Finalement, les deux hommes ne sont pas si éloignés que ça. Une pincée d’identité en plus pour Gentillet, une pincée de souveraineté pour Asselineau. Mais, concernant le Frexit, le patron de l’UPR souhaite quitter l’Europe pour éviter les conflits inévitables, pendant que le candidat RN pense (en bon tacticien politique qui connaît les électeurs) qu’il faut rester dans l’Europe car notre statut de contributeur net nous permettra de lui forcer la main.
Quel que soit son camp, la conclusion de François Asselineau résonne encore : « Moi j’ai des gens qui me disent on va changer d’Europe. Mais concrètement depuis 68 ans, c’est la France qui change, c’est pas l’Europe ! ». Pas faux.