du Rassemblement National.. "
    Je me demande ce que pense l’agriculteur, qui est devant sa pallette de tomates-cerises et qui se dit qu’il va encore se faire piquer le marché par les tomates marocaines,et qui se dit après tout le le RN va peut être rétablir les taxes douanières.
    Et t’as le crijf qui intime l’ordre de ne pas voter pour le RN. On croit rêver.

     

    Répondre à ce message

  • #3388236
    Le 4 juillet à 13:02 par Cogito
    Le chant du cygne du moment macroniste

    Macron n’est que le maillon d’un échec programmé depuis plusieurs décennies, pour préparer le terrain d’une autre forme de tyrannie, de pillage des classes intermédiaires et ce qui reste des "trente glorieuses". Quel sera le bilan de cette folie obsessionnelle du contrôle...

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents