En ce jour d’élections estudiantines, une bagarre générale a opposé une centaine de belligérants appartenant à des syndicats de bords politiques opposés.
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Vers 9 heures, des militants de l’Unef commencent donc à distribuer des tracs à deux pas de la fac. Un petit groupe les rejoint, des militants de la Cocarde. Leurs tracts anti-Unef ne sont pas du goût des premiers.
D’autres étudiants, du NPA (Nouveau parti anticapitaliste) cette fois, font leur apparition. Entre les deux formations de gauche, voire d’extrême gauche, et les étudiants de la Cocarde, le ton monte. Des chants - hymnes antifascistes contre Marseillaises - résonnent alors aux portes du campus. Et puis des mots, on en vient aux mains.
Des bombes lacrymogènes, des bâtons télescopiques surgissent. Les coups, y compris des coups de ceintures, pleuvent. Au plus fort de la mêlée, on comptera une centaine de belligérants, 60 pour les « étudiants de gauche », 40 pour leurs adversaires. Finalement, la police intervient et les CRS mettent fin à cette poussée de violence vers 10 heures.
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Quelques vidéos des échauffourées, moins « équilibrées » que l’article du Parisien :
#Nanterre : Preuve de leur rassemblement avant d'attaquer délibérément des membres de La Cocarde. pic.twitter.com/cI5yPXVRgc
— La Cocarde Étudiante (@CocardeEtud) 17 octobre 2019
Bien décidés à ne pas lâcher le terrain, nous entonnons une Marseillaise (sous les huées et crachats des antifas et autres gauchistes, évidemment). Plusieurs étudiants prenaient notre parti et nous accompagnaient #Nanterre pic.twitter.com/S3IHGJlP4I
— La Cocarde Étudiante (@CocardeEtud) 17 octobre 2019