Pendant trois décennies, du début des années 80 au début des années 2010, la gauche culturelle a tenu le haut du pavé dans les médias. Elle occupait plus de 80% de la presse mainstream, qu’elle occupe toujours d’ailleurs. Ce qui a changé, c’est le rapport médias dominants/réseaux sociaux, qui sont nés au milieu des années 2000, avec l’avènement de Facebook en 2004, YouTube en 2005 et Twitter en 2006. Ces trois entités forment ce qu’on appelle aujourd’hui « les réseaux sociaux ». La presse mainstream, elle, s’est effondrée. La puissance des réseaux sociaux (RS) dans la fabrication de l’opinion mondiale n’en est que plus forte.
Même si le réseauteur social mondial est plutôt de gauche, plutôt jeune (15-35 ans) et plutôt politiquement ignorant – quand on est jeune et de gauche on ne pense pas vraiment – la pensée lucide fait son chemin et décille les yeux de beaucoup. Le sentiment national revient à la mode, les gens comprennent que mépriser son pays pour admirer l’Amérique ou Israël ne mène pas bien loin. C’est pourtant ce qui est enseigné globalement dans les médias – mainstream et RS compris – par les leaders d’opinion qui ne sont que des agents du mondialisme.
Plus 5000 abonnés en une journée. Ce n’est pas mon habitude mais ce serait un beau pied de nez à tous nos ayatollahs gauchistes si mon compte se rapprochait significativement des 10 000 en fin de journée. Merci de votre aide. Faites tourner...
— Pont d'Arcole ن (@PtdArcole2) 27 décembre 2017
Cependant, depuis une décennie, d’autres leaders d’opinion imprévus ont vu le jour et commencé à fédérer des communautés de pensée. On l’a vu avec E&R en France, premier site politique national, ainsi que les Identitaires, qui sont eux portés sur la défense de la Nation mais tournée contre les musulmans. On peut dire qu’il y a désormais une résistance non sioniste et une résistance siono-compatible en France aujourd’hui.
Les partis d’opposition, à grand peine, essayent de se situer par rapport à ces deux tendances. Que ce soit à gauche comme à droite : le FN de Marine Le Pen sans Philippot a fait allégeance au sionisme dans sa version française, la France insoumise de Mélenchon essayant de récupérer la frange anti-impérialiste de tous les camps, celle de l’axe américano-sioniste.
Excellente réponse de la @PoliceNationale pic.twitter.com/VQjWQWoEaK
— Valérie Boyer (@valerieboyer13) 28 décembre 2017
Ces choses étant posées, beaucoup de gauchistes appliquant les vieilles règles maison voient leur influence non seulement décliner, mais être douloureusement contrée par une pensée plus lucide, plus adaptée aux temps nouveaux. Il ne s’agit pas d’être forcément anti-antiraciste ou anti-antifasciste, mais il faut bien convenir que les concepts de gauche se heurtent de plus en plus au Réel. Quand ils ne se heurtent pas les uns aux autres, comme on l’a vu avec l’affaire des agressions sexuelles du quartier de La Chapelle à Paris, quand les « racisés » insultent les bobos françaises.
Un conflit d’extensions interne au Système qui n’a pas encore été résolu. C’est normal, le gauchiste, ou la gauchiste, ne peut remettre en question ni le féminisme ni l’antiracisme. Même chose avec les autres piliers de la pensée dominante que sont le sionisme, le LGBTisme, le maçonnisme, le laïcisme et l’antifascisme. Toutes ces sous-idéologies s’autotamponnent à la plus grande joie des mal-pensants, que les gauchistes appellent les « fachos ». Des fachos, on le rappelle, qui ne sont pas au pouvoir mais dans le maquis politique et médiatique...
Il paraît que les français sont injustes avec monsieur Maurice Papon, ministre de l'intérieur du maréchal Macron https://t.co/1Eunyb7sTz
— L'insurgé (@linsurge_) 28 décembre 2017
« Gazer les Blancs, cette sous-race »
Entrons dans le concret. La duplicité du gauchiste qui se pose en victime du Système est aujourd’hui visible. Les exemples abondent de ces produits du socialo-sionisme antiraciste qui ont sombré dans le racisme antifrançais le plus délirant. Nous pensons à cette dirigeante de l’UNEF-Lille :
la vice-présidente de @UNEF à Lille veut "gazer tous les blancs" une"sous race"
Elle change son @ voilà le nouveau @koemunig !!!
Alors @TwitterSupport ??@PoliceNationale pic.twitter.com/7d16soj5eB— CESTMOIن ™️ (@_Math_D69) 27 décembre 2017
La liste est longue de ses insultes répétées, et impunies :
Bonjour @UNEF , que comptez-vous faire contre les propos répétés et odieux de votre vice présidente Hafsa Askar ? Coucou @SOS_Racisme pic.twitter.com/cGmJVLyLOm
— the Inked M (@TheInkedM) 28 décembre 2017
Ce qui prouve bien que ces authentiques racistes ne sont pas dans l’opposition, malgré ce qu’ils tentent de faire croire, mais bien sur la ligne du pouvoir profond. Seule l’impunité dont jouissent ces gauchistes racistes (pléonasme), qu’elle soit médiatique ou juridique, démontre la complicité de ces deux organisations. Et quand le Bas bénéficie de la mansuétude du Haut, il se lâche.
C’est ainsi que le YouTubeur Usul s’est fait pincer à cause d’une vidéo où il justifiait avec force pilpoul le tabassage des flics. Voici la vidéo originelle, suivie de la vidéo d’explications :
« On peut débloquer la démocratie en tabassant des flics », nous dit Usul.
« Oui mais attaquer des flics ça fait des flics blessés », répond la demoiselle.
Je vous laisse admirer la gymnastique mentale qui va suivre pic.twitter.com/OkQGuU2tK4
— SanglierSympa (@SanglierSympa) 25 décembre 2017
Usul, qui est intelligent, a donc tenu des propos qui ont dépassé sa pensée de démocrate. Est-il, au fond, un démocrate ou un fasciste ?
Et Mathieu Kassovitz, qui se faisait racketter par les lascars du quartier sur le tournage de La Haine, cette grosse production gauchiste antifrançaise datant de 1995, avec ses insultes récurrentes envers les patriotes, est-il un démocrate ou un fasciste ?
Ces deux qualificatifs n’ont pas encore changé de camp, mais ils sont en train.