Grand talent de chanteur et de musicien, pas de courage.
De la chanson pour masqués tramblotants, du ressenti de prisonnier quasi-volontaire. C’est bien dit, mais ce n’est pas assez.
On t’enferme comme un lapin, essaie au moins de faire sauter le verrou ! On te met à poil dans une maison de verre mais on te colle un chiffon sur la gueule dans les transports, n’en rajoute pas, ta vie est à toi.
Nous sommes des hommes et des femmes, créés libres. Le ciel, nos plages et la rue sont des biens inaliénables. Il est bon de sortir, sortons.
Vu aujourd’hui à la gare du Nord, Paris, les nouveaux surveillants sncf, qui ont pouvoir de police gracieusement accordé par les colons.
Des tontons-macoutes, recrutés tout récemment, en plein chômage français, au fin fond de l’Afrique la plus subsaharienne qui soit. Limite obèses, fort accent étranger, peu de mots mais ton brutal.
Ce sont les sous-colons que nous réservent les colons orchestrant cette mascarade covid. Un spectacle parfaitement insultant pour les Français que nous sommes, et pour tous les chômeurs français de la sécurité.
Vu des enfants jouant entre eux et riant sans masque ni gants dans la rue grise. Pas de plage pour ces enfants.
Toutes ces insultes du minable Bill Gates méritent une réponse adaptée. Espérons que Cossette ait raison et que tout cela ne dure pas deux ans, comme prévu par l’ennemi. Déjà la colère monte. Les gens ont bossé en hiver, en automne. Il leur faut des vacances, il leur faut le merveilleux océan de nos côtes de France, qui guérit les maladies respiratoires et remonte le moral des Français déprimés. Avec les marchands de glaces, les hôtels, les boutiques et les bars.
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