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France Culture accuse Lorànt Deutsch d’être complaisant envers la Collaboration

France Culture, l’organe de propagande culturel de Radio France, la radio d’État en mission de propagande pour les minorités qui régissent le pouvoir profond, cherche à en finir avec le succès populaire du comédien patriote, amoureux de la France et de son histoire, le conteur et écrivain Lorànt Deustch, déjà étrillé par l’historien bien-pensant d’Europe 1 (le charlot Ferrand) et les plateaux du Grand Journal de Canal+ époque Denisot.

 

L’émission du 28 mai 2019 est un festival d’allégations, d’amalgames, de contre-vérités, un feu d’artifices d’accusations et de condamnations morales rétroactives. Pour faire court, Deutsch, qui veut dire Allemand en allemand, ne montre pas assez de haine antiboche ou prosioniste dans le supplément. Il s’agit du nouveau hors-série du Parisien sorti le 13 mai, Le Paris de l’Occupation. France Culture souligne : « Cet opus intriguait dès la Une : sous le sous-titre “Collaboration, Résistance, vie quotidienne”, la silhouette de Lorànt Deutsch, mains sur les hanches ».

Cependant, Deutsch n’a pas signé les 100 et quelques pages du hors-série. Le quotidien se sert de l’image très populaire du comédien pour attirer le chaland, et Deutsch se prête au jeu en posant devant les lieux de mémoire :

« C’est lui qui pose devant l’objectif d’un photographe à travers ce qui se présente comme une série de “balades” dans “le Paris des Allemands”, “le Paris des résistants”, ou… “le Paris des plaisirs” et “le Paris de la mémoire”. On découvre par exemple au fil des pages :

- Lorànt Deutsch chez Maxim’s ou “la fête perpétuelle” (“Allemands et Français s’y cotoyaient joyeusement !”)
- Lorànt Deutsch devant le Collège de France (“Le gendre de Marie Curie mettait la main à l’explosif !”)
- Lorànt Deutsch d’un air pénétré, en lunettes de soleil, devant le Mémorial des enfants du Vel’d’Hiv »

Stop ! C’est là où la corde devient sensible, où la ligne jaune peut être franchie par un pas assez dans les clous. France Cul reproche au journal de ne pas avoir casté de vrais spécialistes de la Seconde Guerre mondiale ou de la Collaboration (on voit à qui la radio fait allusion) et de les avoir remplacés par, entre autres, un écrivain royaliste. Déjà, royaliste, c’est sur la pente glissante. Mais on va glisser plus loin, ou faire glisser Deutsch plus loin, jusque dans l’abjection (suspense). Cela va être progressif, le chemin vers les heures sombres étant jalonné d’un « vocabulaire équivoque »...

« Or cette lecture d’une centaine de pages interpelle. Pas tant parce que l’histoire qui s’y raconte se révélerait maladivement révisionniste, intensément pro-allemande, ou encore fondamentalement antisémite (même à bas bruit). Techniquement, ce hors-série du Parisien n’est pas un brûlot vichyssois. Et personne aux manettes de cette édition spéciale n’a par exemple oublié la Rafle du Vel’ d’hiv comme on gomme un épisode traumatique ou trop gênant (deux pages y sont consacrées).

Pourtant, à mesure qu’on progresse dans la lecture, s’installe une impression diffuse. Au point qu’on finit par se demander à quelle (re)lecture de l’histoire on peut bien avoir affaire. Souvent, c’est le vocabulaire qui fait tiquer. Tandis que le lexique défile, on commence par se dire qu’on n’a pas l’habitude d’entendre évoquer tout cela dans cette tessiture. Pour terminer, page 105 en pensant qu’il y a quand même un souci. »

C’est pas clair, c’est diffus, mais on sent que Deutsch est du mauvais côté de la barrière morale, n’est-ce pas. On en arrive enfin à l’os, l’antisémitisme, Céline et la Shoah.

« Dès la page 3, l’éditorial nous invitait à suivre les pas de Lorànt Deutsch, “un guide passionné pour nous aider à cheminer dans ce maquis d’impressions mêlées”. “Impressions mêlées” ? Curieuse expression pour évoquer ce Paris-là, toile de fond de la Shoah et de la répression des résistants. Qui n’a pas rien à voir avec la manière dont il est question de Louis-Ferdinand Céline. Page 55, l’auteur, en 1941, de Dans de beaux draps, est bien “l’antisémite éructant”. Mais trente pages plus loin, le voilà en esprit libre et audacieux au détour d’une anecdote bien plus flatteuse : un soir de 1943, Céline a osé singer Hitler en plein dîner rue de Lille, chez l’ambassadeur du Reich, Otto Abetz. À l’échelle de l’historiographie sur la Seconde Guerre mondiale, l’anecdote est d’importance minime. Insérée dans un récit parisien qui se veut tout sauf exhaustif, elle produit surtout l’impression diffuse que tout se vaut. »

On y est ! La souffrance des juifs vaut celle des collaborateurs, épurés en 1944-1946 ! Les résistants valent les antisémites, il n’y a plus de hiérarchie et de vainqueurs, tout se mélange, halte, danger, blasphème !

« Page 68, alors qu’on retrouve l’histoire de la conservatrice Rose Valland que documente bien l’exposition du Mémorial de la Shoah proposée en ce moment par l’historienne Emmanuelle Polak, on nous raconte aussi celle de la maison d’enchères Drouot pendant l’Occupation. Et de ces marchands persécutés, spoliés, dont les biens sont aryanisés (“les collectionneurs juifs, les Rothschild, David-Weill, Schloss, Fabius ou Kann”), on nous dit ceci :

À partir de juillet 1941, ils seront même interdits d’accès à Drouot, ce qui leur épargnera de voir leurs trésors bradés à la race des nouveaux seigneurs.

“La race des nouveaux seigneurs” ? L’expression figure sans guillemets, ni pour race ni pour seigneurs. Elle est déjà curieuse en soi. Mais l’auteur sait-il qu’avant d’être le titre d’un livre du fils d’Alain Delon, La Race des seigneurs était celui d’un film de 1974, par Pierre Granier-Deferre… qui l’adaptait en réalité d’un roman de Félicien Marceau, auteur et académicien dont la réputation est très polémique au sortir de la Seconde Guerre mondiale ? »

France Culture ment, France Culture est « allemand »

On y est : quand on gratte un peu, sous le Deutsch on trouve un Allemand, c’est-à-dire un antisémite par rétroaction. France Culture trouve que le texte inspiré par le comédien n’est pas assez gauchophile, résistophile et judéophile. Les guillemets ne changent pas l’impression nauséabonde que la « journaliste » (à nous de mettre des guillemets) de la radio, Chloé Leprince – une synthèse mondialiste ! – tente de retranscrire.

« Mais les guillemets ne font pas tout : page 30, on évoque “‘les touristes en feldgrau’ (gris verdâtre, d’après la couleur de l’uniforme allemand) [qui] déambulent dans Paris”. Les guillemets sont là mais une rapide recherche sur Google et dans les recherches historiques montre que personne n’utilise l’expression “touristes en feldgrau” pour parler des soldats allemands. Pourquoi donc, alors, aller chercher le mot “touriste”, même pour l’écrire entre guillemets ? Parfois, le sous-texte est discret, comme ce paragraphe :

Les Parisiens, sidérés, ont dû très vite se plier aux règles imposées par ce nouveau maître. Il fallait manger - l’obsession n°1 en ces temps de pénurie, se chauffer, pédaler faute d’essence. Bref, se débrouiller pour améliorer l’ordinaire quand les Juifs, eux, étaient progressivement privés de tous leurs droits. Jusqu’à celui de vivre.

“Les Parisiens” d’un côté, “les Juifs” de l’autre comme si les Français ne pouvaient pas être juifs ou qu’il n’y avait pas de Juifs parisiens ? »

On renvoie Chloé à l’étude précise de la déportation des juifs étrangers à Paris en juillet 1942, et aux informations de Zemmour sur le sujet, qui n’a toujours pas été contredit.
Peu importe la vérité historique, France Culture saute sur l’occasion pour placer la phrase célèbre de Raymond Barre après l’attentat de la rue des Rosiers, et donc assimiler Deutsch à cette sortie prétendument antisémite :

« Quand Raymond Barre, Premier ministre en octobre 1980, avait déploré les victimes de l’attentat contre la synagogue de la rue Copernic, il avait dénoncé un acte “odieux”, “qui voulait frapper les Israélites qui se rendaient à la synagogue et qui a frappé des Français innocents qui traversaient la rue Copernic”. “Les Israélites” d’un côté, les “Français innocents de l’autre”, donc :»

 

On en profite de notre côté pour replacer la vidéo d’explications du même Raymond, des explications recueillies par le sioniste des médias Raphaël Enthoven, dont on reconnaît la voix veloutée :

 

« Sur cette affaire, je considère que le lobby juif, pas seulement en ce qui me concerne, est capable de monter des opérations qui sont indignes, et je tiens à le dire publiquement. »

Dommage, Raymond n’est plus là pour nous parler des opérations sous faux drapeau ou de la propagande antifrançaise du lobby sioniste qui fait pression sur l’État, si c’est ce qu’il voulait dire.

Tout le reste du texte de France Culture (qui arrive à replacer le « point de détail » de Le Pen) est de la même eau boueuse, un procès en antisémitisme larvé, un antisémitisme sous-entendu, entre guillemets et en embuscade.

Voici le dernier paragraphe, avant les explications en forme d’excuses du rédacteur en chef du hors-série, coupable de négligence :

« Volonté pédagogique ? On peut imaginer que les tournures narratives sur un mode “il était une fois” s’expliquent par ce souci de nous prendre par la main. Pourtant, la vertu pédagogique n’est pas flagrante lorsque page 9, on évoque le premier train de la mort qui s’ébranle le 27 mars 1942 à destination d’Auschwitz en commençant par : “Il fait un temps superbe lorsque, en ce début d’après-midi, les Allemands rassemblent les 4 000 Juifs détenus au camp de Drancy.” Mais la météo est assez présente au fil de tout le hors-série, dont l’éditorial débutait sur : “Le printemps 1940 fut l’un des plus chauds que la capitale ait connu depuis très longtemps”. Chaud. »

Une belle opération de révision historique dans le bon sens, celui des autorités. Pas allemandes attention, pas les autorités d’hier, non, les autorités d’aujourd’hui. Qui obligent à une nécessaire collaboration des médias. N’est-ce pas, Chloé ?
La roue tourne... Mais elle peut tourner encore, l’Histoire étant un perpétuel recommencement...

 

Pourquoi Deutsch est mal vu par l’histoire officielle

Courageusement, Lorànt Deutsch défend la langue française dans la pire émission de service faussement public de la télé française, qui le soumet à la question Zemmour :

 

Mais ce qui est reproché à Deutsch, c’est de ne pas relayer la version des vainqueurs :

Lorànt Deutsch sous les feux de l’histoire officielle, sur E&R :

 






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39 Commentaires

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  • L’historien doit débattre...ah bon ??? Et la loi Fabius-Gayssot ???

    Je rigole

    Petite pensée à feu le Professeur et à notre ami Vincent

     

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  • Lorànt Deutsch coche les mauvaises cases.

    Selon les critères de la Gestapo c’est un Juif….

    Selon les critères de certains c’est un "bâtard" ou un mauvais juif ce qui explique sans doute en partie son déclin professionnel et ces attaques.

    Voir ci-dessous :

    Lorànt Deutsch est né d’un père juif d’origine hongroise ayant fui la répression communiste de 1956 et d’une mère roumaine…..

    Son père, Jean-Pierre Deutsch …. est chef de file de Debout la République, parti de Nicolas Dupont-Aignan, pour les élections régionales de 2015 en Eure-et-Loir.

    Opinions politiques et religieuses :

    Dans l’émission On n’est pas couché …. il se déclare fier d’être catholique, ……
    ……il se déclare royaliste de tendance orléaniste, ….. Lui-même se définit comme « royaliste de gauche ».

    Extraits de wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lorà...

     

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    • #2208982

      Les médias ne cessent de lui cirer les pompes. C’est un fait.

       
    • Lorant Deutsch de son vrai nom Laszlo Matekovics.... Matekovics c’est pas très juif comme nom, donc on peut en déduire qu’au plus il a un grand parent d’origine juive..Et sa mère roumaine ? alors là , il y a de forte chance que ce soit une hongroise de Transylvanie, parce que les Hongrois et les Roumains, c’est pas l’amour fou.
      Bref Lorant Deutsch est d’origine hongroise, une nation pluriethnique, très occidentaliste et pas facile à normaliser
      On se souvient que parmi les réfugiés politiques de 1956, certains sont devenus des membres actifs de l’OAS ou du parti indépendantiste québécois.

       
  • Occupation très douce par rapport à celle des allié et des russes en Allemagne

    Dans son livre Crimes and Mercies, The Fate of German Civilians Under Allied Occupation 1944-1950 (« Crimes et pitié, le sort des civils allemands sous l’occupation alliée, 1944-1950 ») l’hitorien canadien James Bacque estime que à cause des conditions extraordinairement dures imposées par les Alliés, au moins 9,3 millions d’Allemands, et peut-être jusqu’à 13,7 millions sont morts entre 1945 et 1950 sans aucune nécessité :

    Expulsés : de 2,1 à 6,5 millions de morts (estimation donc bien supérieure à celle de Douglas)
    Prisonniers : 1 à 2 millions
    Résidents (civils vivant à l’intérieur des frontières de l’Allemagne mais morts de faim de froid ou de mauvais traitements) : 5,7 millions
    Total : entre 9,3 et 13,7 millions de morts civils allemands APRES la fin de la guerre

     

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  • être complaisant avec la collaboration ? Ca devrait pas déplaire à la bienpensance. Ah merde on parle de la collaboration 1940, je croyais qu’on parlait de celle d’aujour’d’hui.
    Comme le chasseur, y a la bonne et la mauvais collaboration...

     

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  • #2208928

    France Culture. Deux mensonges en deux mots.

     

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  • #2208985

    C’est curieux cette manie de parler de collaboration

    en occultant en permanance que d’une, la plupart des juifs

    ont été sauvés en France.

    Que les sionistes de Palestine avaient collaboré avec Adolf

    en signant le "contrat de transfert ", rance tuture n’en parle pas ?

    Ils ne parlent pas non plus du livre de Maurice Rajfus, des juifs dans la collaboration.

    Ils ne parlent pas non plus que la collaboration est surtout de gauche,

    = https://www.egaliteetreconciliation...

    https://www.egaliteetreconciliation...

    Comme disait Mitterrand, c’est l’entretien de la haine...

     

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  • France-Culture a été ravagée par le crétinisme du Bien. Quand on y va 3 fois sur 4, on est sur une chaîne d’info, ce qui est inepte, il ne devrait jamais y avoir d’info sur FC, l’info c’est l’anti-thèse de la position culturelle qui est position de recul et de réflexion (et aussi pour la bonne raison qu’il y a pléthore d’offre d’info sur les autres radios).

    Dans le genre inepties tu as aussi les "dramatiques" avec les acteurs à la voix défoncée par la scène déclamant des textes où t’as direct envie de te suicider tellement c’est inepte.

    Il n’y a pratiquement plus que des gonzesses pour "animer" ce cadavre, c’est à dire des êtres qui -comme l’a rappelé Soral- sont dans la reproduction, c’est à dire la soumission à ce qui est et l’incapacité absolue à en sortir par la pensée ; c’est insupportable de platitude et de bien-pensance.

    Et devinez-quoi .... FC est dirigée par une blonde :D

     

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    • #2209769

      Ce samedi matin on ne peut que confirmer vos dires. Une chroniqueuse à la voix chargée de tabac , mais n’étant pas Macha, nous embarque dans l’écoute d’une rappeuse US dès 7h du matin.
      J’ai tourné le bouton.

       
    • La question c’est : elle fait comment la blonde à la tête de France-Culture, là où il est censé exister de la Pensée ?

      C’est là que les journaleux c’est génial à tout point de vue : il y en a plein et leur petit ventre il fait ’graou-graou’ ils ont faim. Et la blonde c’est un gens du Bien (pas de singulier sous dictature du Bien), elle est Bonne, elle ne peut que leur donner à manger, beaucoup ; elle se sent obligée, c’est Bien.

      Et quand t’es parfaitement incapable de penser une grille culturelle le journaleux c’est une sorte de rêve pour directrice inepte : tu le pose devant le micro, tu règle la durée, par ex. 2h et t’appuie sur ’start’ : il n’y a jamais de problèmes.

      Les acteurs c’est pareil, leur gorge défoncée fait ’graahhhagrahhh’, faut leur donner à manger. Ca coûte autant que les journaleux mais ça dure beaucoup moins. Par contre il y a marqué "culture" dessus donc la blonde elle remplit sa mission avec ça, encore trop Bien....

       
    • @Certainement : une autre question interessante est : pourquoi une femme plate sur le plan culturel parle d’une rappeuse à 7h du mat sur FC ? Ici il faut bien comprendre que le Bien, la con-pensée, la non-pensée, a un contenu précis. Le modèle standard complotiste énonce que c’est l’oligarchie qui impose les femmes et les rappeurs pour détruire la civilisation eurochrétienne : c’est absolument impossible car les valeurs de l’oligarchie c’est le pouvoir de l’argent, la plupart du temps couplé à l’hyper-supériorité ethnique surnaturelle, par l’appartenance à la nation élue US, la 12ème tribu élue anglaise et bien sûr les élus canal historique. Tout le monde méprise ces valeurs là depuis l’antiquité ; même si ces gens ont les leviers cachés du pouvoir, leur pouvoir moral est négatif, répulsif, ils ne peuvent absolument pas définir un contenu moral.

      Celui qui possède le pouvoir moral c’est le Christ : c’est lui qui a définit le Bien comme étant l’inversion des valeurs : le Bien c’est de mettre en avant des derniers ie femmes, migrants, lgbt et par dessus tous les ayants droits du seul génocide surnaturellement supérieur de l’Histoire. Le Mal serait de promouvoir un Premier, ie un occidental blanc hétérosexuel, de dire qu’il est supérieur à un dernier-qui-est-premier en droit christique ; par exemple de dire que n’importe quelle petite pièce de Ravel est extraordinairement supérieure aux déchets post-modernes que sont l’immense majorité des raps : ça, ça serait absolument insupportable à entendre pour tout servant institutionnel du Bien christique.

      Évidemment les agents du Bien ne savent pas ce qu’ils font, (ne leur pardonnez pas :D) : ils n’ont aucune conscience qu’ils servent les instructions impératives du Christ car ils sont dans la non-pensée, ce sont juste des zombies de la supériorité prédatoire morale.

      Après bien sûr, l’inversion morale christique au pouvoir est instrumentalisée au dernier degré par ceux qui étaient déjà les maîtres de l’inversion bien longtemps avant Lui.

      On est en famille en fait, même si personne ne semble capable de le reconnaître.

       
  • #2209087

    La vie, c’est la lutte.
    Héraclite disait : "tout naît de la lutte et de la nécessité".

    Donc si on est faible, on se fait pousser, marcher sur les pieds, et, finalement, on disparaît.

    Avant, la France avait deux axes de force majeurs :
    - le catholicisme, lien moral fort, qui unissait la France et les Français ;
    - l’amour de la Patrie, de la France, que partageaient la quasi-totalité des Français.

    Aujourd’hui, nos ennemis ont réussi à quasiment détruire ces deux axes :
    - plus personne n’est catholique en France ;
    - aimer la France est, dans la doxa, une honte et une bêtise absolues.

    > Donc nous allons mourir.

    À moins que :
    - nous crachions tous en masse à la gueule de cette doxa, de ce politiquement correct ;
    - et que, également tous en masse, nous ne retrouvions le chemin de Jésus-Christ.

    > En somme la voie d’E&R et de KontreKulture.

    Sans cela, nous allons disparaître, on peut en être absolument sûrs et certains.

     

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  • Lorànt Deutsch est un historien de plateau télé. Il occuppe la place des Historiens légitimes qui n’ont plus accès aux médias pour non conformité aux exigences du Spectacle. Pour Lorànt Deutsch l’Histoire se résume à une collection d’anecdotes sans aucune cohérence d’ensemble récités à la façon d’un comique de scène. C’est un hobbyiste historio-maniaque qui amuse la gallerie avec ses historiettes carambar et participe ainsi à l’abaissement du niveau général. On est donc très loin de l’Histoire, et à des années-lumières évidemment de la méta-Histoire et de la contre-Histoire.

     

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    • Mais il faut de la place pour tout le monde et il est est nécessaire que tout le monde ne soit pas dans la radicalité la plus radicale, si je puis dire, pour y amener ceux qui ne peuvent la prendre telle quelle, directement.
      Laurent Deutch travaille à sa façon pour le bon sens et la France. Tout le monde n’est pas Alain Soral ou Marion Sigaut.

       
    • Toto : Pas d’accord du tout. Il a le mérite de raconter les petites histoires de l’Histoire au même titre que ceux qui ont parlé " des histoires d’amour " de l’Histoire et qui souvent ont modifié son sens. Donc, il vulgarise l’Histoire qui peut être repoussante pour peu qu’on ne parle que des traités sans se préoccuper des peuples et de leur ressenti. il a le mérite de raconter des tas d’anecdotes qui sont aussi intéressantes à savoir, ça " humanise " parfois les récits. donc, il sait qu’il n’est pas un historien de métier, , mais il a le droit d’aimer l’Histoire, et quand on sait que des vrais historiens de métier ne font que répéter ce qu’on leur dit depuis des lustres, il n’a rien à craindre, il a tout à fait sa place. En réalité, "on" lui reproche surtout d’avoir dit qu’il était catholique, royaliste et d’aimer la France. Ca, ça ne va pas dans les critères admis par la "kommandantur".

       
  • #2209722

    Un royaliste qui remet en cause la fanfiction nationale, ce garçon me plaît bien, enfin quelqu’un qui fait preuve de cohérence intellectuelle.

     

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