Dans les Grandes écoles, dans les Universités, mais aussi assez majoritairement dans les Centres de recherche, l’intelligence plafonne à 125 par tête de pipe... À la bêtise satisfaite de ces ânes bâtés, l’époque prouve l’efficience heureuse du bon sens populaire, à ne pas confondre avec l’idiotie peut-être congénitale de la populace. Le lumpen de Marx, ultra majoritaire à être masqué, pucé, fiché, piqué dans la joie et la bonne humeur (jusqu’à l’heure et du trépas en marche...), qui dénonce avec rage le voisin ou le passant pour port du masque sous les yeux, qui désormais fait corps avec son poison mortel (qui est du reste également le nôtre à fous, c’est bien là où le bas blesse, bref) est notre ennemi par défaut, ne l’oublions pas. Le fuir donc, plutôt que tenter en vain de le raisonner, avant de le convaincre par des moyens plus radicaux, sans recourir à la violence, hormis pour les plus bornés.
Les médiocres ont pris le pouvoir, que des imbéciles prennent pour des génies et reconduisent « aux responsabilités » d’élections truquées en élections truquées. Là est l’un des grands drames de notre époque, là aussi est l’issue pour qui sait voir et entendre.
Entretien plaisant et parfois très intéressant, mais hélas mâtiné d’une idéologie qui paradoxalement puise aux mêmes sources auxquels s’abreuvent les fous furieux dont nos deux gentils compères dénoncent le délire et les forfaits.
Pour les combattants chrétiens d’aujourd’hui, héritiers des soldats ou athlètes du Christ des grandes heures de la Chrétienté, je ne peux que très vivement conseiller la lecture roborative pour l’âme et l’esprit du Traité du Saint-Esprit de Mgr Gaume. Notre époque est passée au scalpel, avec un texte datant de... 1864.
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