Avis aux fans de foot, qui sont sûrement déjà au courant : il n’y aura pas d’Euro des nations cette année (pour les ignorants ou les antifoot, c’est tous les 4 ans, en alternance avec les Coupes du monde). La France, détentrice de la Coupe du monde 2018 en Russie, ne défendra donc pas son titre en Europe.
Elle avait en outre échoué en finale contre les rugueux Portugais, lâchant la Coupe d’Europe en 2016 sur son terrain (on va éviter les images douloureuses, c’est pas écrit « anti-France » sur notre front très national). Il y avait donc de la revanche dans l’air, mais ce sera pour 2021. À moins que les forces mondialistes couplées aux pangolins vicieux nous pondent un Covid-20 ou 21 de derrière les fagots, sachant que le Big Pharma va sûrement lancer une bonne campagne de vaccination mondiale forcée, le jackpot de la mort !
En attendant qu’on se fasse tous tatouer par le Big Pharma, la presse en manque de foot se fait son propre Euro, plutôt morbide, avec le comparatif quotidien du nombre de morts chez nos voisins européens !
La presse mainstream, qui était quasi morte en janvier (chute des ventes inexorables et disparition de la pub), se refait une santé sur le dos des morts et de la peur, et on n’exagère pas. Un mot d’ordre non écrit traverse toutes les rédactions : de la peur, de la peur, de la peur !
« Torah, Torah Torah », comme disent le chasseurs japonais antisionistes qui foncent sur les navires israélo-américains pendant la bataille du Pacifique.
Euro de la muerte
Longtemps, l’Italie a mené aux points, et largement, devant la France et les pays du Nord, loin derrière avec peu de morts. Mais alors que les morts français tardent à dépasser les 5000, malgré les hurlements de la presse aux ordres, soudain, l’Espagne nous passe devant et menace directement l’Italie, qui mène pourtant aux points (morts) ! La France va-t-elle perdre sa place de dauphine derrière l’Italie ? Pour le savoir, acheter et lire la presse morbido-sportive !
- Les éliminatoires au 29 mars 2020
Les Français, les Espagnols ou les Italiens survivants qui n’auraient pas accès à la relativité de l’information pourraient croire que les courbes exponentielles exposées chaque jour par nos journaux mènent fatalement à un génocide européen généralisé. Or quand on s’intéresse à la démographie, à partir des chiffres de Wikipédia par exemple, on comprend que l’Italie connaît une explosion de la mortalité depuis 20 ans. C’est le résultat d’un vieillissement de la population, des « progrès » de la médecine, et on ne parle pas ici des campagnes de vaccination de Lombardie qui auraient pu affaiblir les organismes...
Le virus s’attaque donc en priorité à des personnes très âgées qui ont été maintenues, pour beaucoup, en vie grâce à la médecine. Mais la médecine ne peut pas tout. Comme le précise le Pr Raoult, et bon nombre de médecins, on meurt du coronavirus surtout à cause de co-morbidités. Il faudra donc que les démographes, à partir des sources médicales, croisent dans le futur la courbe croissante de la mortalité générale et la courbe de la mortalité due précisément et uniquement au coronavirus. Une fois la psychose retombée (chaque jour on annonce le « pic épidémique » pour le week-end qui vient), si elle retombe, et on l’espère, les scientifiques pourront travailler sur des données indéniables expurgées de tout parasitage médiatique.
On l’aura compris, chacun des pouvoirs en place joue sa partition en profitant au maximum de la crise sanitaire, et on n’a pas dit qu’ils jetaient de l’huile sur le feu mais presque : le pouvoir hospitalier redevient budgétairement prioritaire dans la nation, tout le monde a compris que sans la santé rien ne marchait, même pas le néolibéralisme ; le pouvoir médiatique revit grâce à la psychose, et le pouvoir politique a repris la main d’une main de fer sur un peuple qui l’avait complètement dépouillé de son autorité. Comme quoi, en Histoire, tout peut changer très vite...
Et le confinement, bordel ?
« Bien sûr ça n’est pas moi qui le dis — ça non. C’est Claude Askolovitch. Plus exactement, Claude Askolovitch rapporte les propos d’un “ami pneumologue”. En même temps, on sent qu’il les endosse un peu. Ça n’est pas exactement lui qui le dit mais un peu comme si quand même. En tout cas, tous les papiers de la respectabilité sont dûment tamponnés : un journaliste de France Inter et d’Arte, on pourra difficilement être plus en règle. Et donc tout d’un coup, sans crier gare, le voilà qui parle, ou laisse parler, de nos gouvernants comme de “connards”. » (Lordon dans Le Monde diplo)
Eh bien ça va durer et surtout, comme le dit Connard 2 (on reprend la définition d’Askolovitch-Lordon), on ne va pas déconfiner le pays comme ça, tchac, d’un coup d’un seul : ce sera progressif :
« Il est probable que nous ne nous acheminons pas vers un déconfinement qui serait général et absolu, en une fois, pour tout le monde. »
Et voilà qu’on manque de médicaments ! Il faudrait une fois pour toutes foutre des puces sur tous nos matériels médicaux qui ont l’air de se balader un peu partout dans le monde, voir s’ils ne prendraient pas la direction des États-Unis ou du Proche-Orient, là où le gouvernement a carrément demandé à ses services secrets de voler le matos d’urgence aux autres pays...
Non, décidément, tout le monde n’a pas la même morale sur Terre, et c’est ça qui crée des conflits, des hiatus, des quiproquos, des frictions. Comment pourra se défendre un être humain généreux face à un autre être humain qui considère le vol comme légal et moralement justifié, du fait que le volé est supposé lui être inférieur ?
Cependant, l’immense penseur Ron Chacal nous explique que « c’est plus grave de voler un goy que voler un juif » (il a tort selon la « loi » française car si on vole un juif il y a circonstance aggravante d’antisémitisme) :
Nous avons retrouvé une vidéo datant de 1943 où de jeunes sous-hommes volent des surhommes, c’est assez rare pour être souligné :
Voilà voilà, le confinement commence à nous taper sur le système (et on a une grosse envie de taper sur le Système), du coup on tente des sorties pour respirer un peu, reprendre l’air, une vie normale en bravant le virus, la mort et la presse mainstream.
Chaque jour nous mettons au point une technique de sortie qui brave les injonctions des Connards, et avec tout le respect qu’on doit aux forces de l’ordre néolibéral, on vous révèle qu’il suffit de s’habiller en racaille pour être tranquille. Car Nuñez, notre ministre de la Sécurité franco-israélienne, a dit qu’il fallait laisser les quartiers tranquilles et qu’on ne pouvait pas ouvrir un second front.
Conséquence inattendue : la racaille qui est en nous s’est réveillée, suite aux coups de boutoir du pouvoir (359 000 PV depuis le début pour non-respect du confinement)... Car si la racaille produit la répression, la répression produit la racaille.