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La guerre de l’élite contre le peuple, ou le sado-masochisme comme politique

Face aux variants du Covid-19, toujours plus résistants, faudra-t-il une troisième dose de vaccin ? C’est ce que pourrait préconiser le laboratoire Pfizer pour renforcer l’immunité de la population. Cette troisième dose serait administrée six mois après la seconde. La durée des anticorps fabriqués grâce aux deux premières est encore à l’étude, mais les scientifiques s’accordent sur le principe d’une troisième injection de sécurité. (France Info)

Ah ah ah, y a pas de petit profit, pour Pfizer ! Message aux futurs triples vaccinés : quand vous aurez reçu votre troisième dose, si vous n’êtes pas morts avant, vous allez voir qu’ils vont vous sortir un variant de la planète Mars pour relancer une saison à triple dose ! On a l’air de déconner, mais regardez la suite de l’article :

Il serait possible de mélanger les vaccins. "Une troisième dose va être probablement nécessaire, parce qu’au fil du temps la protection induite par la primo-vaccination risque de diminuer. Donc il sera nécessaire pour maintenir la protection et le taux des anticorps neutralisants d’effectuer une troisième dose", explique le professeur Jean-Daniel Lelièvre, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Henri Mondor de Créteil (Val-de-Marne). Les autorités sanitaires préconisent en effet déjà pour les personnes immunodéprimées une troisième dose ainsi qu’un rappel annuel.

Trois doses, plus le rappel annuel ! Un rappel, comme les impôts... On vit dans un monde de dingues et c’est la passivité de la population qui rend cette dinguerie possible.

 

 

Dans la nature, c’est la faiblesse ou l’ignorance de certains herbivores qui permettent à une poignée de prédateurs de survivre. On ne dit pas qu’il faut des prédateurs – c’est-à-dire des salauds – dans le monde humain, mais force est de constater qu’il y en a, et que leur existence est déterminée par l’ignorance du troupeau d’herbivores, c’est-à-dire de cons, pour parler crûment.

 

Le 3 mars, Attal prévoyait une sortie de crise pour la mi-avril...

 

Ce qui nous fait mal, ce ne sont pas les oukases des salauds qui repoussent chaque semaine la sortie du tunnel, le retour à la vie d’avant, c’est la crédulité des foules, avec la peur compréhensible des anciens, la soumission des adultes en état de combattre un virus de grippe augmentée et un gouvernement maléfique, et puis, surtout, ces millions d’enfants pris en otages entre parents soumis et gouvernement sadique. On pense à eux, et à eux seuls, car ils n’ont pas choisi cette situation : ils n’ont pas, comme 20,7 millions d’abrutis, voté pour Macron le 7 mai 2017. Nos pensées vont donc aux vrais innocents, pas aux abrutis co-responsables.

 

 

Nous allons maintenant utiliser une image pas très délicate, mais qui dira bien les choses. La situation actuelle est comparable à une sodomie, eh oui, de l’élite sur le peuple. L’enculeur promet chaque semaine à l’enculé que ça va se terminer, que ce sera bientôt la fin, qu’on voit le bout du tunnel (hum), que la vie d’avant – sans sodomie – va pouvoir reprendre.

Alors l’enculé se tient tranquille. Mais l’enculeur en profite pour aller toujours plus loin, au sens propre et au sens figuré : à la fois à l’intérieur de l’enculé, mais aussi dans la promesse de libération, régulièrement repoussée... au fond du rectum.

Nous sommes sincèrement désolés pour cette analogie, mais elle s’imposait. Disons qu’il s’agit d’une parabole médicale plutôt que sexuelle, ce qui n’est pas totalement faux.

 

 

Il y a heureusement une partie du peuple qui n’a pas accepté la première banane, comme dirait le comte de Bouderbala, car eux n’ont pas cru à la promesse de départ qui consistait à se faire entuber pour être sauvés. On va vous entuber, et tout ira mieux, promettait l’élite.
Le résultat est qu’une partie des gens a résisté à ce viol, tandis que l’autre partie, la malheureuse, celle qui a cru aux promesses de l’élite, est aujourd’hui complètement défoncée, nous dirons laminée.

 

 

Ces derniers ne peuvent plus ni réagir ni résister, ils ont été endormis, et leur volonté a disparu. On l’a écrit un jour, si la troïka médico-médiatico-gouvernementale leur demandait de se balader avec un étron sur la tête et une carotte dans l’oignon, on verrait des millions d’abrutis évoluer dans les rues de la sorte. C’est comique, mais tragique.

 

 

Tout le travail des conscientisés consiste à réveiller les endormis (on préfère ce mot à enculés), parce que pour le viol, il est un peu tard. Mais on peut quand même expliquer aux victimes que la situation de douleur doublée de soumission n’est pas exactement ce qu’on doit attendre de la vie, même si ça arrange les gens d’en haut.
Oui, nous vivons dans une gigantesque cage sado-masochiste, et la maîtresse s’en donne à cœur joie, vu le niveau de consentement. Quand des loups sauvages, on précise, tombent sur un troupeau de moutons mal gardés, ils font un massacre, bien au-delà de leurs besoins en viande, car ils ne comprennent pas pourquoi leurs victimes ne fuient pas ou ne se débattent pas. C’est pareil avec nos loups, et on s’excuse en passant pour avoir amalgamé ce magnifique animal aux fumiers de l’oligarchie.

 

 

Les médias mainstream, avec la hiérarchie médicale, sont évidemment complices de cette dégénérescence accélérée de la santé de nos compatriotes : les premiers pour leur effet délétère sur le moral, les seconds pour avoir accepté de ne pas soigner en amont les malades.

Un an après le début des hostilités, la guerre ouverte de ces élites contre le peuple, il se trouve – et là on ne parle même pas des journaux de gauche qui ont choisi le camp du Mal –, des journaux de droite qui entretiennent la psychose.

 

 

Le futur que les abrutis attendent n’existe pas, il sert tout simplement à faire oublier un présent pourri. Si les salauds aux commandes avaient vraiment voulu soigner les Français, ils auraient versé des milliards sur l’hôpital, comme ils en ont versés ailleurs. Mais pour des raisons politiques de poursuite de l’opération de terreur, l’hôpital public devait rester pauvre, saturé, et donc, au bout du compte, meurtrier.

 

 

Bonus : la « politique » par Bigard (à partir de 3’10)

 

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