Autocratie et corruption sont les deux mamelles de Leyen
« Merci Klaus ». Rien que le début du discours de la présidente de la Commission européenne (depuis le 1er décembre 2019, juste au moment du début du covidisme, et cette coïncidence aura son importance par la suite) donne le ton. On est entre initiés, et Klaus n’est autre que Klaus Schwab, le fondateur et président (exécutif) de ce forum depuis 1971. Wikipédia, sans vice caché, nous révèle le projet du « prof », comme l’appelle Macron : « Klaus Schwab entend familiariser les entreprises européennes avec les pratiques de management en vigueur aux États-Unis ». Il s’agit tout simplement d’une annexion politico-économique de l’Union européenne par les États-Unis. L’Europe ne doit pas être indépendante, et encore moins tomber dans les bras de la Chine ou de la Russie, qui sont pourtant ses grands partenaires continentaux. D’où la menace de Leyen à la Russie.
En cas d’attaque (russe) contre l’Ukraine, Ursula a prévenu que l’UE était « prête » et qu’elle répondrait par des « sanctions économiques et financières massives » :
« L’Union européenne est de loin le premier partenaire commercial de la Russie et de loin le premier investisseur. Et oui, cette relation commerciale est importante pour nous, mais elle est bien plus importante pour la Russie. Nous espérons qu’une attaque n’aura pas lieu, mais si c’est le cas, nous sommes prêts. Si la situation se détériore, s’il y a de nouvelles attaques contre l’intégrité territoriale de l’Ukraine, nous répondrons par des sanctions économiques et financières massives. »
Quand une présidente d’UE parle au nom de 450 millions d’Européens, et qu’elle menace un pays souverain, la Russie, nous sommes otages de sa menace et des conséquences que cette menace peut engendrer. Il s’agit ni plus ni moins d’une tyrannie, parce que les peuples n’ont pas leur mot à dire : leur parole a été confisquée par un Parlement (européen) complètement inutile, comme l’est notre parlement. L’UE a un pouvoir présidentiel qui a basculé dans la tyrannie. Mais les ennemis d’Ursula et de Klaus ne sont pas nos ennemis : nous ne partirons pas en guerre pour eux, leurs profits et leurs vaccins immondes. On sent bien, derrière les menaces d’Ursula, les bruits de bottes de l’OTAN.
We also need trust between nations, as we face, united, Russian interference in our neighbourhood.
We want this dialogue with Russia. But we firmly support Ukraine's freedom to decide as a sovereign state.
If the situation deteriorates, we will respond with massive sanctions. pic.twitter.com/qboSFkSF4y
— Ursula von der Leyen (@vonderleyen) January 20, 2022
En bonne élève du couple Schwab-Bourla, Leyen trahit les peuples européens pour offrir à la racaille mondialiste l’UE sur un plateau d’argent, tout en prenant sa dîme au passage, son mari travaillant indirectement et directement pour les grands labos. On rappelle que le deal entre Bourla de Pfizer et Leyen de l’UE a été fait dans le dos des 450 millions d’Européens, avec leur argent, et objectivement contre leur santé ou plutôt contre leur immunité, qui est désormais, pour 80 % d’entre eux, dépendante d’injections forcées et répétées. Pour le deal du siècle, c’est Libé, pas antivax pour deux sous, qui écrit :
En mai dernier, l’Union européenne a conclu un accord avec Pfizer sur un volume de 1,8 milliard de doses supplémentaires, dont la moitié optionnelles. Au total, l’UE a « sécurisé » plus de 4 milliards de doses de vaccin contre le Covid depuis le début de la crise.
C’est, écrit Libé, « pour se préparer aux nouvelles vagues de l’épidémie »... Du coup, les rois du pétrole sont ceux qui tiennent l’agenda des nouvelles vagues, qui décrètent qu’il y a une nouvelle vague, soit l’association des gouvernements corrompus et des grands labos corrupteurs. Le tour est joué.
Le prix d’une dose étant de 19,50 euros chez Pfizer (mais l’UE a commandé des doses à d’autres grands labos, dont nous ignorons en détail le prix), qu’on arrondira à 20, cela fait donc jusqu’à 80 milliards d’euros partis en fumée pour les peuples européens. Tout ça pour des effets secondaires désastreux.
En passant, le ministre délégué en charge de l’Industrie, chez nous, la Pannier-Runnacher, justifie la hausse (de 4 euros) du prix du pseudo-vaccin Pfizer par sa « flexibilité » au regard des variants ou de la vaccination des enfants. Texto. Mieux : l’UE, qui est riche, paye le prix fort par rapport à l’Inde ou au Brésil. Nous sommes donc les vaches à lait de Pfizer, grâce à Leyen qui a dealé dans notre dos, qui nous a en fait poignardés dans le dos, économiquement et sanitairement.
Sortons de la corruption française et retournons dans la corruption européenne avec le discours de Leyen au Forum économique mondial (World Economic Forum).
Son introduction provax ne laisse aucun doute sur le délit d’initié par rapport à la multinationale de l’injection.
Une question nous taraude depuis le début de la pandémie. Nos démocraties sont-elles suffisamment fortes et rapides pour relever l’incroyable défi de la Covid-19 ? Les démocraties sont-elles à la hauteur ? Je n’ai aucun doute à ce sujet. La pandémie a démontré la capacité d’action de nos démocraties, mais pas seulement. Elle a aussi démontré que les démocraties sont la forme de gouvernement la plus puissante, la plus résiliente et la plus durable. Nous n’avons pas encore vaincu la Covid-19. Mais si nous sommes en bonne voie d’en venir enfin à bout, c’est parce que nous avons les vaccins à ARN messager mis au point par des scientifiques européens. C’est grâce à nos valeurs que ces percées scientifiques ont été possibles. Des valeurs comme la liberté de la recherche, la liberté de la science, et l’indépendance de choix des investisseurs. Tout cela signifie que nous sommes bien mieux équipés aujourd’hui pour combattre ce virus qu’il y a deux ans. L’Europe a fourni plus d’1,2 milliard de doses de vaccins à ses citoyens. Plus de 80 % des adultes en Europe sont doublement vaccinés.
La suite est à marquer d’une pierre blanche dans l’histoire de la trahison des dirigeants européens.
Et ce mot, la « confiance », a été un fil conducteur de toutes les éditions du Forum économique mondial. L’essence de Davos a toujours été de créer un climat de confiance entre dirigeants, et surtout de gagner la confiance des générations futures par un leadership responsable. Mais cette année, plus que jamais auparavant, la confiance est la monnaie qui a le plus de valeur au moment d’évoquer l’« état du monde ». La confiance dans la science et les vaccins peut faire la différence entre la vie et la mort. La confiance entre les pays peut faire pencher la balance des affaires internationales vers la coopération plutôt que le conflit. La confiance qu’inspirent les sociétés qui fonctionnent et sont fondées sur la règle de droit attire davantage d’investissements privés à long terme, lesquels confèrent un avantage concurrentiel à ces sociétés. Et cette confiance est également essentielle pour toutes les grandes ambitions de l’Europe. La confiance est essentielle si l’on veut que les citoyens embrassent la transformation verte et numérique, ou pour attirer de jeunes talents. C’est un fait : la relance – que ce soit en Europe ou dans le reste du monde – ne peut se construire que sur la confiance et la conviction. Et c’est de cela que je veux parler aujourd’hui.
Ce discours délirant, proche des intérêts des mondialistes et éloigné des aspirations des peuples, se termine sur les menaces très otanistes contre la Russie, où l’on comprend que l’Ukraine est un clou européen enfoncé dans la sécurité russe.
Cela m’amène à mon dernier point, à savoir, la confiance sur la scène internationale. À l’heure actuelle, le monde a besoin de confiance dans la démocratie mais aussi de confiance entre les démocraties. Parce que malheureusement, nous sommes à nouveau confrontés à l’ingérence de certaines puissances dans les affaires de leurs voisins. Nous ne reviendrons pas à l’ancienne logique de concurrence et de sphères d’influence, selon laquelle des pays entiers étaient traités comme des possessions ou des chasses gardées. Nous menons une intense action diplomatique dans différents formats, avec et sans la Russie. La Russie a fait ses propositions. Nous avons fait les nôtres. Et c’est une bonne chose que nous ayons engagé le dialogue. Mais nous n’acceptons pas les tentatives russes de diviser l’Europe en sphères d’influence. Pour nous, les principes fondamentaux qui sous-tendent la sécurité européenne tels qu’ils sont consacrés dans l’Acte final d’Helsinki et dans la Charte de Paris, tous deux signés par la Russie, demeurent valides. Et nous réaffirmons notre solidarité avec l’Ukraine et avec nos partenaires européens qui sont menacés par la Russie. Naturellement, nous continuerons aussi à défendre le principe de la liberté de l’Ukraine, en tant qu’État souverain, de faire ses propres choix. Pour être claire : Nous voulons ce dialogue. Nous voulons que les conflits se résolvent au sein des instances qui ont été constituées à cet effet. Mais si la situation dégénère, si l’intégrité territoriale de l’Ukraine subit de nouvelles attaques, nous riposterons par des sanctions économiques et financières massives. La communauté transatlantique reste ferme sur ce point. L’Union européenne est de loin le plus important partenaire commercial de la Russie ainsi que son premier investisseur. Et, oui, cette relation commerciale compte pour nous mais elle compte encore plus pour la Russie. Nous espérons qu’une attaque ne surviendra pas, mais si tel est le cas, nous sommes prêts. N’oublions jamais une chose : la Russie et l’Europe ont une géographie, une culture et une histoire communes. Nous voulons également un avenir commun. Nos difficultés ne tiennent ni à la Russie ni à son peuple. Nos difficultés sont liées aux politiques dangereuses menées par le Kremlin. C’est le rétablissement de schémas familiers de comportement autocratique qui souligne une vérité ancienne : la force et la coercition ne sauraient remplacer une confiance défaillante.
Leyen, cette autocrate, ose critiquer les « politiques dangereuses du Kremlin », qui sont pourtant défensives, et dénonce le « comportement autocratique » de Poutine, qui n’est pas cité.
Pour plus de transparence, ce « Forum démocratique » devrait se rebaptiser Forum autocratique.