La liberté d’expression recule en France et le moins qu’on puisse dire, c’est que les confrères ne sont pas très confraternels. C’est même le contraire : le lion a un genou à terre, les ânes viennent lui donner un petit coup de sabot mais avec prudence, car on ne sait jamais de quoi demain sera fait.
Joint par StreetPress, Facebook confirme la fermeture définitive des pages dont le contenu contrevenait à la charte du réseau social. L’entreprise rappelle que « les organisations ou les personnes qui prêchent la haine n’ont pas leur place sur Facebook » sans qu’on puisse savoir si un contenu en particulier a attiré son attention ou si c’est pour l’ensemble de l’œuvre du dissident autoproclamé. Seul précision :
« Un seul signalement peut suffire, ce n’est pas parce qu’un contenu est signalé à de très nombreuses reprises qu’il a plus de chance d’être retiré. »
Une semaine plus tôt, c’est youtube qui décidait de restreindre drastiquement la visibilité de l’une des vidéos du cyber-activiste. Ne reste plus qu’à Alain Soral son propre site internet pour faire la promotion de ses obsessions haineuses et… des produits dérivés dont il fait commerce.
Les agents sionistes de StreetPress, élevés au biberon de la haine antifrançaise, ne connaissent probablement pas cette maxime du Christ, qui se vérifie depuis 2 000 ans, et sur la durée :
« Celui qui vit par l’épée meurt par l’épée »
Idem avec la haine sioniste. On peut donc imaginer que les petits lascars de StreetPress, qui sont protégés par l’Intérieur mais qui sont objectivement en terrain étranger en France, s’étoufferont un jour avec leur incroyable ressentiment. A-t-on idée, nous, de débarquer dans l’entité israélienne pour donner des consignes aux habitants et tenter d’étouffer leur liberté d’expression ?
Cependant, car nous sommes chrétiens, nous pardonnons à Molard et à ses sponsors leur morgue de provocateurs haziziens planqués derrière l’arsenal répressif qui se tient prêt à cogner au moindre mouvement de notre part. C’est bien simple, on ne peut pas répliquer : ni sur le champ du droit, ni sur le champ de la rue, pardon, de la street.
La haine dont nous faisons l’objet prouve deux choses : un, que nous sommes sur la bonne voie en termes de révélations sur le pouvoir profond, deux, que nos adversaires n’ont pas d’arguments valables à nous opposer. De l’indifférence forcée des grands médias au « bien fait » puéril de StreetPress, c’est toute la gamme des larbins du Système qui sentent que la situation leur échappe.
Mais ils ne doivent pas oublier une chose : ils sont en France en terrain hostile, et trop tirer sur la corde peut la faire craquer. Ensuite, que va devenir la Bête immonde, une fois lâchée dans la nature ? Va-t-elle lécher les pieds de ses maîtres, ou bien les mordre ?
Ceux qui aiment les chiens savent qu’on ne doit pas les battre.