Les injures racistes et anti-françaises perpétrées par le chanteur Saïd Zouggah et le sociologue Saïd Bouamama ont été condamnées aujourd’hui par la Cour d’appel de Lyon.
- Le sociologue désormais raciste Saïd Bouamama
L’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (l’Agrif) a obtenu gain de cause, vendredi 12 janvier, auprès de la Cour d’appel de Lyon, qui a condamné les injures racistes et anti-françaises perpétrées par le chanteur Saïd Zouggah et le sociologue Saïd Bouamama dans un CD de rap et dans un livre intitulé « Nique la France », édités en 2010.
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« Cette satisfaction judiciaire marque le combat mené face à l’entreprise de haine contre la France, les Français et les blancs, inspiré par madame Houria Bouteldja, porte-parole du PIR ( Parti des Indigènes de la République) » a toutefois estimé l’association dans un communiqué, expliquant que ce parti « fer de lance de toute une mouvance tenant des discours de guerre civile » avait tenté de justifier ses propos par la double raison de la création artistique et de « l’antiracisme » avant que cette « dialectique de camouflage » ne soit démontée.
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Le rappeur Saïdou (Saïd Zouggagh) a bien compris comment faire fonctionner l’antiracisme – c’est-à-dire le racisme antifrançais – enseigné par l’oligarchie depuis 40 ans :
Il eut été plus juste, et plus intelligent, de viser la vraie dominance plutôt que le Français de base, un dominé devenu le bouc émissaire de toute une génération de jeunes immigrés manipulés. La solidarité entre dominés est la seule issue pour le peuple français tout entier.