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Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron.

J’ai été ciblé par des procédures politiques lancées par un membre du pouvoir, Aurore Bergé, pour avoir écrit un livre, Crépuscule, qu’elle considérait comme une incitation à la commission de crimes et délits. Un livre que personne n’éditait. Un livre qui ouvrait la voie, enfin, à une critique d’un régime avarié, face auquel tout le monde se taisait.

J’ai été, de ce fait, ciblé par des « agences d’intelligence économique », des barbouzes, des opérations d’influence, montées par des êtres payés des fortunes pour détruire ma vie, ma réputation, mon intimité.

J’ai été placé sur écoute, géolocalisé, physiquement suivi par des services de police, puis de renseignement, mobilisés pour me surveiller, m’intimider, m’impressionner, parce que j’avais osé défendre des êtres qui avaient révélé l’impudeur du pouvoir.

J’ai eu droit à des opérations visant à détruire mon intimité, relayées par des années d’instructions judiciaires en continu, qui, y trouvant prétexte, iraient jusqu’à chercher mes relevés de note universitaires pour les faire fuiter, convoquer ma mère, ma soeur, mes amoureuses pour leur faire parler de mon intimité.

J’ai connu l’isolement, la brisure que cela suscitait.

Jusqu’à entendre une femme, dans mon lit, me susurrer : « j’ai été envoyée ».

En tant qu’avocat, défendant tout ce que la terre de France générait de dissidents et d’opposants, j’ai vu des dossiers pénaux disparaitre, des personnes condamnées pour des actes qu’elles n’avaient pas commis.

Des fausses accusations pulluler.

Je l’ai dénoncé.

L’impunité. La laideur. La violence.

L’indifférence à la vérité.

J’ai dû partir en exil, après une énième convocation aux fins de placement en garde à vue. Après d’interminables campagnes de calomnies et de pressions, orchestrées par une presse aux ordres qui s’indifférait de la vérité, des années durant, en un harcèlement permanent.

Moi qui étais avocat, docteur en droit, diplômé des plus grandes écoles de ce pays, courtisé et recruté en ses plus puissantes institutions, j’ai vu mille mensonges se déployer dans le seul but de rompre, isoler, briser.

Jusqu’à me voir menacé d’être radié, là encore, pour avoir dit la vérité.

Jusqu’à me voir menacé de quinze ans de prison pour des faits qui en rien ne le justifiaient.

Engagé auprès de mes clients, qui eux-mêmes s’opposaient au pouvoir, j’ai été ciblé pour les fragiliser.

Enlevé et emprisonné à cinq mille kilomètres de chez moi, cagoulé, menoté, accusé de terrorisme, de complot et d’attentat, menacé de prison à perpétuité, par un régime croupion que l’Elysée soutenait, qui mille autres déjà détenait, et qui massacrait dans l’indifférence de ceux qui nous gouvernaient.

J’ai vu à mon retour la censure. L’intimidation.

Les journalistes qui tremblaient, hésitaient, effaçaient.

Des articles disparaître. D’autres, ne jamais paraître.

Des journalistes tout abandonner.

Dans le cadre de ces procédures bidons, j’ai été convoqué à des expertises psychiatriques et psychologiques dont les auteurs admettaient à voix basse être sous intense pression et ne pas savoir comment s’en dépêtrer.

Tremblant pour eux, pour moi, pour nous.

J’ai vu la rumeur croître, puis s’imposer.

Je n’ai, longtemps, au cours de cette période, pas même pu ouvrir un compte, parce que j’avais défendu un dissident, Julian Assange, et que TRACFIN avait décidé qu’il s’agissait là de quelque chose qui devait inquiéter, plus que les milliards qui chaque année sont siphonnés.

Ce n’est pas du complotisme. Ce n’est pas de la psychopathologie.

Ce sont des faits, documentés, accumulés, année après année.

J’ai connu le fascisme, sous Emmanuel Macron.

Alors, on pourra me raconter tout ce qu’on voudra. Il n’y a rien qui désormais ne puisse m’inquiéter, à moi et à ceux qui ont traversé ces mondes sans céder. A tous ces êtres qui auront eu le privilège, au cours de ces années, d’y résister.

Nous savons ce qu’est ce pouvoir. Sa brutalité. Son usage de la violence, l’intimidation, la corruption, pour faire taire, acheter, effacer, qui le menacerait.

Nous savons ce que sont ces êtres, derrière les visages maquillés, les costumes bien ajustés.

Nous savons leur laideur, leur absence de limites et respectabilité.

Ces êtres sans honneur qui n’ont que faire de la République et de sa démocratie.

Des Français.

Eux et leurs marchands d’idées, ces employés que vous ne cessez d’entendre bêler à la radio et à la télévision, invoquant des spectres du siècle passé, des concepts abstraits, pour vous orienter par l’angoisse et l’inquiétude, vous parlant « d’extrêmes » alors qu’ils vivent en une abondance sans pareil à l’échelle de l’histoire, doivent être ignorés.

Ce sont eux qui, extrêmes, servent un pouvoir avarié.

Eux qui ont tout pillé. Eux qui, avec nos finances, se sont gavés, tandis que tout autour de nous, chacun des piliers de notre société, s’effondrait.

Eux qui nous ont distrait, jour après jour, semaine après semaine, mois après mois, avec des polémiques orchestrées pour semer la haine et nous diviser.

Nous sommes à la veille de la liberté, et d’une nouvelle forme de souveraineté. Demain une nouvelle ère. Je vous ai fait part du chemin qui me semblait le plus indiqué.

Mais face à la sauvagerie de nos élites, seul le premier pas compte :

Les dégager.

Il sera bien temps ensuite de tout le reste féconder. En une terre à nouveau libre.

En une terre où il sera à nouveau possible d’agir et de penser.

Branco l’anti-Attal

 






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32 Commentaires

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  • #3380824

    Belle écriture pour celui qui cherche un poste au final ! Mais au delà des mots pour une petite vengeance perso. On fait comment pour les dégager ? Le RN ? Ce n’est qu’une copie. Une copie dangereuse car ils ont tout renié pour la victoire, et ils vont nous renier aussi pour régner. On est devant l’Entonnoir de la guerre civile.

     

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    • #3380991

      Au contraire, c’est extrêmement mal écrit, j’ai peine à croire que ce garçon fasse partie de l’élite culturelle...

       
    • #3381203
      Le 19 juin à 06:28 par Chaud à nanas
      Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

      Le RN est sans doute un passage obligé à la prise de conscience
      Quand le RN au pouvoir fera s’écrouler la France, leurs électeurs finiront par comprendre l’indispensabilité du FREXIT, c’est à dire de la Souveraineté sans laquelle rien n’est possible.

      Une explosion de l’immigration légale couplée à une baisse supplémentaire de pouvoir d’achat mettrons du plomb dans l’aile des mougeons qui auront survécu.

       
    • #3381590

      @Chaud à nanas
      "Le RN est sans doute un passage obligé à la prise de conscience".
      Exact ! Ce que ne comprennent pas les peine-a-jouir qui voudraient du changement tout de suite et nous parlent de "trahison " du RN alors qu’ils n’ont jamais eu le pouvoir.

       
  • #3380825

    Oui, il y en a beaucoup qui doivent bien comprendre que Macron incarne un extrême centre pervers, et qu’il n’y a donc en réalité plus personne pour qui voter si on ne doit pas voter pour les extrêmes... hein Kilian Macron... que ton nez te le rappelle dans le futur si ça continue.

     

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  • #3380831
    Le 18 juin à 10:56 par Mauvais Karma
    Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

    Il a mille fois raison. C’est un homme extrêmement dangereux. On a trop lu son incompétence, sa bêtise ou pire encore sa soumission, ce n’est pas la bonne analyse, on n’est jamais obligé de rien, c’est juste notre lâcheté qui crâne quand nous parlons du maître. Personnellement, j’ai trop entendu le bruit du fouet ces dernières années pour ne pas demander des comptes. C’est en effet un être brutal, vide et tyrannique, il n’y a aucun compromis avec la liberté, on n’est pas plus ou moins libre, on l’est ou pas. Le techno-fascisme de la bonne gouvernance c’est justement lui. Branco a raison.

     

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  • #3380847

    Non tu as juste Juanito. Tu as juste vu ce qu’était la démocratie parlementaire. Avec sa violence, ses ségrégations, ses injustices, sa pauvreté et sa perversion, comme durant l’avant-guerre et durant la guerre.

     

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    • #3381002
      Le 18 juin à 16:13 par Gauthier Perlouze
      Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

      Il y a pas plus de démocratie parlementaire que de beurre sur mon cul...
      Ce qu’ils appellent démocratie parlementaire c’est la ploutocratie oligarchique,la contrainte technocratique et le capitalisme de connivence (les 500 familles qui ne veulent pas que le grisbi sorte de leurs coffres et n’acceptent que rarement un p’tit nouveau dans le club).
      Par contre pour tondre les moutons jusqu’à l’os et importer de l’insécurité via l’immigration de peuplement nos dirigeants sont champions du monde !!!
      Et après certains ici de critiquer l’Angleterre ou l’Italie, mais les dirigeants les plus pourris et les plus psychopathes c’est nous qui les avons ici en France !!!
      Sans parler de notre pseudo-république qui n’est qu’un système inique de castes avec des institutions formatées pour fliquer le peuple et lui pourrir la vie de trente-six différentes façons...

       
  • #3380940

    Macron est un extrémiste dangereux, sans limite aucune, et c’est pour cela que Jacques Attali l’a "inventé" afin de servir les objectifs tout aussi extrêmes de l’axe atlanto sioniste.
    L’extrême droite sioniste est dans toutes les sphères du pouvoir, les gilets jaunes l’ont sentie passer par flics interposés, débridés et bien manipulés, et assez stupides pour l’être.

     

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  • #3380947

    C’est pas mal !

    Encore un effort Juan Branco comme dirait Sad....A.S !

     

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  • #3381034
    Le 18 juin à 17:10 par Bip bip/ pib pib
    Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

    Il a est pris en grippe par le contre-espionnage, pour une raison qui serait la leur qui est aussi la sûreté, comme d autres citoyens en ce territoire.C’est pas que Macron, c’est aussi Chirac, Sarkozy, hollande, ....Le pen ou Mélenchon...
    Pas que l obscurantisme officineux d’un Macron au pouvoir. C’est les coyotes spécialisés tout court.
    Sinon, ça fait trop esperantin dissident orienté ce qui est une naïveté et donc la fausseté avec l’enfantillage.
    Si non possibilité de personna non grata car mononationnal etc....Alors les fonctionnaires spécialisés tout simplement, pourrissent et détruisent la vie de l individu tout en en usant jusqu’en a la cordes.
    Bronco doit être considéré comme un agent de l etranger a un niveau donné par les coyotes spécialisés qui combinent sur lui pour ce fait. Qui que ce soit au pouvoir même bardella ou Mélenchon, ils continueraient à exercer leur "chanson française " avec l embrouille de la MICE pour en plus raffiner la chose, même si c est une évidence, mais justement non.
    La dissidence est une farce pour petits bambins.
    Il y a une considération dure sur les interets ou c est vrai la sûreté. Mais "la main" orwelienne quand ça s acharne pour être pourri de pourri avec la prononciation exacerbée sur 1 personne en particulier, c est que les petits papiers ne sont pas une synthèse au beau fixe.

     

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  • #3381059

    Nous allons connaître des heures qui, pour le coup, vont être véritablement sombres, quel que soit le résultat du 8 juillet.
    Macron, c’est ce dangereux psychopathe qui va laisser un champ de ruines derrière lui. Il a été choisi pour ça par les marionnettistes. Il fera le boulot jusqu’au bout.
    Y aura-t-il une justice divine ou terrestre le concernant ?

    Plaise à Dieu !

     

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  • #3381076
    Le 18 juin à 18:34 par miles davis
    Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

    Juanito a vécu le "Fascisme", tout de suite les grands mots. Par contre il n’utilise pas le mot "sioniste", ne parle pas du gang Rothschild, ni des banksters de Davos, il parle juste de "finance", comme si c’était une méchante entité venue d’un autre monde. Ce gars ne cite pas "l’ennemi", c’est louche...

     

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    • #3381507

      C’est ce que j’ai toujours trouvé suspect chez ce jeune intrigant.
      De plus son "Crépuscule" censément terreur des puissants, jouissait d’une pub géante dans le métro...

      Ce gars, aussi brillant qu’il puisse être, est passé maître dans l’art de l’esquive.
      D’aucuns lui verraient des proximités attaliennes...
      Franchement Juanito, mentionne ne serait-ce qu’une fois la judéo franc mac dans l’agenda satanique du N.O.M., tu commenceras à paraître sérieux aux yeux de ceux qui savent, et tu contribueras alors à instruire les ignorants.
      Essaie un peu Kla.TV "le monde dans le filet de la franc-maçonnerie"

       
  • #3381556
    Le 19 juin à 23:36 par Arrêtons de croire des acteurs
    Juan Branco : "J’ai vécu le fascisme sous Emmanuel Macron"

    Ah ouais purée, Jean Blanc (Juan Branco) du sérail, qui a fait sa scolarité, et plus si affinités, à l’École alsacienne avec Gaby Attal et qui a été le protégé de Jacouille Attali, l’un des maîtres du Monde, entre autres particularités de son parcours ultra-protégé, eh bien ce Jean-là, oui ce Jean-là, a "vécu le fascisme". Oh pauvre de nous !

    Et il s’en lamente dans une ballade qui sera sûrement reprise dans plein de médias et peut-être même publiée chez un pote à ses parents ou un pote à lui. Il va sortir un nouvel opus de révolutionnaire chez Grasset ! (mouarf)

    Branco je le voyais un peu comme le sparring partner de Gaby, de la même manière que Ruffin le prétendu gauchiste amiénois est celui de Macron. En tout cas Juan a été "casté" par la caste dans ce rôle de Che Guevara. À un moment donné de son parcours, sûrement au lycée, le milieu a vu qu’il ferait un bon rebelle. Il avait la bonne gueule et la bonne attitude. Et roule ma poule, joue ton rôle Juanito !

    Pensées à ceux qui ont vraiment vécu le fascisme, comme Reynouard par exemple.

     

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