Élevée au lait trotskiste, Marlène, dans sa vie antérieure, a été auteur de livres de cul pour grosses. Elle incarna ensuite la souffrance féministe dans le gouvernement Philippe, puis la très nébuleuse Citoyenneté sous Castex, que tout le monde a déjà oublié. Castex, c’était le casting France profonde de Macron, qui croit qu’on peut blouser les Gilets jaunes avec un Bourvil à Matignon. Depuis, elle a été promue bonniche de Darmanin, le petit monsieur qui se voit Premier ministre après Borne et prochain président en 2027.
La forte femme à voix crispante et au titre grotesque – secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative – distribue la manne nationale aux assoces méritantes, c’est-à-dire qui vont dans le sens du Système. On y trouve des féministes, des antiracistes, des LGBTistes, ces minorités qui pleurnichent du matin au soir pour une chiquenaude, alors que des millions de Français se tuent au travail et que le gouvernement s’en tape.
Schiappa, en délicatesse avec ce cadeau de 2 millions aux assoces en charge de la dé-djihadisation, envoie le contre-feu sociétal classique. Le Média résume la ficelle, un peu grosse.
Comme on a dit pas le physique, on ne fera pas de commentaires sur les photos de Marlène dans Playboy, ce vieux mag usé jusqu’à l’os pour gobeurs de Viagra. Trois clichés suffiront.
Quoi qu'on pense de la démarche, du modèle, ou de la qualité de ces photos, elles soulèvent quand même une question importante, à savoir : où est l'argent du fonds Marianne, Marlène ? pic.twitter.com/pHLxmSOSNp
— François Malaussena (@malopedia) April 4, 2023
Pour info, c’est le charlot Sifaoui qui a siphonné une bonne partie des deux bâtons.
On poursuit dans le grotesque avec l’interview de Macron dans Pif, le journal pour enfants, et celle de Dussopt dans Têtu, où il avoue son homosexualité.
Il ne manque plus que Borne à poil dans Dykes on Bikes, et la Ve République sera définitivement dans la fosse. L’impression finale de tout ce bordel, c’est une République LGBT qui se torche avec les problèmes des Français, et qui ne s’occupe que de son « propre » cul.
Ces trois exemples illustrent le glissement de la politique classique vers le néant sociétal. La politique sérieuse, elle, est l’affaire non pas de Macron, cet ado en déroute, ou de ses clowns Dussopt & Schiappa, mais des réseaux occultes incarnés par le mystérieux Alexis Kohler. C’est le pouvoir profond qui ordonne aux larbins du pouvoir visible de tabasser les Gilets jaunes, puis les anti-64 ans.
Nettement moins sexy, n’est-ce pas ?