Déjà, ses yeux de semi-folle donnaient une indication assez précise sur la radicalité de ses positions : croyant dur comme fer à son bréviaire mondialiste, la pasionaria écolo a été dégagée manu militari du zingue en question.
Elle, c’est Aino Pennanen, la conseillère juridique du Parti des Verts de Finlande. Elle a refusé de s’asseoir, bloquant le décollage, pour protester contre la présence d’un clandestin en voie d’expulsion dans son pays. La police l’a escortée gentiment pour qu’elle arrête de faire son foin à bord et pour que l’avion parte normalement.
Le problème, c’est qu’Aino pensait que tous les passagers prendraient fait et cause pour le « réfugié » – donc pour elle – et se révolteraient contre les autorités expulseuses. Les choses ne se sont pas passées comme prévu : les passagers n’ont pas défendu le clandestin et ont laissé la police de l’aéroport d’Helsinki expulser la dingo. En diffusant sa vidéo d’indignée, elle pensait déclencher un mouvement de masse... Raté.
« De nombreux policiers m’ont escortée hors de l’avion et on m’a emmenée dans un fourgon de police. Ceci parce que le capitaine a refusé ma demande de ne pas décoller avant que la personne en instance d’expulsion ne soit retirée de l’avion », a-t-elle déclaré. (Source : lesobservateurs.ch)
On se demande pour qui elle se prend... Mais que voulez-vous, c’est le privilège des gauchistes que d’avoir raison sur tout, tout le temps et contre tout le monde.
L’expulsion d’Aino est ce qu’on appelle le retour au réel. Cependant, ne crions pas victoire : cette bonne grosse gifle sociale a dû aussitôt être attribuée au « fascisme » des autorités qui déportent des migrants par wagons entiers... Ainsi le logiciel gauchiste est-il inaltérable : il prévoit même des portes de sortie en cas d’impasse logique.
Conclusion : on ne peut rien pour cette jolie Finlandaise qui trahit sans le savoir son pays et ses proches. Disons que pour l’intelligence personnelle ou collective, elle est foutue. Et son logiciel l’emportera encore de nombreuses fois loin, très loin de la rationalité...
Il faudra – hélas – un choc – par exemple une agression par un migrant, sur elle ou l’un de ses proches – pour qu’elle comprenne dans quoi son faux humanisme l’a fourrée.
Il ne s’agit pas d’être ou de devenir cynique, de foutre tous les clandos dans le même sac et de le jeter à la mer, mais de rester lucide sur la situation : il n’y a aucun rapport entre les jeunes Portugais venus en France par centaines de milliers dans les années 60, fuyant la pauvreté de leurs villages et un régime politique dur, et la majorité des Africains qui débarquent sans papiers ni volonté forte de participer à la relève de notre pays.
À Paris, on voit le résultat...
1/08,20h=>ls riverains de la place de #lachapelle à #paris18 ne savent plus ce que c'est que la tranquillité
Ils doivent éviter les combats aux couteaux et aux projectiles entre communautés afghanes,maghrébines et africaines le soir pour regagner leur domicile
cc @mairie18paris pic.twitter.com/uJy7iPADBY
— Jule75018 (@jule7518) 2 août 2018
Le pire, c’est qu’Anne Hidalgo appelle aujourd’hui l’État à l’aide, alors qu’elle a appelé de ses vœux – il est vrai soufflés par ses amis israéliens – l’arrivée de ces bandes de destructeurs !
- Paris, le 27 juin, évacuation de la colline au crack porte de la Chapelle
Écoutez la pleurniche du gauchiste Bruno Julliard, premier adjoint de l’Anne de Paris (Le Parisien du 26 juillet 2018) :
« Cela dure depuis déjà trop longtemps. La prise en charge sanitaire et sociale complète des toxicomanes est nécessair. Paris démultiplie les initiatives et renforce ses moyens, bien plus qu’elle n’est obligée de le faire : il faut que l’État s’implique. La Ville ne peut agir seule. Il est étonnant de constater que nous devions systématiquement interpeller plusieurs fois l’État avant que chacun prenne ses responsabilités. Il y a déjà eu trois mois de pourrissement inacceptable avant que les migrants du Millénaire soient mis à l’abri...Mais nous n’avons pas trois mois devant nous, il faut agir tout de suite et penser les choses de façon pérenne pour garantir l’ordre public, la sécurité des riverains. »
Morts de rire, les bobos parigots aux commandes découvrent que les Parisiens en ont marre des camés et des migrants et qu’ils réclament de la sécurité et de la propreté ! Mais ne vous gaussez pas, si ces Aino Pennanen de l’Hôtel de ville bougent leur cul aujourd’hui en hurlant au loup, c’est bien parce que leur réélection est compromise par le bordel ambiant. Qu’ils ont évidemment contribuer à mettre.
Et vous savez quoi ? Collomb, sur ordre de Macron qui cherche à expulser Hidalgo et sa bande de dangereux incompétents afin de mettre un maire macroniste à la place, va laisser la situation pourrir jusqu’à 2020, date des prochaines municipales.
La guerre Hidalgo/Macron fera encore des dégâts... Et pour les Parisiens dont les impôts locaux augmentent socialistement, il y aura encore des rats, des migrants, des Roms et des enfants des rues dans la Ville Lumière !