Décidément, la presse est vraiment au fond du trou. Non contente de relayer sans sourciller les oukases d’un gouvernement complètement taré sur la question sanitaire, qui est capable de sacrifier 10 000 personnes en Ehpad tout en accusant les Français de ne pas respecter des gestes barrière pour débiles, voilà qu’elle fait la chasse aux récalcitrants, aux résistants, aux anti-vaccin. Il faut dire que soumise à la triple pression du pouvoir profond (les réseaux occultes qui traversent et structurent notre belle Démocratie), du pouvoir visible et des multinationales du vaccin (qui corrompent le pouvoir visible), tout en ayant perdu le soutien populaire, elle n’est plus qu’un bâton contre les gens, un quatrième pouvoir, mais contre le peuple. Entrez dans la délationosphère !
Les attaques contre les antivax ne sont pas nouvelles. Ce qui l’est, c’est la proximité de la vaccination de masse obligatoire en 2021, alors que 99 % des Français n’ont pas souffert plus que ça du Covid, et souffrent beaucoup plus des décisions destructrices du pouvoir néolibéral sur l’économie, c’est-à-dire la vie de tous les jours. Mais là n’est plus le problème : acculée à la soumission totale par sa faiblesse éditoriale et son impopularité croissante, la presse est devenue simplement l’ennemie des Français. Une source de haine, de bêtise et de mensonges qui grossit de jour en jour. Pour preuve ces trois articles publiés les 17 et 18 novembre 2020 sur les sites de BFM TV, du Monde et du Figaro.
En voiture dans le train fantôme de la presse infâme !
Et ce sont les ignobles populistes paranoïaques qui sont les plus réticents à se faire inoculer une baisse d’immunité qui va les lier à vie à des vaccins annuels.
« La défiance est aussi vaste que transclasse. Le critère de la politisation est beaucoup plus parlant », confirme Antoine Bristielle, professeur agrégé en sciences sociales et auteur de l’étude. Les chiffres sont clairs : les personnes proches du gouvernement seraient moins méfiantes vis-à-vis du vaccin. À l’inverse des soutiens de Jean-Luc Mélenchon, de Marine Le Pen, de François Asselineau et de Nicolas Dupont-Aignan, qui s’avèrent beaucoup plus anti-vaccins que les autres électeurs. « Des partis qui manifestent le plus une attitude populiste, au sens rejet d’élites jugées corrompues. Or, différents travaux établissent le lien entre défiance envers les institutions politiques et les institutions scientifiques, qui vont promouvoir la vaccination », explique Antoine Bristielle. Être pour ou contre la vaccination n’est plus un questionnement, mais un marqueur social : « Cela fait partie de notre identité politique et idéologique. C’est une façon de se positionner envers le système », souligne Jocelyn Raude.
Non, c’est surtout avoir des connaissances en matière de santé, de respect du corps, et des connaissances en matière de marketing commercial des multinationales du médicament ! On peut être anti-Système et apprendre à se soigner sans passer par la piquouze Pfizer, celle dont les autorités européennes, dans le dos des peuples et avec leur argent, ont acheté 300 millions de doses. Cette affaire sent tellement mauvais qu’on va droit vers un scandale sanitaire européen. Naturellement, les obligés du Big Pharma, que ce soit dans le personnel politique ou médiatique, accusent les médecines dites naturelles, qui ont « gangrené » la société française. Beaucoup de gens, depuis les immenses scandales sanitaires qui ont tué des milliers d’innocents, se méfient de la médecine dominante, allopathique ou agressive. Dans ce combat à venir, qui risque d’être une guerre de tranchées, les Français font de moins en moins confiance aux autorités sanitaires, aux responsables de la santé publique. Quand on voit la bande qui était et qui est toujours en charge de notre santé, on a de quoi trembler : Buzy, Lévy, Salomon, Hirsch, Véran, Delfraissy, Lacombe, Blachier, Cymes, ça donne envie de faire confiance ? Ça donne surtout envie d’être en bonne santé et de le rester !
Au cœur de ce scepticisme, la confiance accordée aux autorités scientifiques a violemment souffert de la crise sanitaire. Avant l’épidémie, 95 % des Français assuraient accorder se fier aux institutions scientifiques. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 75 %, selon Antoine Bristielle. Les ratés de la gestion de l’épidémie, comme les revirements du gouvernement et de l’Organisation mondiale de la santé au sujet des masques, ou le scandale autour de l’enquête controversée du Lancet sur l’hydroxychloroquine, laissent des traces. « Face à une sorte de brouhaha médiatique autour des scientifiques, est né ce sentiment qu’il n’y a pas d’autorité sanitaire auquel on peut se fier », note Antoine Bristielle.
L’article du Figaro s’achève sur un hommage (involontaire, on imagine) à un homme admirable que les lecteurs d’E&R connaissent bien :
Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, les anti-vax gagnent du terrain. Selon une étude publiée en mai dans la revue Nature, qui analyse le débat autour de la vaccination sur les réseaux sociaux, les discours anti-vaccins ont évincé les arguments « provax » en convertissant au passage les hésitants. Sur Youtube, la principale chaîne anti-vaccin, celle du naturopathe Thierry Casasnovas, compte désormais 517 k d’abonnés, soit plus que la plupart des grands médias traditionnels.
Du côté du Monde, toujours à la botte des réseaux et des labos, on centre son attaque sur le professeur Christian Perronne, qui donne sa caution scientifique au documentaire Hold-up qui a hérissé les cheveux des biens-pensants du Système. Le journal des Marchés et des Lobbies a trouvé la formule pour qualifier cet homme intègre : « Caution scientifique conspirationniste ».
« Il y a un homme qui connaît bien les mesures à prendre en cas d’épidémie. Pendant vingt ans, il a géré ces situations de crise. » Cet homme auquel le narrateur du documentaire Hold-up tresse ainsi des lauriers, c’est Christian Perronne. Le chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches (Hauts-de-Seine) est l’un des personnages principaux de ce film sorti le 11 novembre qui prétend dénoncer les « manipulations » cachées de l’épidémie de Covid-19. Le visage grave, l’infectiologue y tient son rôle, celui de l’initié qui ose dénoncer les dérives du système. Les coupables sont, selon lui, à chercher du côté de l’industrie pharmaceutique, « première source de corruption », et de leurs complices, des pseudo-soignants aveuglés par leurs conflits d’intérêts.
Le site de BFM TV reprend lui aussi la polarisation populiste des antivax mais fournit (sans le vouloir) des chiffres rassurants pour la santé mentale et la lucidité des Français.
« À la question simple : "Êtes-vous prêt à vous faire vacciner contre le Covid-19 ?". 87 % des Indiens répondent "oui", ainsi que 85 % des Chinois et 79 % des Britanniques. Et les Français ? ils répondent "oui" à 54 % seulement. C’est le plus petit score : 15e sur 15. Ou plutôt champion du monde du scepticisme sur les vaccins.
Et si la question est plus précise : "Êtes-vous prêt à vous faire vacciner dès la sortie du vaccin ?", c’est à dire sans attendre, alors il ne reste plus que 12 % des Français à répondre "oui". »
BFM cherche comme ses confrères à savoir quel est le profil des antivax, et cite pour cela la fondation Jean Jaurès, toujours à la pointe de l’idéologie mondialiste. Voici le paragraphe intitulé « Le combat des complotistes » :
Et là, on assiste à une explosion de leurs audiences. Les vidéos de ceux qui dénoncent un complot mondial peuvent atteindre des millions de vues. Ils dénoncent un vaccin qui aurait été fabriqué par l’homme, plus précisément souvent par l’institut Pasteur. Ils défendent l’idée que l’industrie pharmaceutique, dite Big Pharma, exagère les dangers du coronavirus pour gagner de l’argent avec le vaccin. Ou que l’on est face à un complot qui vise à contrôler la population via des puces ou des nanoparticules qui se trouvent dans le vaccin. Voire un complot pour réduire la population mondiale.
À la fin de cet article, on découvre que l’auteur n’est autre que Nicolas Poincaré, dont nous avons évalué le QIP, et là on comprend mieux le parti pris.
Plus on dénonce le complotisme, plus on le conforte. Si les autorités sanitaires veulent que les Français se vaccinent, il va falloir rétablir la confiance, et pour cela être transparent. Il faudra aussi lutter contre les illuminés en leur expliquant notamment que la Lune n’est pas creuse...
Nicolas sait-il ce que les « illuminés » lui disent ?
Les Français doivent comprendre qu’au milieu des actions terroristes oligarchiques – qu’elles soient « islamistes » ou sanitaires – destinées à les désorienter et à les affaiblir mentalement, ils devront lutter contre la vaccination forcée, et surtout celle de leurs enfants. Ce sera la mère des batailles.
Dernière minute : le projet parlementaire de vaccination nationale !
Lundi 9 novembre 2020, les laboratoires pharmaceutiques américain Pfizer et allemand BioNTech ont annoncé avoir mis au point un vaccin contre le Covid‑19 dont le taux d’efficacité s’élèverait à 90 %, d’après les résultats préliminaires. Dix autres essais cliniques de phase 3 sont engagés, sur différentes plateformes technologiques. Si les projets reposant sur des technologies à ARN messager ont un temps d’avance, ils ne doivent pas être considérés comme exclusifs des autres recherches en cours.
Bien entendu, les aléas et incertitudes inhérents à la recherche scientifique doivent nous inciter à la prudence : l’efficacité de ces vaccins devra être confirmée pour obtenir des autorisations qui ne devraient pas intervenir avant plusieurs semaines. Trois sujets sont clés : l’efficacité des produits chez les personnes âgées, dont les réactions immunitaires sont atténuées ; les effets sur certaines populations spécifiques qui, en raison de leurs facteurs de risque ou de leur maladie chronique, doivent faire l’objet d’un suivi spécifique et d’une pharmacovigilance renforcée ; la durée des effets immunitaires de ce vaccin – le protocole en cours ne garantira que deux mois de suivi – et notamment leur capacité à stériliser le virus.
Il n’en reste pas moins que ce résultat extrêmement prometteur suscite un immense espoir, alors que la pandémie mondiale qui nous touche collectivement depuis plusieurs mois met à rude épreuve, un peu plus chaque jour, nos concitoyens, notre système de santé, notre économie.
Parce que la découverte d’un vaccin contre le Covid‑19 représente aujourd’hui l’une des seules issues crédibles pour une sortie de crise à moyen terme, il convient pour la France de ne pas manquer ce tournant.
Lire la suite de cette infamie sur le site de l’Assemblée.
La propagande provax
Voici le témoignage de la maman qui a lancé le buzz antivax :