On descend par paliers.
Avant la crise de 2008, "la classe moyenne" était toujours un peu moins riche et un peu plus imposée l’année suivante que l’année précédente : l’impôt était l’outil de sa paupérisation (et de sa culpabilisation) mais en pente douce.
Après la crise de 2008, la tendance et la pente sont les mêmes, c’est la séquence qui change : chaque semestre ....
Depuis et avec le Covid, la paupérisation de la classe moyenne va se continuer mais par paliers trimestriels : chaque trimestre, nous serons un peu moins riches, (parce qu’) un peu plus imposés et un peu moins libres que le trimestre précédent.
Dans ce processus, "la faillite annoncée" (réelle) des banques n’est que le prétexte à de nouvelles spoliations par l’impôt ou autrement.
Parler de la faillite (réelle) de la banque, est une autre manière d’éluder le but ou l’intérêt de sa faillite : notre ruine.
La trame de tous leur échecs forcément prémédités tellement ils sont grossiers, c’est "la solution finale de la question de la classe moyenne" par sa paupérisation (d’abord financière, ensuite sociale, donc cullturelle et enfin spirituelle)
Pas parce que la classe est "moyenne"
Et donc facilement imposable.
Contrairement aux apparences, ce n’est pas le sujet.
Mais parce que la classe moyenne est chrétienne ou christanisante
Et seulement pour cette raison.
Parce qu’elle est le seul obstacle efficace à leur N.O.M. du fait de son logiciel chrétien incompatible.
Vous verrez que lorsque vous serez tout à fait dévasté et ruiné par leur faute et leurs impôts, si vous êtes encore chrétien, ils diront que vous êtes un privilégié honteux, un scandale sur pattes à abattre urgemment au nom de leur "démocratie".
Pourtant, vous ne serez plus que nu et sans doute incarcéré.
Mais encore vivant.
Leur répression va donc continuer à se déchainer sur nous.
Selon le processus maintenant connu des totalitarismes d’Arendt :
expropriation
déportation
concentration
extermination
Résistons à l’impôt
Car là où la propriété disparait, la liberté est dépourvue de ses moyens.
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