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[Jean-Dominique Michel à 39:49] « C’est une très bonne question. Évidemment que les autres peuples nous idéalisent beaucoup [NDR : il est suisse], avec notre référendum, notre démocratie directe, donc j’ai souvent du calmer un peu les ardeurs de commentateurs, en leur disant "non mais attendez, les gens sont aussi intoxiqués ici qu’ailleurs", et les dernières décisions de notre gouvernement, qui n’ont fait que singer ce que le vôtre a infligé à sa population, sont atterrantes, quoi, ça montre que la Suisse n’existe pas vraiment dans ce dans ce versant démocratique, très poussé, qu’on imaginait. Il suffit qu’un quarteron de gouvernants, piloté par des puissances... malfaisantes, impose envers toute science — [NDR : à 40:27] parce qu’il n’y a absolument rien de scientifique dans le Pass sanitaire, d’ailleurs en France ça a été adopté à partir d’une fraude scientifique, comme Vincent Pavan l’a montré, donc ça atteint des degrés de crapulerie inimaginables, et au fond la Suisse se laisse aussi faire, dès lors qu’on l’instrumentalise de la même manière. »
[Le journaliste de Nexus à 40:43] « En Suisse, le Pass sanitaire vient d’être instauré. »
[Jean-Dominique Michel à 40:45] « Il a été instauré... il y a une semaine [NDR : pour rappel, interview enregistrée le 16/09/2021] et ça a été un grand choc, là encore avec 60 % de la population qui pense que c’est une bonne chose, parce qu’elle imagine que c’est utile, puis après elle dit "ouais, mais si les gens qui ne veulent pas se faire vacciner n’ont plus accès à certaines choses, ben ma foi, tant pis pour eux, ils n’avaient qu’à se faire vacciner". Mais ils n’ont pas compris que ce n’est pas un vaccin, déjà, que le Pass sanitaire n’a aucune utilité, il ne sert à rien pour prévenir l’épidémie. Les meilleurs épidémiologistes au monde le disent, les dernières données scientifiques détruisent la pertinence du Pass sanitaire, donc c’est complètement autre chose, mais évidemment que ça, c’est le grand pas difficile à franchir pour le citoyen moyen, c’est d’imaginer que ce n’est pas une histoire sanitaire depuis le début, qu’il y a d’autres mobiles derrière, dont on ne sait pas très bien ce qu’ils sont d’ailleurs, et comme les médias et les politiques ont soigneusement balisé le terrain avec l’accusation de complotisme... La santé il n’y a que des complots, c’est un des domaines les plus corrompus au monde. [...] ». [NDR : cette transcription s’arrête à 41:45]
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