Tenzin Gyatso, plus connu sous l’appellation de « dalaï-lama », quatorzième du nom, a fait part de ses desiderata à la veille de sa cessation définitive d’activité.
Le gourou des stars hollywoodiennes a pris la décision arbitraire de fermer la porte à toute forme de succession :
« L’institution du dalaï-lama existe maintenant depuis près de cinq siècles. Cette tradition peut maintenant s’arrêter avec le quatorzième dalaï-lama, qui est très aimé. Si un quinzième dalaï-lama venait et faisait honte à la fonction, l’institution serait ridiculisée. Les gens qui pensent en termes politiques doivent avoir conscience par conséquent que cette période de quelque quatre cent cinquante ans où nous avons eu cette institution du dalaï-lama devrait avoir fait son temps. L’institution du dalaï-lama était importante principalement en raison de son pouvoir politique. J’ai complètement renoncé au pouvoir en 2011 quand j’ai pris ma retraite. »
Le vieillard en robe de chambre et claquettes a lancé une dernière fatwa, tout à fait inepte, à l’encontre de Vladimir Poutine :
« Son attitude, c’est : moi, moi, moi ! C’est un peu trop. C’est très égocentrique. Nous nous sommes habitués au fait que le mur de Berlin est tombé. Maintenant le président Poutine semble vouloir le reconstruire. Mais il porte préjudice à son pays en agissant ainsi. L’isolement est un suicide pour la Russie. La Chine veut faire partie du système politique mondial et sera prête à accepter les règles internationales sur le long terme. Je n’ai pas l’impression que cela compte pour la Russie ou pour le président Poutine à l’heure actuelle. »
Le mouvement des Tibétains en exil, outil aux mains du département d’État depuis 1959, n’ayant pas donné entière satisfaction, Washington préfère désormais s’appuyer sur des mouvements jihadistes en provenance d’Asie centrale ou de la région autonome ouïghoure du Xinjiang pour tourmenter Pékin.