Incroyable elle décrit exactement la transmission de la pandémie et l’impuissance de l’état à l’endiguer,le manque de masques et le confinement alors que c’est une émission qui date de 2006 pic.twitter.com/T1bJ1kdbbB
— Hocine (@tinord59) May 8, 2020
C’est la vidéo qui tourne sur tous les réseaux sociaux : l’écrivain Fred Vargas, qui n’a pas toujours toute sa tête, revient comme une bombe dans l’actu avec ses recherches il y a 15 ans d’une sorte de tenue NBC contre un virus de grippe aviaire venu d’Asie.
À l’époque, c’est vrai, tout le monde a rigolé, ne prenant pas au sérieux le travail de la gauchiste qui a soutenu contre toute évidence l’assassin italien Cesare Battisti. Quinze ans plus tard, elle passe pour « extraordinairement visionnaire ». Mais avec sa cape en plastique et sa cagoule anti-postillons, elle valide de fait toute ingénierie mondialiste basée sur une psychose fabriquée de A à Z. Sa solution est évidemment une solution d’acceptation et de soumission pour les peuples qui vivent désormais sous la menace d’attaques virologiques – « Nous sommes en guerre » – lancées par les pouvoirs profonds des pays dits avancés.
« Il faudra qu’on puisse être autonomes, ne pas se mettre dans les mains du gouvernement, qui ne pourra pas alimenter les gens en quarantaine vu qu’il n’y aura pas de masques. »
Malgré ça, la presse mainstream la présente comme un prophète, et le très sérieux Obs de titrer :
Or, avec sa « solution », Vargas met objectivement les gens dans les mains du gouvernement, qui ne peut qu’appuyer ce changement de comportement qui éteint toute contestation sociale, la peur du virus passant en haut de la pile devant la peur du chômage, du déclassement et autres conséquences objectives de la domination bancaire.
« Accusée il y a onze ans de trop en faire en termes de commandes de vaccins et de masques durant la crise de la grippe H1N1, l’ex-ministre de la Santé de François Fillon et Nicolas Sarkozy prend désormais la parole pour justifier son action préventive de l’époque. » (BFMTV)
Dans le même ordre d’idée du retournement bidon, il y a le retour en grâce de Roselyne Bachelot, qui à l’époque du virus H1N1 (une grippe asiatique saisonnière) aurait eu le bon réflexe de vouloir vacciner toute la France ou presque. Ce n’était en fait que le brouillon de l’ingénierie « Covid-19 », et ce qui a foiré il y a 11 ans (en 2009) a réussi aujourd’hui, si l’on peut dire : la psychose a pris, les peuples se sont calmés, qui étaient en train de remettre en question les pouvoirs dans beaucoup de pays.
Justement, c’est grâce à la presse mainstream, en état de mort clinique et donc de soumission au pouvoir politique, visible (qui la subventionne) ou profond (qui la tient idéologiquement), que les États ont pu embrayer sur l’arnaque de l’OMS soutenue par les multinationales derrière la fondation de Bill Gates, l’ami du pédocriminel du Mossad Jeffrey Epstein, l’homme qui avait organisé un réseau mondial de prostitution de mineures et de chantage pour oligarques du monde entier. L’Obs ne déroge donc pas à la règle en s’alignant sur la ligne oligarchique, celle de la psychose et de la remise au pas des peuples :
« Pour comprendre ce qui se joue ce soir-là, il faut remonter le temps et faire halte en 2004, l’année où une grippe aviaire, celle des oiseaux sauvages et domestiques, apparaît sous une forme inquiétante, estampillée H5N1, susceptible de muter, comme l’annoncent les savants de l’OMS. Si le passage du virus se fait d’homme à homme, la pandémie pourrait être dévastatrice. L’imagerie glaçante de la grippe espagnole colonise les esprits et les réseaux sociaux, en plein essor. »
Cela montre que même des gens considérés comme très intelligents peuvent tomber dans les pièges tendus par les ingénieurs sociaux du pouvoir profond mondialiste.
Et vous savez pourquoi ? Parce que chez eux la peur est supérieure à la raison.