Le titre, simplement factuel, résume tout : nous vivons sous un régime devenu fou à force d’être fermé aux besoins et aux aspirations des Français. Pour Macron et sa clique, le peuple est devenu une bête dangereuse à mater dès le moindre signe de rechignement, de mécontentement, d’insoumission.
La fête de la Musique, qui devait être un moment national de convivialité et de détente (on pense ce qu’on veut de l’invention de Jack Lang), est devenue le top départ de la chasse aux regroupements de plus de dix personnes. Comment en est-on arrivés là ? Comment peut-on accepter ça ?
Le peuple français est une grenouille chauffée à blanc
Tout le monde connaît l’histoire de la grenouille qu’on ébouillante doucement dans l’eau froide de la casserole pour éviter qu’elle saute d’une eau déjà trop chaude : ce qui arrive aux Français aujourd’hui, c’est exactement ça. Progressivement, tout en douceur mais sans faiblir, le régime a fait monter la température de la répression, de la punition, de l’humiliation, jusqu’à en arriver à une situation comme celle du 21 juin 2021 : des policiers qui interviennent parce que « plus de dix personnes » regardent un concert de musique japonaise, près de la Sorbonne, à Paris. Même les touristes, heureux de tomber sur ce petit concert classique de rue, étaient choqués.
C’est ça, la France ? C’est ça, la France sous Macron ?
Les grands tubes que sont YouTube et Dailymotion ont curieusement effacé la plupart des images discordantes de la nuit, heureusement, il reste Twitter pour montrer un peu la réalité.
France 3 Régions montre les images de la Fête de la répression. RT France relève partout où ça a pété : à Paris, Annecy et Nantes.
Les concerts sur la voie publique interdits, sauf à l’Élysée
Pendant que les jeunes se faisaient courser par 2 300 policiers dans les rues de Paris, une scène surréaliste pour une « fête », le petit prince des ténèbres s’offrait un concert de Jean-Michel Jarre devant 300 personnes, dans la cour de l’Élysée. Bien sûr, les jeunes tabassés et coursés n’étaient pas invités, faute de place et de carton. L’oligarchie, c’est pas pour les chiens !
« La dette, malheureusement, n’est pas que l’apanage du ministre des Finances, c’est la dette de tous les Français, et c’est bien le problème : c’est une dette qu’il faudra rembourser et que nous commencerons à rembourser lorsque la situation économique sera revenue à la normale. »
Heureusement, pour tous ces gueux qui auront du mal à trouver un vrai boulot et qui devront cravacher de job en job jusqu’à 68 ou 70 ans, sans oublier la dette à rembourser, c’est Bruno Le Maire qui vient de le rappeler (il est le ministre de l’employé de chez Rothschild placé sur le fauteuil présidentiel, sachant que c’est principalement à la Banque que nous, Français, allons devoir rembourser la dette, avec ses intérêts, évidement), il reste la vidéo !
Bonne fête à tous, les gueux ! Et bonjour à la grenouille !