Message reçu d'un libraire, tandis que les médias parlent en boucle des meilleures ventes de Victor Hugo, en tentant tant bien que mal, jusqu'à l'absurde, de contourner Crépuscule qui continue de s'intercaler entre trois éditions de Notre dame https://t.co/4Rb8btQvKC pic.twitter.com/l4OSI3c5vO
— Juan Branco ✊️ (@anatolium) 17 avril 2019
C’est la question que l’on se pose lorsqu’on lit sur Facebook la dernière prose de l’enfant prodigue (Luc, XV, 11-32) de l’oligarchie qui s’est retourné contre sa génitrice. Ce qui est étonnant dans ce droit de réponse auto-publié, c’est que personne ne l’a véritablement attaqué. C’est vrai que Branco a été, ou plutôt son livre, ignoré par la critique médiatique. La presse et la télé n’ont – esprit de clan oblige – pas fait la promotion de Crépuscule, une charge anti-Macron qui dévoile les relations oligarchiques du nouveau président de la République.
Rien de bien nouveau sous le soleil, on en parlait déjà il y a 5 ans, lorsque Canal+ a diffusé un sujet sur le petit génie de la Banque (Rothschild) payé 200K par mois. On avait repéré le coquelet et la socialiste Marie-Noëlle Lienemann avait eu des mots assez prophétiques en plateau sur le protégé d’Attali. Nous avons mis en fin d’article le verbatim de l’émission Le Supplément en date du 2 février 2014...
Branco nous a donc mis dans le même sac que la presse mainstream, dont nous ne faisons objectivement pas partie, parce que nous l’aurions attaqué personnellement. Rappelons ici que nous avons relayé les vidéos du néo-gauchiste jaunâtre lorsqu’elles nous semblaient sourcées et convaincantes et ce, sans aucune jalousie d’aucune sorte. Au contraire, nous avons loué sans ironie aucune son talent. Nous avons aussi relayé son coup de fil à Bercoff sur Sud Radio, ce qui l’a passablement énervé.
Ce bon vieux Bercoff aussi d’ailleurs, qui nous a assaisonnés par tweet interposé :
Si vous aviez le centième du courage de #JuanBranco @anatolium, vous ne vous contenteriez pas de ronfler dans votre douillet préservatif complotiste. Réveillez-vous : il y a une vie au-dehors de la secte . Même subventionnée.
— André Bercoff (@andrebercoff) 13 avril 2019
Pourquoi une telle soufflante ? Nous avions souligné que Branco, qui ruait dans les brancards du pouvoir visible – l’axe Macron-Arnault-Niel-Lagardère – se faisait tout petit devant le pouvoir profond, qui se fonde sur la terreur que le CRIF inspire à nos institutions.
Que n’avions-nous pas dit là ! Après la volée de bois vert du papi, la volée de bois vert du jeunot, qui nous taxe de « racialistes », ce en quoi il commet une faute politique inquiétante pour un spécialiste de la chose politique, le talent n’attendant pas le nombre des années. On mettra ce dérapage sur le compte des péchés de jeunesse car Branco est plus intelligent que ça, mais peut-être ne peut-il pas dire le contraire...
Cette analyse quelque peu sombre et qui verse dans un satano-complotisme adolescent a utilisé des images de l’interview de Juan diffusée le 16 avril 2019 sur le blog de Mediapart. Ah, qu’on aimerait être censuré comme lui !
Droit de réponse branconique
On constate que la notoriété, à l’instar du LSD, ça peut monter très vite à la tête. Il faut alors une certaine expérience pour ne pas céder à ses sirènes. En lisant ce qui suit, on s’est honnêtement posé une question : Juan Branco se prend-il pour le fils de dieu, le fils d’un dieu laïc ? L’étiquette de génie semble encore trop courte pour lui...
Nous avons intercalé nos commentaires en gras (ses mots sont en italiques) entre les passages où l’ego dépasse l’intelligence, où l’ego n’est plus au service de l’intelligence. Ce n’est plus Juan contre le Système, c’est le Système contre Juan.
De Geoffroy de Lagasnerie à Alain Soral, d’Ariane Chemin à Daniel Schneidermann, de Panamza à Claude Askolovitch, de Bruno Jeudy à Sylvain Courage, d’Olivier Truchot à Pascal Riché, de Marc-Olivier Fogiel à Pierre Haski, un immense front s’est levé contre moi en quelques heures.
Le tsunami de la réaction contre le génie révolutionnaire. Il ne faut peut-être pas confondre ceux qui désignent le pouvoir profond et ceux qui s’en tiennent au pouvoir visible...
Des plus ignobles penseurs racialistes au progressistes d’apparat les plus vains, un seul mot d’ordre, répété jusqu’à la pâmoison, sous toutes ses formes, sur les réseaux sociaux, les médias, leurs infinis moyens de communication, a semblé les lier.
Si Branc 1er passait nous voir, il verrait que chez E&R on n’a pas les mêmes faciès que la rédaction de franceinfo, pour le coup très blanche. Comme racialistes, on fait mieux !
La levée de boucliers a été incroyable dans sa diversité et sa brutalité, après un mois de silences feints. Il a fallu que je révèle qu’une dizaine de médias m’avaient successivement invité puis annulé en moins de 48 heures pour parler de Crépuscule, et que tous confirment tout en signant des mots d’excuse d’écolier plus pitoyable les uns que les autres, pour que soudain les vannes s’ouvrent. De C Politique au Quotidien en passant par l’Obs, la matinale de RMC chez Bourdin et tant d’autres, tous se sont empressés de prétendre qu’il n’en avait rien été. Enfin, que si, mais que tout s’expliquait.
Cela faisait alors cinq mois qu’aucun d’entre eux n’avait dit un mot d’un texte qui a été plusieurs centaines de milliers de fois téléchargé et qui s’est retrouvé immédiatement propulsé en tête de tous les classements de vente, sans une publicité. Face à la rupture du réel, à la violence de cette soudaine mise en abyme - l’ouvrage montre comment l’espace informationnel français est devenu un marché où s’échangent et se trafiquent les petits secrets contre promotions et avancées – les dénégations et les (dis)qualificatifs ont commencé à pleuvoir à une vitesse fascinante : fasciste, homophobe, mythomane, antisémite, complotiste, agent des russes et des chinois, sioniste, psychotique, millionnaire caché, imposteur, narcissique, arrogant, sexiste se sont succédés, avec tout le sérieux du monde, en des espaces autorisés ou se croyant censurés, du site d’Arrêt sur images à celui d’Egalité et Réconciliation en passant par CheckNews, Mediapart et les comptes twitter et facebook de certains de nos plus importants dominants.
Là on va parler pour notre paroisse : Branc 1er pleurniche parce que la presse pourrie n’a pas parlé de son livre. Mais c’est un honneur ! Et c’est surtout logique : ça fait longtemps qu’on a abandonné l’illusion d’être repris par la presse que notre modèle économique est en train d’enterrer à grands coups de pelle.
Tout cela, sans qu’à aucun moment, aucun d’entre eux ne soit en mesure de répondre à cette simple question :
Pourquoi, depuis cinq mois, ce texte, qui révèle notamment comment Edouard Philippe à fait recruter sa femme à SciencesPo après avoir attribué des subventions à l’institution, n’a-t-il été abordé une seule fois par un média institutionnel, si ce n’est sous l’angle de son succès ?
Depuis, les journaux, Le Figaro compris, évoquent le succès du livre, et Mediapart l’a interviewé longuement. C’est donc que Crépuscule inquiète très vaguement la bourgeoisie dominante... Chez E&R on attend encore, après 12 ans d’existence, les mêmes reprises.
Puisqu’y répondre, ce serait s’exposer, accepter qu’en effet, il constitue un procès en règle extrêmement dangereux pour tous les valets de l’oligarchie, une seule solution semblait avoir été univoquement trouvée : exploser l’être qui avait fait exister ces mots. Accabler, écraser, humilier, comme on le fit tant de fois avec tant d’autres, avant que d’autres ne se saisissent de son propos, et puisse menacer des positions bien installées.
Valets de l’oligarchie, c’est de nous ! On se fait piquer tous nos éléments de langage par le national-sioniste Zemmour et maintenant par un post-gauchiste insolent ! Quant au « procès en règle extrêmement dangereux »... Les Pinçon-Charlot, invités en télé (France 5, France 24, Canal+) et en radio (France Inter, France Culture, Europe 1), parlent depuis longtemps de cette oligarchie, il est vrai de l’extérieur plus que de l’intérieur, un point de vue nouveau que Branco apporte. Et que nous respectons. Tout ce qui est vrai est bon à prendre.
Suit une défense de Julian Assange sur laquelle il n’y a rien à ajouter, mais avec un lyrisme qui dessert un peu la cause : on ne lutte pas contre l’injustice avec de l’émotion.
Eux que j’ai vu désespéramment mentir, se battre et se débattre pour nier la vérité, eux qui face à leur inconséquence, continuent de tenter de défendre leurs implausibles défenses, submergés par l’infatigable accumulation de preuves et d’évidences, de faits révélant leur complice inanité, mon regard sévère, et mon souverain dédain.
Le problème de l’envolée lyrique, surtout quand elle déborde d’égocentrisme, c’est que son effet s’estompe assez vite : on la regrette aussi vite. On écrit dans la fièvre, on se réveille à froid avec un malaise. Mieux vaut une bonne info sur les réseaux de pouvoir, par exemple les rapports Niel-Arnault-Macron... à défaut des rapports Attali-Rothschild-Macron, que nous allons évoquer plus bas.
Qu’ils ne prétendent plus qu’il s’agit de moi, lorsque d’eux et d’eux seuls il est question. Qu’ils ne prétendent pas qu’il s’agit du gamin qui n’a fait qu’une chose : devenir un rien pour révéler leurs misérables intérêts partagés, après s’être longtemps laissé absorber.
La posture sacrificielle christique est ici intéressante, mais on ne voit pas en quoi Branc 1er s’est sacrifié : il est presque partout, il a choisi de ne pas sauter sur le mauvais cheval nommé Emmanuel Macron. En cela on lui reconnaît un sens du calcul... qui rappelle ces futurs ministres socialistes qui hésitaient entre la droite et la gauche en sortant de l’ENA et qui choisissaient la gauche parce qu’à droite l’horizon était bouché (Laurent Fabius).
Qu’ils ne prétendent pas qu’ils sont autre chose qu’une coalition ignorante d’intérêts, qui les fait se retrouver, de Soral à Lagasnerie, à faire front commun après avoir longtemps prétendu s’opposer, bourgeois liés dans la défense de leurs seuls intérêts, ne supportant pas l’exposition de leurs égales compromissions, idiots utiles d’une oligarchie installée, jouant de rebellions de pacotille pour mieux s’installer, produisant néants ou boucs émissaires dans une constance partagée, divertissant communément une population aseptisée pour les détourner des vrais enjeux touchant à leur souveraineté.
Rappelons à Juan que les juifs ne sont pas nos « boucs émissaires » : qu’est-ce qu’on y peut si c’est le CRIF qui fait la loi en France ? On a écrit 100 fois que le CRIF n’était pas tous les juifs et que tous les juifs ne se reconnaissaient pas dans le CRIF. Ce qui n’empêche pas cette officine ultra-minoritaire d’exercer un pouvoir incommensurable en France, menaçant la souveraineté nationale. Sur une simple injonction du CRIF, tous nos ministres se transforment en larbins.
Heinrich Heine en son époque (années 1840-1844) racontait dans ses chroniques parisiennes pour un journal allemand des choses tragicomiques sur la soumission de nos ministres (un visiteur a même salué respectueusement le pot de chambre de James de Rothschild !). On va citer un extrait d’un de nos articles :
« Le grand écrivain romantique Heinrich Heine est un familier de la rue Laffitte, où James travaille : “C’est à son bureau de la banque que je préfère voir le baron, car j’y peux observer la façon dont les gens… font devant lui des courbettes. Il y a là une contorsion de l’épine dorsale que le plus fin acrobate aurait de la peine à imiter. J’ai vu des hommes se plier en deux comme au contact d’une pile voltaïque en approchant du baron. Nombreux sont ceux qui sont frappés d’une crainte respectueuse à la porte de son bureau, tel Moise au mont Horeb”… »
Que dit Branc 1er sur le lobby sioniste ? Rien, il esquive mais il esquive habilement, laissant croire qu’analyser comme nous le faisons la puissance du lobby sioniste serait de l’antisémitisme ! Ce qui constitue, entre nous, le système de défense numéro un du lobby... Pour nous, il n’y a pas d’intouchables.
Non ce ne sont ni les juifs, ni Benalla, ni les francs-maçons ni les policiers qui nous ont plongés dans l’effondrement que nous vivons.
Attention, on va friser l’explosion de melon, tenez-vous bien...
Mais cette oligarchie qu’un simple gamin, doté de ses seules mains, a été capable d’exposer alors qu’ils ne cessaient de la masquer, pour mieux s’y conformer.
Au Crépuscule qui tient, et à l’aurore qui vient.
Le 1er mai, faites vivre ces mots qu’ils auront tenté de dépouiller en vain.
Érigez vous. Ne les imitez pas. Oubliez moi. Et faites naître ce Nous qui, jusqu’aux tréfonds, les poursuivra.
En toute simplicité, Branc 1er se confond avec « l’aurore ». Nietzsche pouvait se le permettre, mais le gamin ?
On croirait entendre Jack Lang – l’homme qui fait des selfies devant Notre-Dame en flammes – le 10 mai 1981 : « Les Français ont franchi la frontière qui sépare la nuit de la lumière ».
Une grande inquiétude depuis la terrasse de @imarabe #NotreDameDeParis pic.twitter.com/Yvd484xOsn
— Jack Lang (@jack_lang) 15 avril 2019
Bref, de la promo ampoulée pour Crépuscule, qui se vend très bien, et tant mieux, tout travail mérite salaire (même si Juan a trahi sa classe). La phrase à retenir de cette logorrhée c’est, une fois la faute d’orthographe corrigée : « Non ce ne sont ni les juifs, ni Benalla, ni les francs-maçons ni les policiers qui nous ont plongés dans l’effondrement que nous vivons. » À moins que par « nous » il n’entende « moi », comme Delon dans Astérix.
On a compris, les responsables de l’effondrement c’est le réseau bien visible des méchants milliardaires, ce qui ne mange pas de pain et ne leur ôte pas la brioche de la bouche. D’ailleurs la coalition des Méchants n’a pas l’air d’avoir un knout dans la main : que le fils du dieu laïc nous montre ses blessures et on la fermera. En attendant, le fouet oligarchique retombe sur notre dos, pas le sien. C’est pas demain la veille que Branc 1er risquera la taule !
Chose promise, chose due (« compromis, chose due » disait Coluche), nous avons retrouvé le verbatim qui montre qu’on avait reniflé le Macron et raccroché son wagon au lobby sioniste, tout ça il y a 5 ans, quand Branc 1er tétait encore le sein maternel.
2 février 2014, émission Le Supplément sur Canal+, Maïtena Biraben reçoit Manuel Valls qui est encore ministre de l’Intérieur mais ses bonnes relations avec le CRIF vont le propulser à la tête du gouvernement dans moins de deux mois, le 31 mars 2014. Hollande ne pourra conserver son fidèle Ayrault, pas assez impliqué dans la lutte contre l’Antisémitisme, Dieudonné et Soral. Manuel va mettre les bouchées doubles et un an plus tard – une coïncidence – la France basculera dans le cauchemar.
Vient le sujet sur Emmanuel Macron, alors totalement inconnu au bataillon politique. La voix off y va carrément : « On dit même que cet homme dirige la France. » Son ancienne prof dit de lui : « C’était un élève surdoué. »
Off : « Il demande alors conseil auprès d’un de ses parrains, le très influent Alain Minc. »
Minc fait l’apologie du jeune banquier : « Il a merveilleusement réussi, d’ailleurs, ses années chez Rothschild. » Et révèle le salaire du prodige, 200K€ par mois : « Ne nous cachons pas derrière un petit doigt, les banquiers d’affaire gagnent très bien leur vie. »
Off : « Un pied dans le monde de la finance, un pied dans celui de la politique. 2008, le jeune ambitieux se lie à François Hollande, la rencontre a lieu en plein cœur de la très chic banlieue parisienne, Neuilly-sur-Seine, chez Jacques Attali. »
Attali : « J’ai trouvé utile de les présenter, j’ai pensé que pour François c’était le meilleur possible, pour l’accompagner dans la campagne... J’ai dit à François devant Emmanuel, tu devrais le voir et je pense qu’il peut beaucoup t’apporter voilà... Y avait tout de suite une bonne entente, tout de suite ils se sont revus, François m’a tout de suite dit que il était ravi de le voir, et voilà. »
Off : « En coulisses, le banquier d’affaires de la banque Rothschild prépare déjà des fiches au candidat François Hollande. Il participera même à l’élaboration de son programme. »
Retour en plateau.
Marie-Noëlle Lienemann (PS tendance Mélenchon) réagit :
« Pour ma part c’est une grave erreur que de privilégier ce type de collaborateur… Ils font tous leur passage par la banque Rothschild après ils viennent dans la haute administration puis ils repartent dans le secteur privé, et ces gens-là ils n’aiment pas la tradition, euh, française, ils n’aiment pas l’État ! C’est le paradoxe, c’est qu’ils sont purement dans la culture libérale. »
Off (archive de 2012) : « À 34 ans, Emmanuel Macron devient le monsieur Économie de l’Élysée. Sa mission, rassurer les patrons. »
Confirmation de Laurence Parisot : « Beaucoup de chefs d’entreprises sortent toujours avec beaucoup d’espoir, quand ils rencontrent Emmanuel Macron, parce que Emmanuel les comprend, Emmanuel nous comprend, le langage est commun, on n’a pas besoin de dictionnaire pour savoir ce que l’un et l’autre veut dire. »
C’est le moment d’écouter le prodige, qui justifie le tournant social-démocrate du quinquennat Hollande.
Macron : « C’est pas un tournant, c’est une clarification, une accélération et un discours qui a mis un nom et des dates sur ce que le président de la République depuis le premier jour veut faire. Maintenant, il faut faire. »
Le sujet s’achève en apothéose.
Off : « Faire, mais dans la lumière, ce serait la prochaine étape du jeune ambitieux. L’homme de l’ombre a très envie d’en sortir. »
Moment crucial où le pouvoir de l’obscurité a envie de passer du côté de la lumière.
C’est alors que se produit quelque chose d’extraordinaire, une espèce de miracle, sur Canal+, la chaîne de l’infotainment antipopuliste. Le jeune journaliste déraille.
Julien Beau : « Ce qui peut être gênant c’est que la banque Rothschild symbolise la finance qui était pendant la campagne, on se souvient, l’ennemie de François Hollande, je crois que c’est ça qu’une partie du PS critique. »
Valls : « Oui mais on a besoin des banques, on a besoin de la finance, pour, euh, l’économie réelle, ce que met en cause et ce que mettait en cause François Hollande et ça reste profondément d’actualité, c’est cet argent qui dort, c’est la rente, c’est uniquement le profit pour le profit… »
C’est Macron quoi !