Décidément, le socialisme appliqué à la ville ne nous aura rien épargné. En écartant pendant 50 ans toute solution autoritaire et nationale au problème des banlieues, et des banlieues difficiles, le pouvoir socialo-sioniste a légué à l’État Macron, ou ce qu’il en reste, un bien beau cadeau : des conflits ethniques de gangs à l’arme de guerre en plein dans nos villes, que ce soit à Dijon, Nice ou Nîmes.
Dijon c'est devenus la favelas #Dijon #tchetchenes pic.twitter.com/uv4sO88mL3
— marocain(@Aladin50549857) June 15, 2020
Naturellement, le pays n’est pas (encore) à feu et à sang, mais on se rapproche dangereusement de la ligne rouge, celle qui, une fois franchie, ne connaît plus aucune limite. Et là, on en vient à douter de l’autorité de l’État, de ses représentants, voire de leur volonté de ramener le calme, tant le chaos va de pair avec la néolibéralisation de notre pays.
Pourquoi ? Parce que l’État, et l’État régalien, doit être détruit pour que le Marché règne. Et le Marché, on le sait, ne supporte pas la moindre concurrence (!). C’est pour cela que la France, ce pays longtemps en économie mixte, avec un équilibre entre public et privé, entre communistes et nationalistes, est en première ligne dans les « réformes » mondialistes de ces dernières années : choc migratoire, choc terroriste, choc sanitaire.
L’ancien complice d’Alain Bauer, Xavier Raufer, réagit au micro de Boulevard Voltaire :
D’abord, les faits, par Le Figaro :
« Nice et Dijon récemment, mais aussi Troyes en avril ou Rouen en mai… Ces dernières semaines ont été marquées par une recrudescence de mobilisations ou d’expéditions punitives menées par des membres de la communauté tchétchène. Lundi [15 juin 2020] soir, la capitale de la Bourgogne a été le théâtre de nouveaux troubles pour la quatrième soirée consécutive. Une centaine de personnes s’est rassemblée dans le quartier sensible des Grésilles, tirant en l’air avec des armes de poing, détruisant des caméras de vidéo-surveillance et incendiant poubelles et véhicules.
Vendredi, on avait déjà assisté à des scènes surréalistes avec des dizaines d’hommes “patrouillant”, parfois cagoulés, armés de barres de fer, couteaux, marteaux, tournevis et battes de base-ball. Ces Tchétchènes venus en voiture d’un peu partout en France venaient “venger” un des leurs, âgé de 16 ans, passé à tabac. Ce jeune Tchétchène aurait voulu aider des amis balkaniques (Serbes ou Albanais selon les versions) à se défendre contre des dealers présumés issus de la communauté maghrébine… L’expédition punitive s’est prolongée pendant trois soirées, notamment dans le quartier des Grésilles, connu pour son trafic de drogue, avec au moins 12 blessés et la dégradation d’un bar à chicha, dont le propriétaire est accusé d’être à l’origine du passage à tabac. »
Le quotidien de droite cite l’ancien président de l’Association des Caucasiens de Strasbourg, responsable du service de presse de l’Assemblée des Tchétchènes d’Europe, Chamil Albakov, qui ne manque pas d’humour, d’humour tchétchène, bien entendu :
Ces expéditions punitives, qui n’ont rien à voir avec une guerre des gangs, ne doivent bien sûr pas devenir la règle. Mais on s’est senti abandonnés par les policiers pendant le confinement. À chaque fois qu’il y a un point de deal, cela pose problème : vous devez vivre en permanence sous le règne des trafiquants. Les Tchétchènes ont tenu tête à la Russie, on ne va pas se laisser faire par des racailles… »
Une autre forme d’humour, mais involontaire celle-là, provient de François Rebsamen, maire de Dijon à vie et socialiste anti-Dieudonné devant l’Éternel, qui a réagi mais à travers son adjoint Hamid El Hassouni :
« J’accuse le préfet d’avoir abandonné les habitants des Grésilles ! J’accuse certains médias d’avoir menti et véhiculé un message de haine en divulguant des mensonges : il ne s’agit nullement de trafic de drogue ou de guerre de communautés ! Ces trois derniers jours, 8000 habitants [des Grésilles] ont vécu l’enfer. »
Un enfer qui a fait le tour du monde :
En Australie aussi, des médias ont parlé de ce qui se passait ces derniers jours à Dijon. Ecoutez bien comment ce journaliste lance son reportage ⬇️#Quotidien @julienbellver pic.twitter.com/YxVfGQNCl6
— Quotidien (@Qofficiel) June 16, 2020
Un socialiste qui se plaint de banlieues en flammes... Bref, la France n’est pas sortie de l’auberge mondialiste dans laquelle les socialo-sionistes l’ont fourrée. Une police désarmée, un nationalisme désavoué, un État affaibli, comment s’étonner après que la loi du plus fort resurgisse sur les territoires perdus de la République, dans les angles morts de notre belle démocratie française ? Quand on pense en plus que le ministre de l’Intérieur est ce pantin de Castaner...
En même temps, c’est logique : Rantanplan incarne à merveille la faillite de l’État, l’étiolement de l’autorité qui met un genou à terre devant les racailles. On a tous vu ce pauvre François Hollande répondre gentiment à une Rom qui insultait la France et visiter une racaille sur son lit d’hôpital, sans égards pour le pauvre Marin, qui restera lui handicapé à vie à cause d’une racaille qui n’aura fait que deux ans de prison sur sept ! Énormité de l’injustice...
Yanis condamné en 2018 à 7 ans de prison pour avoir agressé Marin Sauvajon sort aujourd'hui de prison, la justice lui donne une seconde chance...
Marin quand à lui poursuit sa rééducation. Il doit vivre avec de lourdes séquelles physiques, neurologiques et psychologiques. pic.twitter.com/noUD0SgcTe— Verlaine (@__Verlaine__) June 17, 2020
Heureusement, des Français réagissent. Florian Philippot, seul dans son coin (le piquet du RN), fait sa vidéo habituelle, souvent avec justesse et bon sens.
Pour ne pas tomber dans les yaka et autres faukon, on a préféré axer cet article sur la politique volontaire d’affaiblissement de notre État, plutôt que sur des réactions émotionnelles à base de méchants et de gentils. Si des racailles peuvent s’exprimer à ciel ouvert en France, et même si certaines armes exhibées étaient factices, c’est parce que l’État, le système nerveux de notre pays, est en partie occupé par des racailles.
Selon TV Libertés, qui a repris l’info, un ou deux imams auraient réconcilié les deux parties. Preuve que l’État, cet ancien juge de paix, a ici perdu toute autorité.
L’affaire de #Dijon est régler
2 imam (Tchétchène et maghrébin) se sont réunis dans cette mosquée avec des membres de leurs communauté respective , pour calmer les tensions et revenir à la paix #tchetchenes #UyghurLivesMatter pic.twitter.com/xe5u1CfELj
— Doctor P (@AdMassih) June 17, 2020
Cadeau : images de la France d’après
⚠️ La fusillade hier soir à Dijon pic.twitter.com/KzlKM1tebm
— hawaiii2.0 (@brazo21) June 14, 2020
Nous avons dénoncé l’apartheid social et ethnique qui c’était installé dans certains territoires gangrenés par les tous les trafics et pourquoi certains voulaient affaiblir la police.#Dijon #Tchetchene
⚠️Ces images ne sont pas celles d’un film
pic.twitter.com/mA4XbYpIer— Officiers et Commissaires de police (@PoliceSCSI) June 15, 2020