C’est le scandale people du moment : l’idole des stars gauchistes américaines, aussi crassement ignorantes que fascinées par l’exotique bouddhisme sauce tibétaine, sont en PLS. Le Dalaï fait des bisous à un jeune garçon ? C’est carrément Biden dans l’Himalaya !
❗️ Une vidéo du Dalaï Lama demandant à un garçon indien de "sucer sa langue" a provoqué un tollé parmi les Indiens
Une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux et les médias indiens montre le Dalaï Lama embrassant un garçon sur les lèvres alors qu'il se penche pour rendre… pic.twitter.com/5tjheWhFcQ
— Brainless Partisans (@BPartisans) April 10, 2023
Vu le succès de la vidéo, ce sont les Chinois qui se frottent les mains : la résistance tibétaine, incarnée par le Dalaï, en prend un coup dans la couscoussière. Mais il faut savoir, à décharge du Dalaï, que la pédophilie est culturelle dans les écoles de moines : les jeunes passent souvent à la casserole. La même chose existe en Afghanistan, où des Afghans bien comme il faut, avec femme (voilée) et enfants, ont un petit giton qui danse pour eux.
Biden, lui, préfère les petites filles, il l’a montré au monde entier, ce qui n’a pas l’air de gêner la presse progressiste occidentale, dont Le Monde et Libé, qui n’ont jamais tiqué sur ces agressions sexuelles publiques. Imaginez, si Trump, qui n’a sauté que des putes du X ou des groupies, avait reniflé la nuque d’une petite Américaine... Le tollé ! Démission ! Fasciste pédophile ! Pédofasciste !
C’est bien qu’on parle de l’Amérique, à la ramasse moralement, parce que dans les années 60, rappelons-le, le Dalaï, qui avait déjà la trentaine (il est né en 1935), a touché un million de dollars de la CIA pour son travail de fond antichinois. Et c’est Libé qui le dit.
Dans les années 60, la CIA versait 180 000 dollars par an (1 million de francs) au dalaï-lama, rapporte dans son édition d’hier le Los Angeles Times, en citant des documents secret défense récemment déclassifiés par le département d’État. Au total, c’est 1,7 million de dollars que le mouvement tibétain en exil recevait annuellement des services de renseignement américains, au titre de leur effort de déstabilisation des régimes communistes, en pleine guerre froide. La CIA, qui a également entraîné des guérillas tibétaines au Népal et dans le Colorado (centre-ouest des États-Unis), s’était longtemps refusée à dévoiler ses opérations au Tibet. Mais le dalaï-lama a lui-même reconnu dans son autobiographie, Liberté en exil, que ses frères étaient entrés en contact avec la CIA en 1956, avant la révolte avortée de 1959 contre Pékin. Ces révélations ne feront donc que renforcer la Chine dans sa conviction que le guide spirituel tibétain est un agent de l’étranger. Pourtant, son représentant à Washington affirme ne pas avoir connaissance de l’argent reçu par son maître.
Sans nous placer sur le terrain de Pékin, et Mélenchon l’a rappelé courageusement, le Tibet appartient à la Chine, les trois grands fleuves du pays y prennent leur source, et cela suffit à mettre un redflag pour tous ceux qui voudraient détacher de la mère patrie cette région himalayenne, qui représente par ailleurs un balcon sur l’Inde.
La CIA tente la même déstabilisation avec le Xinjiang, où elle agite les islamistes ouïghours, ce que se garde bien de dire le petit Glucksmann. Le fils de ne s’occupe plus de cette minorité chinoise du nord-ouest, il s’en fout, c’est l’union russo-ukrainienne aujourd’hui qui doit être déstabilisée au profit de l’Empire. Pauvres Ouïghours, si vite oubliés...
Ici, l’agent américain nous explique sans honte que la France est truffée d’agents russes.
"Quand j'ai vu la pénétration du régime de Poutine chez nos élites, j'ai été pris de vertiges."@rglucks1 député européen Place publique
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Dan Israel, « journaliste » chez Daniel Schneidermann, nous explique que si les Ouïghours sont invisibles, c’est qu’ils n’ont pas de Dalaï Lama...
Ça, c’est du grand journalisme !