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Effondrement de l’éducation nationale : le témoignage choc d’un professeur

Docteur et agrégée de lettres, Eve Vaguerlant enseigne depuis plus de 10 ans dans les collèges et lycées de la région parisienne. Forte de son expérience, elle dresse un tableau sombre de la relation avec les élèves, mais aussi les parents ou la hiérarchie. Tableau qui a déjà été dépeint, en particulier sur la baisse vertigineuse du niveau avec Jean-Paul Brighelli – entre autres. En attendant qu’un gouvernement veuille bien prendre un jour des décisions en vue de réformer le mammouth.

 

 

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Douloureux rappel d’un enfant d’une autre époque :

 

Sur l’éducation de nos jours :

 






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70 Commentaires

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  • .La jeune prof décrit un métier d’esclave : elle doit toujours quelque chose à quelqu’un, qui ne lui doit même pas le respect dû à sa fonction.
    La plus inculte des matrones a le doit de l’interpeller, de la convoquer. Le directeur a le droit de la considérer de son haut, la technicienne de surface peut lui faire des réflexions, le sale gosse peut la pousser à bout ; elle n’a pas le droit de lui retourner une gifle ; les parents peuvet lui faire répéter dix fois la me^me chose, sans considération pour son temps ou sa patience...
    On pense aux employées philippines d’Arabie saoudite qui ne peuvent qu’obéir à des gamins pourris gâtés, auxquelles on confisque toute dignité et toute personnalité..
    L’orientalisation, la maghrébisation, l’africanisation de la France ont eu, entre autres, ce genre de résultat. En Algérie, on paie parfois la maîtresse pour qu’elle donne de bonnes notes au rejeton.
    Faire comme avant, éduquer comme en Russie, c’est la seule solution, pas difficile à appliquer. Quand Macron a voulu obtenir le silence, ça n’a pas traîné, il l’a eu.

     

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  • #3155328

    Toujours la même causalité que pour le stade de France : la France fonctionnaire telle qu’en elle-même. La logique qui guide des gens et des structures payés à vie par prélèvements obligatoire c’est :
    1) pas de vagues. Pour qu’il n’y ait pas de vagues il faut le moins d’activité possible. Pour qu’il y ait le moins d’activité il faut le maximum de réglementation pour que tout deviennent très difficile.
    2) la protection du Bien. On est dans la prédation sociale mais personne n’est capable d’assumer le mal donc c’est le Bien qui remplace la réalité de la prestation et plus on monte plus on s’éloigne de la prestation et plus le discours de Bien devient délirant. Sur la structure de ce Bien, qui l’a créé je ne vais rien dire pour avoir une petite chance d’éviter la censure.

    Tout ce fonctionnement est immanent, les gens ne le font pas avec une conscience explicite, c’est leur statut de prédateurs sociaux qui se structure comme ça de lui-même.

     

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  • #3155329

    Et maintenant avec l’arrivée sur le marché des "nouveaux profs" de la génération Z (ayant eux-mêmes été victimes de ce fameux système scolaire décadent), ça promet !

    Ayant un peu enseigné en Université (ainsi qu’un peu en "Haute Ecole", vu qu’en Belgique, on fait une distinction), j’ai notamment pu constater que :
    - La plupart des futurs "institeurs*" (*je devrais plutôt le mettre au féminin car classes de "30F/1M") ne savent pas aligner deux mots sans faire trois fautes... (Je ne cotais évidement que les "raisonnements Mathématiques", mais l’orthographe faisait quand même mal aux yeux)
    - Les futurs "Profs de Maths" (en dernière année) devaient régulièrement participer à des "formations" EVRAS-LGBTmachintruc ; ces dernières étant obligatoires contrairement aux cours (!), pour lesquels la présence était facultative (d’ailleurs, sur deux semaines, 8 heures de mon cours d’Analyse Mathématique [pourtant considéré comme le "cours le plus important"] avaient été supprimées de l’horaire pour être remplacées par des "formations EVRAS LGBTmachintruc") ==> Apparemment, le Système estime donc que pour les Profs de Maths, le LGBTisme est "plus important" que... les Mathématiques... :o)

    Mais je ne sais pas ce qui est le plus terrifiant : ça ou ce que j’ai vu lorsque j’ai enseigné en Faculté Polytechnique :
    - Là effectivement, le "niveau" semblait globalement "plus élevé" : cours plus intensifs et élèves globalement à la fois plus "studieux" et -vraisemblablement- "vifs d’esprit" (NB : comparaison très relative, hein ! Ici, je compare ces futurs ingénieurs aux futurs profs susmentionnés)
    - MAIS en corrigeant les examens j’ai quand même vu tellement d’aberrations (avec souvent une absence de Logique assez déroutante) ==> le fait de penser que "dans quelques années, une grande partie de ceux qui écrivent ça seront des Ingénieurs (éventuellement chargés de la conception de ponts, avions voire centrales nucléaires etc)" : ça fait très peur !..

     

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  • Le journaleux du milieu est horripilant, à s’écouter parler pour ne rien dire.
    Les constats qu’ils font sont connus, mais quant à s’approcher des causes.... ça tourne pas mal autour du pot.
    85 % des élèves fouteurs de merde sont d’origine étrangère.
    Le souci principal c’est le caractère idéologique des programmes, la réécriture de l’histoire. Les choix pédagogiques sont certes responsables, mais de façon secondaire.
    Ces deux éléments peuvent éclairer nos résultats aux classements PISA : la France est dans le peloton de tête pour l’absentéisme, la violence scolaire, le décrochage et la reproduction sociale.

    PS : j’enseigne en lycée pro
    PS : merci pour la vidéo du petit poulet helvète, c’est un baume au coeur de l’entendre parler de notre Seigneur avant une telle candeur, particulièrement aujourd’hui, vendredi saint.

     

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  • #3155373

    Féminisation de l’éducation nationale, féminisation de l’autorité parentale, et maintenant la féminisation de la dénonciation des effets de la féminisation.

     

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    • Féminisation ! Euh oui, ça dépend ,... moi je travaille en école maternelle : de plus en plus d’hommes, tant professeur des écoles qu’atsem !! Tout ça pour des gamins de plus en plus débiles, les pauvres, MERCI les vaccins. Les instit de maternelle sont de plus en plus détestables et ignorants, même pas capables de conjuguer un verbe au futur simple, ni de faire un accord correct de participé passé ... et toujours en train de se plaindre ...

       
  • #3155416
    Le 8 avril 2023 à 00:05 par Aymard de Chartres
    Effondrement de l’éducation nationale : le témoignage choc d’un (...)

    Ce bout de chou est chérissable à merveille. Quel plaisir que d’écouter un tel enfant encore si jeune et inexpérimenté qui réfléchit avant de répondre aux questions et qui parle avec la voix de l’innocence sublime.

    J’ai parfaitement conscience que la société d’avant était toutefois bien meilleure que celle d’aujourd’hui en occident, et ce, bien que bien que la comparaison ne s’entend qu’en termes de bon sens commun, de communauté d’intérêt national, d’intelligence critique, d’émerveillement, de spiritualité transcendante et de bonheur.

     

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  • #3155588

    Sur le fonds , elle a raison mais je ne l’ai pas non plus attendue pour savoir ce qu’elle dénonce.
    Pour la forme, et au vu de son niveau supposé, elle parle de façon très ordinaire avec les tics de langage de 2023. Décevant !

     

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    • C’est un peu vrai : ce qu’elle évoque (plutôt que "dénoncer"), ce ne sont simplement que les choses de la vie quotidienne d’un prof depuis un peu plus d’une dizaine d’années suivant les établissements... Je n’ai pas lu son bouquin (que j’essaierai de feuilleter dans une FNAC à l’occaz si je le trouve), mais eu égard au "haut niveau" de "qualification(s)" de cette Dame (mais qui enseigne en collège... - c’est moins chiant niveau copies !), les tics de langage 2023 sont effecitvement décevants, voire effrayants - ce qui ne donne - in fine - pas envie de lire des anecdotes connues, sans aucun recul critique et sans aucune analyse de fond du Problème !
      En fait, tout a été bien résumé et analysé dans le livre d’Anne-Sophie NOGARET où cette dernière analyse brillament (en comparaison avec d’autres ouvrages) les rouages et les vicissitudes du système et des "profs", qui ne sont de facto même pas des "enseignants", mais des gardiens de zoo..., et qui a eu le courage de quitter la Déséducation Nationale, ce qui ne semble pas effleurer l’esprit de cette jeune fonctionnaire tenant quand même à ses 15h et à son salaire ! Par ailleurs, il serait judicieux de savoir les liens qu’elle a avec des pontes de l’EN, car dénoncer peut conduire à la radiation des cadres (j’en ai connus quelques-uns).
      A mon avis, ce genre de bouquins ne vaut pas mieux que ceux d’un Jean-Paul B., qui n’a jamais enseigné ailleurs que dans des CPGE prestigieuses (je pourrai faire un roman sur ce faux-jeton que j’ai assez bien connu !).
      Comme dit le patron A.S., quand on tape à côté et qu’on ne tire pas dans le mille, on ne fait rien !

       
  • #3155761

    Lorsque tu sors de l’école aujourd’hui tu es con inculte et violent. Voilà ce qu’ils ont réussi à faire. Chapeau !

    Il y a 20 ans c’était déjà comme ça. Et même aujourd’hui en 2023 sur une radio "de droite" on sent qu’ils n’osent pas prononcer les mots interdits : discipline, élitisme. Bon courage ! On a voulu tuer le père, renverser les structures et les hiérarchies naturelles, et maintenant on ne comprend pas pourquoi tout s’effondre.

    De baffes et coups de pied au cul.

     

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  • Quelqu’un peut témoigner à propos du niveau actuel des élèves d’auto-écoles ?

     

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  • #3155934

    La différence entre le privé (sous contrat) et le public c’est le public du privé versus le public du public. Pas plus.

     

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