@catholique
On s’en tape et c’est faux : le serment du jeu de paume
La peste ou le choléra maçonnés, Philippe ou Mirabeau ?
Eux, sont bien morts sur l’échafaud
Et Napoléon dans son lit.
C’est la déontologie de la révolution.
Nos avocats de province spécialisés dans les accidents de pirogues qui nous donnent le spectacle du détournement du mvt révolutionnaire pour roucouler sur leurs pseudos revendications sociales (donc judeo bourgeoises mondialisées) comme hier, le Duc ou Mirabeau, mourront de leur tentative : la Révolution admet tout sauf d’être manipulée.
Quand une révolution est manipulée donc colorée ou fleurie, elle n’est plus révolutionnaire mais carnavalesque.
Bon, trêve de blaguounettes, c’est un fait vérifié : de tous nos ex leaders (et parfois manipulateurs) de nos trois premières campagnes, tous sont morts.
Barjot n’est plus et aucun de ceux qui ont défilé en waston pour la LMPT n’a été retrouvé sur les ronds points.
C’est pour cela, ne nous désolons pas des pitoyables tentatives ou ambitions secrètes d’une Priscillia ou d’un Rouet et ne les jugeons pas : la révolution s’en chargera.
Et ne nous dispersons pas en nous expliquant que blanc est avant bonnet ou bonnet avant blanc, car Mirabeau était de la famille de Philippe, celle des traitres, ie les trois points, et c’est aussi de cela dont ils sont morts, car si eux obéissaient au diable, la Révolution, elle, est toujours restée sous le contrôle du Ciel.
Dans toute révolution, il y en a deux en une : celle voulue par les manipulateurs et celle permise par le Ciel. Si nous ne pouvons pas empêcher la première, il suffit de constater cette vérité pour faire triompher la seconde.
Amis FM, tous ceux de votre église au nom de votre église qui ont semé la révolution, la révolution les en ont remerciés en les tuant.
Car sa loi ,qui est celle du Ciel ,est invariable : celui qui mange à deux râteliers, meurt en premier.
Aussi, amis révolutionnaires, pour nos futures campagnes, nous aurons d’autres leaders, plus grands plus sincères et plus combattifs que les précédents, posant plus que leurs prédécesseurs, les vraies et bonnes questions, soit la seule :
Quis ut Deus ?
Nous !
Transmettons à nos GJ la formule : elle résume tout notre combat et toute notre opposition à nos gouvernants.