Les Roms. Ils sont 10 à 12 millions, principalement fixés en Europe de l’Est. Beaucoup tentent leur chance à l’Ouest, l’Eldorado des pauvres. Ceux-là ne viennent pas pour travailler, mais pour spolier.
Cela fait de ces « détachés » une communauté étrangement protégée, surprotégée même, par l’Union européenne – 13 milliards de budget du FSE (Fonds social européen) leur sont consacrés – à l’extérieur, et par les associations qui régissent la vie morale et juridique de notre République – de SOS Racisme à la LICRA – à l’intérieur de notre pays. Or il faut bien en convenir, les Roms, venus principalement de Roumanie et de Bulgarie (la Hongrie les expulse chez ces voisins sans vergogne), n’apportent pas grand-chose à la France. Que ce soit en termes économiques ou culturels.
Sauf peut-être le cirque Romanès, dont le fondateur est régulièrement invité sur les plateaux télé (Grand Journal et consorts) pour défendre l’apport artistique de sa communauté et marteler notre mémoire des crimes franco-nazis de la dernière Guerre. Sauf que Romanès est un Gitan, pas un Rom. Une différence de taille. Les uns travaillent en France, les autres viennent y piller tout ce qu’ils peuvent.
Pour les Français qui rencontrent ces êtres moyenâgeux – avec tout le respect qu’on doit à cet âge injustement déconsidéré –, la réalité est brutale. Il s’agit, et là nous ne confondons par les Roms avec les Gens du voyage, de tribus qui vivent sur le dos de la bête, à savoir les habitants qui se trouvent près des camps plus ou moins organisés, plus ou moins improvisés, souvent à l’orée des petites et moyennes villes. Un reliquat du bannissement remontant à l’époque où les Roms étaient un peu plus farouches, rapport aux réactions parfois directes des habitants, peu enclins à se faire faucher salades et gibiers.
Aujourd’hui, à l’époque dite moderne, le Rom n’est plus qu’un individu apatride, ultra-communautaire (jusqu’à la consanguinité, qui explique leur taille modeste), protégé donc par les lois de l’Europe et des lobbies, au détriment des Français qui eux, n’ont que le droit de subir et de se taire. Toute manifestation de colère à leur encontre étant immédiatement amalgamée à un acte quasi-nazi. Si Jean-Marie Le Pen a été un peu « rugueux sur la forme », comme le dit sa fille Marine, personne ne peut nier que la constitution de déchetteries à ciel ouvert dans des conditions sanitaires dignes d’un camp de réfugiés – ou de concentration – soient le lot de cette population. On n’entend pas beaucoup les écologistes à ce propos. Quant aux gauchistes, ils les défendent mordicus, voyant en eux les victimes d’un Etat répressif, raciste et sans cœur. Vision aussi simple que fausse de la situation.
Prédation sous-prolétaire
Avec le recul, on comprend que l’introduction de Roms en France dans les années 2000 a été le prélude au chaos migratoire que nous connaissons depuis deux ans. Le principe est le même : déstabiliser un pays en lui injectant une population impossible à intégrer et génératrice de chaos social. C’est le petit peuple français qui subit cette déferlante dont le seul objet est de voler, sans aucun complexe. Connaissant bien le droit français en la matière – c’est-à-dire une répression quasi-inexistante, d’autres diraient un véritable encouragement –, ils savent passer entre les mailles du filet juridico-policier afin de poursuivre, impunément, leur travail de spoliation de basse intensité. Car si les Roms volent, ils ne volent généralement que des babioles. Mais aussi les métaux (cuivre, plomb), que les responsables de cette communauté trafiquent et revendent dans les pays de l’Est par camions entiers. Il s’agit donc, derrière des petites mains esclavagisées, d’une véritable mafia, et dont les parrains vivent au pays, dans des châteaux à la décoration grotesque. Un pillage qui finit en mauvais goût…
La délinquance sous-prolétaire de ces « sous-hommes » apatrides transfrontaliers est à l’image de la délinquance financière des « surhommes » apatrides transfrontaliers, ce qui explique peut-être leur impunité : les uns s’attachent au cuivre, les autres à l’or. Les spoliateurs d’en bas sont soutenus par les spoliateurs du haut, moins visibles mais autrement plus puissants. D’où la nécessité, pour se débarrasser des racailles d’en bas, de se débarrasser aussi des racailles d’en haut...
Ci-dessous, un petit diaporama glané sur le Net et consacré à la ville de Buzescu, où les « rois des Roms » font étalage de leur richesse. À ne pas manquer après le diaporama : l’analyse du problème rom par Alain Soral.
Alain Soral décrypte la question rom et rétablit la distinction essentielle entre Roms et Gitans (extrait de la vidéo de rentrée 2013) :