Napoléon n’était pas plus sanguinaire que la perfide Albion notre adversaire de toujours, qui a envoyé le Continent entier combattre la France pendant 23 ans et 7 coalitions successives de la "Sainte Alliance" l’ancêtre de l’Otan sous service anglo-saxon. L’Angleterre a favorisé la destruction de la puissante Monarchie Française, a manipulé une part de la Révolution et s’est retourné contre elle pour mieux favoriser l’anarchie et l’affairisme.
Sous Napoléon il n’y a jamais eu de "terreurs" en France comme ce fut le cas sous la Révolution puis sous le retour des Bourbons dans les bagages des armées étrangères envahissant la Patrie.
Napoléon a eu après des dizaines de batailles victorieuses dont certaines splendides pour l’art militaire, des revers qui lui ont été fatal militairement car tactiquement il ne pouvait que gagner sinon la France allait subir l’Occupation en plus de la guerre sur les théâtres extérieurs (européens & coloniaux), car si lui a laissé sur les Trônes les autorités vaincues à chaque coalition, il savait pertinemment que les rois menés par Albion ne lui auraient fait aucun cadeau et que sans cesse l’argent de la City et des colonies anglaises permettait d’acheter indéfiniment des européens pour combattre la France.
Il a bien fait d’essayer de trouver la mort jusque sur le champ de bataille, c’est un geste héroïque d’honneur & de gloire d’un chef d’Etat lucide qui savait qu’il avait faillit à son Serment au Peuple Français à savoir de garantir l’Intégrité & l’Inviolabilité du Territoire de la République Française.
La tannée de Waterloo en terme d’Indépendance vis à vis du monde anglo-saxon, la France ne s’en est jamais remise, des frontières artificielles ont été tracé par les occupants pour nous départir de nos Frontières Naturelles toujours perdues à ce jour.
Mais le combat qui l’opposait à Albion n’était que le match retour continental de la défaite ultra-marine de nos rois en Amérique surtout, il n’y a pas de "guerres napoléoniennes" c’est un mensonge du vainqueur.
C’est en tant que patriotes que nous devons donc être modérés et en même temps soutenir la Mémoire de cette Dernière Grande Gloire Nationale après Louis XIV, un géni qui a porté la France au plus haut du firmament.
A une époque où l’on combattait Albion en toute Indépendance Nationale où nous n’étions pas ses supplétifs pour partir en Crimée ou pour se faire casser la gueule 3 fois par leurs cousins-"germains" rivaux, pire encore y trouver refuge en prônant "l’Union" ...