La présentation de Pierre de Brague de l’oeuvre et philosophie de Georges Sorel est d’une autre hauteur que les élucubrations de ce jeune npa : je n’ai pu les écouter jusqu’au bout ....
En son exposé, Pierre ouvre la brèche : retrouver l’intuition créatrice. Le mental cesse dès lors de fuir par la Logique et accueille divinement la Parole, celle que nous croyons avoir perdue alors qu’elle est située dans nos coeurs vibrants, nos palpitations cardiaques sont VIE.
Pierre de Brague nous donne les clefs de compréhension du système anti-Vie de domination dans lequel nous sommes depuis des millénaires.
Les Dieux de la Grèce antique nous observent. Nous sommes leurs enfants. Ils nous ont tout donné. Nous allons passé à l’état d’adulte afin de les servir et nous rapprocher du coeur de la communauté de l’ÊTRE à laquelle nous sommes conviés d’entrer grâce à une Nouvelle Naissance, celle dont Jésus en Christ et les Hiérarchies célestes (identiques au Panthéon de la mythologie grecque) tentent de nous en exprimer la Beauté et la Vérité.
Dommage que l’ami npa, pas encore camarade (qui sait ?) n’ait pas saisi la perche que lui tendait Pierre ! Il a poursuivi dans son délire du politiquement formaté.
Devra-t-il se laisser plonger dans les Eaux lustrales du baptème ? Soit y mourir définitivement s’il ne se prépare pas, s’y refuse, ni son heure arrivée. En ce cas, il poursuivra sa quête dans son labyrinthe bourgeois d’idées creuses, mortifères, comme statufié par la Méduse, un monde pétrifié de la maternelle au maisons de retraite en passant par les hôpitaux, l’usine, le confort, toutes ces catégories de l’avoir, du paraître, de la marchandise évoquées par Francis Cousin.
Ces npa devront affronter leur minotaure comme tant d’autres notamment ces antifas, ou autres djihadistes lesquels font oeuvre mâle à l’extérieur d’eux-même, brandissant leurs armes tel un sexe-guerrier ! ils n’ont pas encore accepté d’accomplir cette oeuvre mâle à l’intérieur d’eux-même. Que l’Esprit Saint les féconde.
Le Passage est périlleux car l’Épée christique aux deux tranchants de lame expriment l’une l’ego humain (le moi-je temporel) et l’autre le Soi divin (le moi divin intemporel, immortel) et donc l’Enfant divin que nous portons chacun en germe).
Le Moi-divin ouvre les Portes de l’intuition-Vie, de la clairvoyance, à la poésie et à la compréhension vivante du message implicite contenu dans l’oeuvre de Georges Sorel.
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