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Guerre ou paix : course de vitesse entre Macron-Starmer et Trump-Kellogg

Nous sommes à la croisée des chemins. Les uns veulent la guerre contre la Russie, une guerre ouverte, généralisée, donc mondiale, même si le terrain, les terres de sang, seront encore européennes. Les autres, les Munichois, les lâches, les 5e colonne, veulent la paix. Le petit télégraphiste de l’OTAN résume la chose.

 

 

Dans le camp de la paix, on trouve 450 millions d’Européens, la majorité des Ukrainiens, qui sont exsangues, et une bonne partie du peuple russe, même s’il est très remonté contre l’OTAN. On peut y ajouter Trump et sa nouvelle équipe, avec le général Kellogg. La mission du gars vous est offerte par 20 Minutes :

En face, il y a bien sûr les faucons du Pentagone ou ceux de l’OTAN, la paire de Néerlandais tarés, plus les larbins de l’UE, l’oligarchie européiste incarnée par le couple Scholz-Leyen, et désormais Leyen toute seule, puisque Scholz se désolidarise progressivement d’une troisième guerre mondiale.

Le dernier coup de com’ en date des bellicistes vient du duo Macron-Starmer, qui veut monter une coalition européenne pour tenir tête aux Russes qui désireraient, dans leur esprit dérangé, envahir l’Europe de l’Ouest après avoir avalé les pays baltes. Et peut-être mettre Macron en prison. D’ici à ce que le petit dictateur se suicide dans son bunker de l’Élysée, avec sa charmante épouse...

Alors que Trump multiplie les contacts avec toutes les parties pour mettre un terme au massacre ukrainien, les deux agités du bocal s’agitent entre Paris et Londres pour vaincre les Russes, mettre leur économie à genoux, et récupérer le prestige de la victoire à la romaine. Traîner Poutine enchaîné sur un char au milieu des Champs-Élysées, voilà qui remonterait la cote de Macron, réélu sur une erreur de calcul de l’Intérieur en 2022.

La coalition franco-britannique, c’est Le Monde qui en parle le mieux, et c’est aussi la dernière chance des Européens de montrer les muscles. Pour l’instant, des centaines de milliards rackettés aux citoyens européens sont partis en fumée en Ukraine, et nos dirigeants veulent désormais nous impliquer au sol. C’est ce qu’avance Élise, employée du quotidien des lobbies et des marchés. On l’écoute. Pour les lecteurs pressés, nous avons prévu le résumé en tweet, un tweet reçu comme il se doit par le tribunal populaire.

 

 

(Si la vidéo est bloquée, la visionner ici)

 

Quand on écoute ces dames, avec ce général paumé au milieu, on comprend que le camp du bien est celui de la guerre, que Trump est une menace pour la guerre et les millions de morts qu’elle annonce. Ce parterre d’amazones veut nous préparer mentalement à la guerre mondiale, c’est-à-dire des tirs de missiles transcontinentaux qui peuvent raser une ville en 14 minutes, le temps d’un Moscou-Paris. Elles oublient qu’elles partiront elles aussi en fumée, ou alors elles ont déjà prévu le bunker antiatomique quelque part dans la vallée de Chevreuse grâce à leurs émolument dodus d’agents du Système.

On a préparé un résumé du long article sur « l’envoi de militaires en discussion ». On parle bien de troupes au sol. On rappelle qu’en France, on dispose de deux semaines de munitions, tout au plus. Et que beaucoup de nos Caesar sont déjà sur place, on ignore juste combien de ces canons automoteurs sont encore en vie...

Alors que le conflit en Ukraine connaît une nouvelle phase d’escalade, les discussions sur l’envoi de troupes occidentales et de sociétés de défense privées sur le sol ukrainien, ont été réactivées, a appris Le Monde de sources concordantes. Des débats sensibles, pour l’essentiel classifiés, mais bel et bien relancés, dans la perspective d’un éventuel désengagement américain du soutien à Kiev après la prise de fonctions de Donald Trump, aux États-Unis, le 20 janvier 2025.

Techniquement, pour l’instant, tout passerait par une société aux deux-tiers privée, à l’américaine donc, peu connue du grand public.

Mais, depuis plusieurs mois, des propositions sont clairement sur la table. Comme celle de la société Défense conseil international (DCI), le principal opérateur du ministère des Armées pour le suivi des contrats d’armement tricolores à l’export et le transfert des savoir-faire militaires afférents. Dont l’État est actionnaire à hauteur de 34 %. Composée à 80 % d’anciens militaires, DCI serait prête à poursuivre, en Ukraine, la formation de soldats ukrainiens, comme elle le fait déjà en France et en Pologne. Elle pourrait aussi, s’il le fallait, assurer la maintenance des équipements militaires français envoyés à Kiev. DCI a été approchée en ce sens par Babcock, une société homologue britannique déjà présente en Ukraine, pour partager les installations dont cette dernière dispose.

Et comme par hasard, le 9 novembre 2024, Biden a levé « l’interdiction des sociétés militaires privées en Ukraine ». De là à dire que quatre jours après la défaite cinglante des démocrates, ils ont glissé une peau de banane à la future administration en déclenchant une guerre contre la Russie par proxys, à savoir les larbins du couple franco-britanniques… D’une manière plus large, une fois que l’Ukraine aura été dépecée par la Russie et l’UE, il faudra sécuriser ce pays, et les Français se voient bien en première ligne, au milieu d’un déploiement d’une « coalition OTAN ». Donc l’OTAN, mais pas l’OTAN, histoire d’éviter toute bombe atomique sur la gueule.

Vue du côté russe, cette coalition franco-britannique ne surprend pas, puisque les deux pays sont déjà en situation de cobelligérance. Officiellement, des troupes franco-britanniques seraient sur place après un cessez-le-feu, dans une situation à la coréenne. Le dispositif complet inclurait flotte et aviation. On notera dans l’article d’Élise d’étranges phrases qui sonnent comme des postulats :

Dans un contexte où les Européens sont de plus en plus contraints de s’engager dans le conflit, la question de l’« après » se pose avec acuité.

Du côté des peuples européens, pas la peine de faire un micro-trottoir, on ne se sent pas vraiment « contraints de s’engager dans le conflit ». Élise veut peut-être parler du lobby militaro-industriel à la manœuvre, de l’oligarchie ou des forces occultes qui veulent nous entraîner dans un troisième génocide européen...

Tous à Moscou, en chantant

 






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9 Commentaires

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  • #3458999

    " la question de l’après " ...en fait ne se posera pas : ceux qui en reviendront feront le ménage -LE VRAI- dans toute la classe médiatico politique de ces 40dernières années.après 1945 , l’épuration n’a permis l’élimination que de 100 à 120 000indésirables qui avaient fait le mauvais choix .Je pense que pour les revenants , la tache sera immense , on peut tabler sur plus de 500 000....Soit quand mème beaucoup moins que les génocides du CAMBODGE ou du RWANDA ....Par humanité !

     

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  • #3459000

    Bonjours, depuis un semaine la Russie a fait la démonstration qu’elle possédait une arme de dissuasion NON nucléaire
    Calculez en joules l’énergie dispersée par 5000kg de sable lancé a 5000 m/ seconde lors de l’impact

    Dans l’absolu peut t on répondre à ce type de frappes par une arme nucléaire ? ces missiles restant dans le cadre des armes conventionnelles la reponse serait en toute raison, non
    Mais est ce la raison qui anime ces larbins, malheureusement non
    Seule une guerre nucléaire peut par l’effroi , annihiler ( et pour longtemps) toutes formes de résistances civiles,tandis qu’une guerre conventionnelle les renforcerait

    De la penser qu’ils préfèrent la mort des nations européennes plutôt que de subir leurs revoltes il n’y a qu’un pas
    On comprend mieux la symbolique du. Champs de Mars qui nous a été donné de voir un soir de mai 2022

     

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  • #3459003

    En 1956, l’opération "mon zeb" nous permit de constater la puissance politique du partenariat militaire franco-britannique. Rebelote ?

     

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  • #3459008

    "Obtenir la paix par la force ".
    Piotr Tolstoï a déjà prévenu "Non, c’est pas Trump, c’est pas l’Europe, qui vont décider, c’est la Russie qui va (en) décider. »

     

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  • #3459009

    Ces gros bourrins s’imaginent qu’ils vont manipuler la Russie ! Piotr Tolstoï, député russe et vice-président de la Douma, a prévenu :
    « Dans les médias européens, on dit toujours que Trump, l’Europe vont décider comment va s’arranger la situation en Ukraine. Non, c’est pas Trump, c’est pas l’Europe, c’est la Russie qui va (en) décider.  »

     

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  • #3459010

    Quel que soit leur initiative , les russes vont les cogner salement .

     

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  • #3459011

    Depuis deux siècles, l’Empire se renforce en manipulant des idiots, en menaçant des lâches et en déclenchant des guerres.

     

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  • Il n’ y a pas de croisée des chemins ,mais une idéologie mortifère stupide d’une création de toute pièce afin de propager une guerre .Mais une guerre qui n’ est aucunement mesurée ,ne serait ce par un guignol comme macron qui n’a jamais fait une seule journée de service militaire ,Pas plus pour le dégénéré Glucksxmann ne sachant qu’aujourd’hui une guerre serait fatale pour l’ humanité entière en une seule journée .
    C’est fini la bataille des chars ,des fusils dans les tranchées ,et les baïonnettes .Maintenant ce sont des bombes atomiques ,et il n’ en faut pas cinquante pour détruire un pays en un seul éclair .

     

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  • La guerre c’est comme les injections, il y a ceux qui les décident et ceux qui sont forcés a les faire.

    Ces ordures de l’OTAN mettent la pression à l’Ukraine pour qu’ils mobilisent des pauvres gamins de 18ans.

    Y a t-il encore des gens qui n’ont pas compris que "goyim lives doesn’t matter" ?

     

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