Le HuffPost d’Anne Sinclair convoque des chiffres rassurants « pour en finir avec les fantasmes sur l’immigration ». Une démonstration théorique à mettre en face des réalités du terrain, que ce soit dans les villages qui accueillent sans l’accord de leurs habitants des dizaines de clandestins (aux frais du contribuable bien entendu), des banlieues qui sont désertées par les Français d’origine non immigrée (il faudra bien leur trouver un nom un jour, par exemple les FONI), ou de l’inquiétant signal du quartier de La Chapelle à Paris (qui a créé un bug entre le féminisme et l’antiracisme).
Le sujet se termine sur une note d’espoir (pour les mondialistes favorables à la noyade des nations sous les « réfugiés ») :
« On assistera sans doute à l’émergence du réfugié climatique »
On comprend mieux, avec cette prophétie, le tam-tam occidental sur le dérèglement du climat. Le dérèglement des lois sociales, ça passe, mais pas celui du climat, chez nos gouvernants. Un petit été trop chaud vaut mieux qu’une lutte sociale continue, comme celle des Gilets jaunes. Là, c’est le gouvernement qui a chaud...
Depuis le pacte de Marrakech et l’apparition des COP, ces raouts internationaux qui nous inventent une nouvelle menace après celle du terrorisme international (on pourrait parler de terrorisme climatique), nous savons que les autorités mondialistes nous préparent un plan d’invasion des nations de grande envergure. Des nations par définition récalcitrantes à leur dilution, ce qui explique les sursauts nationalistes en cours, qui sont une prise de conscience de la stratégie mondialiste.
Voici un reportage de propagande de France 3 Paris Île-de-France sur les migrants en septembre 2016 :
Deux ans plus tard, au même endroit, en août 2018 :
Ce que les gauchistes de base ne comprennent pas, c’est qu’ils seront eux aussi balayés – comme les patriotes – en tant qu’autochtones, et donc résistants au Nouvel Ordre mondial, dans le grand bordel qui s’annonce. Le dérèglement ne sera pas celui du climat mais bien celui des nations. Il sera alors peut-être trop tard pour réagir.
Les historiens reviennent sans cesse sur le « Munich » des Européens, ces accords du 30 septembre 1938, juste un an avant le déclenchement par le jeu des alliances de la Seconde Guerre mondiale, où Hitler pouvait encore être arrêté.
Aujourd’hui c’est pareil, mais sans les chars : le mondialisme a pour stratégie d’envahir et de détruire les nations récalcitrantes à son « ordre nouveau » (quelle ironie) et il le fait par le moyen de mouvements migratoires de masse contrôlés (le verrou libyen a sauté en 2011) et par la dissolution des mœurs, ces mœurs qui forment la charpente et donc la résistance culturelle des peuples.