Nous sommes à la croisée des chemins. Les uns veulent la guerre contre la Russie, une guerre ouverte, généralisée, donc mondiale, même si le terrain, les terres de sang, seront encore européennes. Les autres, les Munichois, les lâches, les 5e colonne, veulent la paix. Le petit télégraphiste de l’OTAN résume la chose.
L'AGENT CIA GLUCKSMANN
EXHORTE LES EURODÉPUTÉS
À DÉCLENCHER LA 3e GUERRE MONDIALE
Ses mensonges criminels comparant Poutine à Hitler, et son appel hystérique à la boucherie générale, doivent faire comprendre aux Français L'URGENCE ABSOLUE À FAIRE CHUTER LE GOUVERNEMENT BARNIER. pic.twitter.com/FyuxZJGEXi— François Asselineau (@f_asselineau) November 26, 2024
Dans le camp de la paix, on trouve 450 millions d’Européens, la majorité des Ukrainiens, qui sont exsangues, et une bonne partie du peuple russe, même s’il est très remonté contre l’OTAN. On peut y ajouter Trump et sa nouvelle équipe, avec le général Kellogg. La mission du gars vous est offerte par 20 Minutes :
En face, il y a bien sûr les faucons du Pentagone ou ceux de l’OTAN, la paire de Néerlandais tarés, plus les larbins de l’UE, l’oligarchie européiste incarnée par le couple Scholz-Leyen, et désormais Leyen toute seule, puisque Scholz se désolidarise progressivement d’une troisième guerre mondiale.
Le dernier coup de com’ en date des bellicistes vient du duo Macron-Starmer, qui veut monter une coalition européenne pour tenir tête aux Russes qui désireraient, dans leur esprit dérangé, envahir l’Europe de l’Ouest après avoir avalé les pays baltes. Et peut-être mettre Macron en prison. D’ici à ce que le petit dictateur se suicide dans son bunker de l’Élysée, avec sa charmante épouse...
Alors que Trump multiplie les contacts avec toutes les parties pour mettre un terme au massacre ukrainien, les deux agités du bocal s’agitent entre Paris et Londres pour vaincre les Russes, mettre leur économie à genoux, et récupérer le prestige de la victoire à la romaine. Traîner Poutine enchaîné sur un char au milieu des Champs-Élysées, voilà qui remonterait la cote de Macron, réélu sur une erreur de calcul de l’Intérieur en 2022.
La coalition franco-britannique, c’est Le Monde qui en parle le mieux, et c’est aussi la dernière chance des Européens de montrer les muscles. Pour l’instant, des centaines de milliards rackettés aux citoyens européens sont partis en fumée en Ukraine, et nos dirigeants veulent désormais nous impliquer au sol. C’est ce qu’avance Élise, employée du quotidien des lobbies et des marchés. On l’écoute. Pour les lecteurs pressés, nous avons prévu le résumé en tweet, un tweet reçu comme il se doit par le tribunal populaire.
L'envoi de troupes en Ukraine se prépare.
Nous en avons confirmation de la part de ces journalistes à gages qui avouent à la fin le rôle qui leur est désormais dévolu :
"Il faut préparer les opinions publiques sans trop les effrayer" pic.twitter.com/L98qEAYj8z— PhilConte 007 (@PhilConte007) November 27, 2024
Quand on écoute ces dames, avec ce général paumé au milieu, on comprend que le camp du bien est celui de la guerre, que Trump est une menace pour la guerre et les millions de morts qu’elle annonce. Ce parterre d’amazones veut nous préparer mentalement à la guerre mondiale, c’est-à-dire des tirs de missiles transcontinentaux qui peuvent raser une ville en 14 minutes, le temps d’un Moscou-Paris. Elles oublient qu’elles partiront elles aussi en fumée, ou alors elles ont déjà prévu le bunker antiatomique quelque part dans la vallée de Chevreuse grâce à leurs émoluments dodus d’agents du Système.
On a préparé un résumé du long article sur « l’envoi de militaires en discussion ». On parle bien de troupes au sol. On rappelle qu’en France, on dispose de deux semaines de munitions, tout au plus. Et que beaucoup de nos Caesar sont déjà sur place, on ignore juste combien de ces canons automoteurs sont encore en vie...
Alors que le conflit en Ukraine connaît une nouvelle phase d’escalade, les discussions sur l’envoi de troupes occidentales et de sociétés de défense privées sur le sol ukrainien, ont été réactivées, a appris Le Monde de sources concordantes. Des débats sensibles, pour l’essentiel classifiés, mais bel et bien relancés, dans la perspective d’un éventuel désengagement américain du soutien à Kiev après la prise de fonctions de Donald Trump, aux États-Unis, le 20 janvier 2025.
Techniquement, pour l’instant, tout passerait par une société aux deux-tiers privée, à l’américaine donc, peu connue du grand public.
Mais, depuis plusieurs mois, des propositions sont clairement sur la table. Comme celle de la société Défense conseil international (DCI), le principal opérateur du ministère des Armées pour le suivi des contrats d’armement tricolores à l’export et le transfert des savoir-faire militaires afférents. Dont l’État est actionnaire à hauteur de 34 %. Composée à 80 % d’anciens militaires, DCI serait prête à poursuivre, en Ukraine, la formation de soldats ukrainiens, comme elle le fait déjà en France et en Pologne. Elle pourrait aussi, s’il le fallait, assurer la maintenance des équipements militaires français envoyés à Kiev. DCI a été approchée en ce sens par Babcock, une société homologue britannique déjà présente en Ukraine, pour partager les installations dont cette dernière dispose.
Et comme par hasard, le 9 novembre 2024, Biden a levé « l’interdiction des sociétés militaires privées en Ukraine ». De là à dire que quatre jours après la défaite cinglante des démocrates, ils ont glissé une peau de banane à la future administration en déclenchant une guerre contre la Russie par proxys, à savoir les larbins du couple franco-britanniques… D’une manière plus large, une fois que l’Ukraine aura été dépecée par la Russie et l’UE, il faudra sécuriser ce pays, et les Français se voient bien en première ligne, au milieu d’un déploiement d’une « coalition OTAN ». Donc l’OTAN, mais pas l’OTAN, histoire d’éviter toute bombe atomique sur la gueule.
Vue du côté russe, cette coalition franco-britannique ne surprend pas, puisque les deux pays sont déjà en situation de cobelligérance. Officiellement, des troupes franco-britanniques seraient sur place après un cessez-le-feu, dans une situation à la coréenne. Le dispositif complet inclurait flotte et aviation. On notera dans l’article d’Élise d’étranges phrases qui sonnent comme des postulats :
Dans un contexte où les Européens sont de plus en plus contraints de s’engager dans le conflit, la question de l’« après » se pose avec acuité.
Du côté des peuples européens, pas la peine de faire un micro-trottoir, on ne se sent pas vraiment « contraints de s’engager dans le conflit ». Élise veut peut-être parler du lobby militaro-industriel à la manœuvre, de l’oligarchie ou des forces occultes qui veulent nous entraîner dans un troisième génocide européen...