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La colère du libraire cambriolé : "Nos quartiers populaires sont en train de sombrer"

Dans la nuit de samedi à dimanche, la librairie et l’appartement de Jacques Desse ont été cambriolés. Ce libraire du quartier de la Goutte d’Or, dans le 18e arrondissement de Paris, est à bout. Au lendemain du cambriolage, les dégâts sont encore présents et l’émotion vive.

 

« On a fait sécher les papiers puisque tout a été arrosé d’eau, on ne sait pas pourquoi (...). J’ai les larmes aux yeux. Attaquer une librairie pour piquer trois sous et tout salir... Il y a n côté sacré dans le livre », s’émeut ce commerce.

Au-delà du préjudice subi, Jacques veut alerter sur la situation du quartier. Dans le 18e arrondissement, les cambriolage sont en hausse de 25 % en un an. Le 18e est aussi l’arrondissement où le plus d’atteintes à l’intégrité physique (violences) ont été recensées cette année.

 

« Si vous ne faites rien on va devenir fous »

« Nos quartiers populaires du nord-est de Paris sont en train de sombrer, c’est très difficile d’entreprendre, de construire quelque chose et d’être obligé de se battre en permanence contre une espèce de boule qui nous écrase, qui nous démoralise », regrette Jacques Desse.

Fatigué et lassé de cette situation, il comprend les commerçants qui ont jeté l’éponge. Sous le coup de la colère après son cambriolage, le libraire a évoqué dans un tweet la possibilité de s’armer pour se défendre, interpellant la préfecture de police, le maire du 18e et l’adjointe à la sécurité. Un tweet qu’il a fait le choix de supprimer.

« C’est monstrueux d’avoir des idées comme ça. J’ai dit ça publiquement sur Twitter, je n’en ai même pas honte. Mais ce n’est pas normal, on ne doit pas en arriver à devenir fou comme ça. Si vous ne faites rien on va devenir fous », insiste-t-il à l’attention des élus.

Lire l’article entier sur bfmtv.com

 

Les dégâts du progressisme à Paris, sur E&R :

 






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92 Commentaires

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  • Il y a 50 ans, nos élites ont commis deux fautes graves, qui équivalent à de la haute trahison.

    La première a consisté, merci Pompidou, à imposer à la France, à nous donc, d’emprunter sur les marchés au lieu de créer, comme cela avait été le cas pendant les 30 glorieuses, sa propre monnaie selon ses besoins. Résultat, 50 ans plus tard : 100% d’endettement. Rien, ou presque rien au moment où Pompidou avalise la décision. En 50 ans, ils nous ont ruinés. D’où les gilets jaunes.

    La seconde a consisté à ouvrir les frontières. Au nom des droits de l’homme. Au nom du "Bien". Et des grandes entreprises. Résultat, 50 ans plus tard : une France riche, diverse, apaisée et heureuse. Le bonheur à l’état pur. Ce libraire est donc à l’image de notre pays : riche, antiraciste, apaisé et heureux. Merci les francs-macs !

    Comment détruire un pays en 50 ans... Au nom du Bien.

     

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    • @achem
      Il y a effectivement un lien entre l’immigration de masse et les reformes monetaires des années 70 (loi Pompidou/fin de Bretton Woods).

      D’un coté, on imprime du papier monetaire ; de l’autre coté, on imprime des papiers d’identité.
      L’imprimante à papier d’identité a eu le même effet que l’imprimante à billet : on a noyé la qualité dans la quantité. L’immigration est un QE démographique, et être Français a perdu de la valeur.
      Le Chartalisme (l’argent n’a de valeur que par contrat) est le pendant économique du Contractualisme (la citoyenneté n’a de valeur que par contrat).
      Les deux finissent par une necessité de revenir a un Standard Or. Il faudra faire un audit sur la citoyenneté.
      Comme dirait Marine Le Pen : la citoyenneté, c’est comme l’argent, ça s’hérite ou ça se mérite.

       
    • @tchek

      Rapprochement intéressant en effet. A associer aussi à ce que dit Peterson de la notion de hiérarchie.

       
  • #2304209

    "Dieu se rit de ceux qui vomissent les effets dont ils chérissent les causes" a dit Bossuet. Franchement, je n’ai pas une once d’empathie pour ceux qui ont acquiesé à l’invasion du territoire ou qui ont pourfendu de haine ceux qui alertaient contre les risques d’une telle submersion, et qui viennent chialer quand ça leur tombe dessus.
    Si cet homme était de ceux-là, bien fait pour sa gueule.
    Sinon, c’est bien triste mais pas surprenant.

     

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  • cela ne s’appel pas le vivre ensemble "entre eux", mais le vivre avec "les autres".
    déconcertant l’aveuglement de ses bobos gauchos qui ne souhaitent pas voir la réalité. Même un aveugle la vois.

     

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  • Les gauchistes n’en peuvent plus de vivre dans leur enrichissement culturel, et ils rêvent d’armes, de milices, de grand nettoyage du grand remplacement... Ils commencent probablement tous à être pris d’une commotion cérébrale à réfléchir aux causes de leur enfer tout en continuant à se battre pour leur descente vers le 9ème cercle.... autisme radical quand tu nous tiens...

     

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  • #2304299
    Le 22 octobre 2019 à 23:49 par Jay Duplond-danlèle
    La colère du libraire cambriolé : "Nos quartiers populaires sont en train de (...)

    ordo ab chaos

     

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  • A Barcelone on a les mêmes, les "Mena" (Menores de edad non acompañados). Ils volent et agressent toute la journée (essentiellement des femmes). Ils sont extrêmement dangereux car ils n’ont rien a perdre et lorsqu’il se font attraper par de braves passants ils sortent systematiquement un couteau.

    Pour lutter contre ce fléau la maire de Barcelone Ada Colau a décider de .... les aider financièrement : 640 € jusqu’à leur majorité et logement en centre où ils ne vont jamais. Le message envoyé aux cousins du bled est catastrophique. Du coup ils sont en total impunité et ont même une vidéo sur Youtube. Un rap où ils se vantent de leur méfaits :

    https://youtu.be/13bHfoDv3J4

     

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    • L’autre ahuri a raison : ça prend DES MILICIENS. Pas des milices de gauchiasses la, mais des gars solides,décidés, armés de battes de baseball, afin de garantir la sécurité du voisinage. Cesser d’être des victimes...

      Les américains, ces "imbéciles", le font,eux.
      Et ça marche.

       
  • Fahrenheit 451 de Truffaut. On y arrive.

     

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  • Un électeur, de Mélenchon, ou Macron, ou Hollande...
    Comment osent-ils encore venir se plaindre...
    Qu’ils la ferment et assument les conséquences profondes de leurs actes...
    Des milliers, ou des millions de français sont seuls démunis chaque jour face à ces fléaux... Il a bien la chance de pouvoir s’exprimer celui-là

     

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  • #2305151

    La boboïsation de la goutte d’or est-elle un fléau ?
    Dire que les ados encartés au NPA viennent y taguer des No pasaran et des Pas de fachos dans nos quartiers. Un copain marocain s’est fait braquer par une bande de 4 jeunes marocains près de cette librairie la semaine dernière. Ils n’ont rien pu voler. En arabe il leur a dit que c’étaient des crevards et qu’ils retournent chez eux.

     

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  • #2305366
    Le 24 octobre 2019 à 12:23 par Emmanuel p’tit con
    La colère du libraire cambriolé : "Nos quartiers populaires sont en train de (...)

    Quel débile une bibliothèque...en 2019 en France LaREM ce qui marche c’est les salles de shoot pour les subventions, une boîte de nuit gay avec barebackin dans le Marais, une boîte de mannequins mineures pour soirée d’élites, un sexshop ou tu vends du poppers, réalisateur de films porno... là ,oui tu marches, mais une bibliothèque !
    Un peu de sérieux merde
    Les livres c’est l’obscurantisme la sodomie, la drogue, ça c’est les lumières
    On est bling bling où on l’est pas
    De toute manière si tu veux bosser t’as juste à traverser la rue

     

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