Quand on s’intéresse à l’agitation autour de l’Aquarius et aux vagues médiatiques que le navire produit, on saisit le schéma global de l’organisation médiatico-politique qui planifie ces débarquements « humanitaires ». Pour parler plus vulgairement, le mondialisme destructeur tombe le slip.
D’abord, il y a eu le président du port de commerce de Sète, Jean-Claude Gayssot, qui est apparu au micro de BFM TV (Drahi TV) pour crier la mission éternelle de la France, c’est-à-dire récupérer les clandestins subsahariens (on a cherché dans les textes fondateurs, on n’a pas trouvé) pour les sauver d’une mort certaine. Naturellement, c’est le cœur qui parle, pas la raison. On s’en serait douté.
« C’est pour montrer que c’est bien au-delà des aspects politiciens... »
Eh bien non, on est plongés en pleine politique, et en politique profonde. Car la sortie du Gayssot coïncide avec le petit tweet innocent d’Alain Jakubowicz, qui ne représente plus la LICRA mais c’est tout comme :
Merci à @Jcgayssot de rappeler la seule chose qui compte : Sauver des vies, des familles, des femmes, des enfants. Quand des vies sont en danger il n’y pas de questions, il n’y a que des réponses #Aquarius #réfugiés https://t.co/RRRbiApXH1
— Alain Jakubowicz (@JakubowiczA) 13 août 2018
« La seule chose qui compte : Sauver des vies, des familles, des femmes, des enfants. Quand des vies sont en danger il n’y pas de questions, il n’y a que des réponses... » Merde, c’est beau. On aimerait voir Jaku twitter la même chose sur les femmes et les enfants dont les vies sont en danger à Gaza, mais apparemment, il y a les bonnes et les mauvaises victimes.
Rappelons que l’ancien ministre communiste a complaisamment prêté son nom en 1990 pour que la loi Gayssot ne soit pas une loi Fabius, ce qui n’aurait pas manqué de communautariser le tour de passe-passe juridique, une loi qui réprime la critique historique de la Shoah officielle.
Nous voyons qu’en toute logique, une des principales officines d’influence communautaire en France va dans le même sens. Gayssot-LICRA, même combat, pourrait-on scander. Le vieux reprend du service quand les maîtres le sifflent !
Cependant, tout ne se passe pas toujours comme prévu par les autorités mondialistes. On apprend via Europe 1 lundi 13 août 2018 que
« le gouvernement de Gibraltar a annoncé lundi qu’il allait retirer son pavillon à l’Aquarius après lui avoir demandé de suspendre ses activités de sauvetage pour lesquelles il n’est pas enregistré dans le territoire britannique ».
Bim, il y a eu comme une petite arnaque sur la fonction officielle du bateau. La suite ne manque pas de sel :
« Enregistré en 2009 à Gibraltar en tant que navire de recherche (survey vessel), l’Aquarius opérait depuis 2016, après avoir été affrété par SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières, “exclusivement sous la direction des autorités italiennes pour des opérations de sauvetage”, explique le gouvernement dans un communiqué.
Mais “en juin/juillet 2018, il a été demandé à l’Aquarius de suspendre ses opérations en tant que navire dédié au sauvetage par l’administration maritime de Gibraltar et de revenir à son activité initiale de ’navire de recherche’”, poursuit le gouvernement du territoire britannique. »
Officiellement, c’est parce qu’il n’y a plus suffisamment de ports de débarquement dans la zone italienne de sauvetage que Gibraltar siffle la fin de la récré... Matteo Salvini ayant fermé les portes de son pays à l’agression mondialiste déguisée en demande humanitaire.
Le mondialisme jakubowiczien qui se croit en territoire conquis n’a pas encore gagné.
Ce n’est pas à l’extrême-droite dont le projet a été massivement rejeté par les Français de définir notre politique migratoire. https://t.co/5Ta8IG4pDT
— LICRA (@_LICRA_) 14 août 2018
Le meilleur pour la fin : le livre sur l’épopée de l’Aquarius !