Grégory Chelli, alias Ulcan, avait harcelé ces dernières semaines la famille du journaliste de Rue89 Benoît Le Corre. Le père de ce dernier, auquel il avait fait croire que son fils était mort, avait été victime d’un infarctus quelques jours plus tard et était plongé dans un coma artificiel. Il est désormais décédé. Le hacker sioniste a cru bon de faire œuvre de sadisme une nouvelle fois en présentant ses « condoléances » au journaliste.
Tant que l’excité du ciboulot ne s’attaquait qu’à des personnalités décriées comme le Professeur Robert Faurisson ou l’essayiste Alain Soral, nulle trace de solidarité journalistique ou intellectuelle. C’est à croire qu’il est des hommes moins égaux que d’autres, comme disait feu Coluche. Mais aujourd’hui, après s’en être pris à des individus beaucoup plus respectables (pensez, des journalistes institutionnels !), jusqu’à entraîner la mort du père de l’un d’entre eux dans le fâcheux rebondissement d’une histoire devenue morbide, il est fort probable que la justice s’active ou qu’en tout cas les bien-pensants s’émeuvent ou même s’indignent. Gageons que, aspirés par les plaintes de la famille de Benoit Le Corre ou de Rue89, celles du Professeur Faurisson ou d’Alain Soral n’atterrissent pas cette fois immédiatement dans la corbeille d’une justice à deux voire trois vitesses.