Nous avons déjà relayé cette vidéo pour son contenu sur le cinéma, mais aujourd’hui c’est le passage à 1h49 que nous souhaitions mettre en avant. Alors que les élections européennes approchent à grands pas, avec son scrutin particulièrement intéressant pour les petites listes et une situation d’urgence qui s’accroît chaque jour, les idées souverainistes n’ont jamais été autant éparpillées.
François Asselineau, dont Alain Soral rappelle depuis 15 ans qu’il est aussi bon conférencier qu’il n’a pas de charisme, n’est pas totalement innocent de cette impossibilité d’union des partis souverainistes. Persuadé d’avoir été le premier à parler de Frexit et arcbouté sur un égo boursouflé, il refuse systématiquement toute alliance, se considérant le seul vrai légitime.
De nombreux souverainistes ont souhaité arranger un accord électoral pour profiter du scrutin à la proportionnelle à un tour et tenter d’atteindre les 5% qui permettraient de disposer de cinq élus. Chaque tête de liste serait en position éligible, permettant de satisfaire tout le monde.
Las, en juin prochain, la certitude qu’aucune des listes n’atteigne même pas les 3% (le seuil minimum pour être remboursé de ses frais) est très grande. Sous les applaudissements des grosses listes.