S’attaquer aux antisionistes ou prétendus tels donne tous les droits, surtout quand on est protégé par le lobby sioniste. C’est ce qui arrive au faux hacker mais véritable agent sioniste Ulcan qui, selon la presse française, totalement soumise au même lobby, n’était coupable que de « canulars » téléphoniques. Au bout de ces canulars, il y a eu la mort d’un Français.
Car il s’agissait avant tout de blesser, voire de détruire des gens dans l’entourage des « ennemis » du sionisme, l’organisation sioniste – terroriste depuis le départ – choisissant ses ennemis et les attaquant par tous les moyens possibles, légaux et illégaux. Cela concerne les dissidents français comme les pays non alignés sur le sionisme, tous subissent, à une échelle différente mais selon le même principe, la violence sioniste.
Cela explique comment Ulcan, ce criminel au petit pied, a pu exercer cette violence si longtemps dans une totale impunité.
Il a suffi pour cela de copier sa méthode sur la politique de la caste criminelle au pouvoir dans l’entité israélienne, qui assassine ses ennemis politiques, en réalité ceux qui s’opposent au schéma du Grand Israël partout dans le monde. Et il y en a de plus en plus.
Les criminels de Tel Aviv devront-ils assassiner tous les hommes de bonne volonté, tous les chrétiens et les musulmans qui ne désirent que la paix ? En ce jour de Noël, de naissance du Christ, lui-même assassiné il y a 2000 ans, la question est légitime.
Une justice française complètement tordue
Pour en revenir à la France, et à son triste gouvernement, les choses sont claires : les opposants au pouvoir profond sont poursuivis dans relâche, et sans aucun sens de la mesure, c’est-à-dire de la justice. Quant aux criminels sionistes, ils ne sont pas poursuivis, et quand ils le sont, les procédures finissent dans le sable. Pourtant, les premiers n’ont pas de sang sur les mains.
Faut-il du sang sur les mains et la haine dans le cœur pour être défendu par la justice ?
Dans l’article du Times of Israël qui suit, on découvre que le criminel sioniste est défendu par... Maître Goldnadel, dont le sens de la justice semble soumise à l’impératif catégorique sioniste.
La famille de la victime en premier lieu, les Français en second lieu attendent que justice soit faite, et elle sera faite. D’une façon ou d’une autre, car le mensonge ne peut tenir éternellement.
France : le renvoi aux assises d’un hacker franco-israélien annulé par la justice
La Cour de cassation française a annulé le renvoi aux assises du hacker franco-israélien Ulcan, accusé d’avoir provoqué la crise cardiaque fatale du père d’un journaliste victime de ses harcèlements téléphoniques en 2014, selon un arrêt consulté mercredi par l’AFP. La cour d’appel de Paris doit désormais réexaminer les suites de la procédure.
Installé en Israël, ce hacker de 38 ans, de son vrai nom Grégory Chelli, avait saisi la plus haute juridiction pour contester son renvoi devant les assises. Il estimait que les arguments de sa défense sur la légalité du mandat d’arrêt émis contre lui en 2015, n’avaient pas été étudiés.
À l’été 2014, Ulcan, déjà connu pour les dangereux canulars de son site « ViolVocal », avait ciblé à deux reprises les parents d’un journaliste du site Rue89, Benoît Le Corre.
Piratant leurs lignes, l’activiste leur avait fait croire à la mort de leur fils. Puis, il s’était fait passer auprès de la police pour un homme retranché qui avait tué sa femme et son bébé, donnant l’adresse des parents du journaliste. Une vingtaine de policiers avaient cerné la maison à 4H30 du matin.
Quatre jours plus tard, le père du journaliste était victime d’un infarctus et en décédait un mois et demi après.
Le 19 juin 2019, un juge d’instruction avait décidé de renvoyer le hacker aux assises pour « violences volontaires avec préméditation ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et pour plusieurs délits liés aux harcèlements d’autres victimes.
Mais dans son arrêt du 16 décembre, la Cour de cassation estime que le juge « ne peut délivrer un mandat d’arrêt à l’encontre d’une personne résidant hors du territoire de la République, mais qui n’est pas en fuite, sans avoir effectué les démarches requises pour l’entendre et sans avoir apprécié le caractère nécessaire et proportionné de cette mesure ».
La défense soulignait que l’adresse de M. Chelli était connue de la justice, qui l’avait interrogé en Israël en juillet 2015 dans une autre enquête.
N’ayant pas répondu à ces arguments, « la cour d’appel (…) n’a pas justifié sa décision » de confirmer le renvoi aux assises, a conclu la chambre criminelle.
« Je n’avais jamais vu dans ma carrière une procédure où on a à ce point évité l’avocat de la défense, du début à la fin », a dénoncé Me Gilles-William Goldnadel, conseil de M. Chelli.
Pour l’avocat de la famille Le Corre, « cette décision étrange ne correspond pas à la jurisprudence ». « Il faut attendre quoi ? Que les parties civiles soient mortes pour agir ? », s’est ému Me Antoine Comte, s’étonnant que la Cour de cassation n’ait pas pris en compte la non-exécution d’un mandat de recherche émis dès 2014 et la demande d’extradition adressée à Israël.