Le « réchauffement climatique anthropique » est un mythe : c’est ce que démontre une série impressionnante de 80 graphiques publiés depuis début 2017 dans le cadre d’articles scientifiques certifiés par des comités de lecture. En d’autres termes, le prétendu « consensus » sur le réchauffement climatique d’origine humaine est un mensonge éhonté et Donald Trump a eu raison de dénoncer l’accord de Paris sur le climat conclu durant la COP 21, puisque le traité, qui vise particulièrement les économies occidentales, s’appuie précisément sur cette imposture.
Les articles démontrent que le réchauffement global anthropique est une imposture
Ce qui est en question tout au long de ces articles scientifiques, ce n’est pas le léger réchauffement de 0,8 degrés Celsius enregistré depuis le milieu du XIXe siècle en contrepoint du Petit âge glaciaire du XVIIIe siècle. Tous les spécialistes, climato-alarmistes ou sceptiques, s’accordent sur ce point. Non, ce qui est en question, c’est ce supposé réchauffement global anthropique, terrifiant et sans précédent brandi par les médias dominants et leurs journalistes aux ordres, par les scientifiques avides de subventions, de chaires, de carrières, de collaborateurs et d’honneurs, par les politiciens démagogues et les militants verts de l’apocalypse. Pour ces fauteurs de peur planétaire, des mesures d’urgences s’imposent, sous gouvernance mondialiste cela va de soi, avant que la calotte glaciaire ne fonde complètement, que les îles du Pacifique ne soient submergées et que tous les bébés ours ne finissent noyés. Or ce que démontrent tous ces articles c’est que la version alarmiste de ce « réchauffement global d’origine humaine » est une imposture.
Les auteurs de ces études sont des experts venus des quatre coins du monde : Chine, Russie, Canada, États-Unis, Italie… Chacun a observé de près les différents aspects du supposé « réchauffement global » dans des régions précises et sur différentes échelles temporelles. Et chacune de ces études, dûment contrôlée par des pairs, conclut qu’il n’existe aucune preuve alarmante : la fin du XXe siècle et le début du XXIe attestent d’un réchauffement qui n’est ni dramatique, ni exceptionnel, ni inquiétant.