On n’a pas l’habitude de mettre du franglais et encore moins de l’anglais en titre, mais là, l’occasion est historique : Donald Trump, le candidat fasciste selon nos médias et selon Kamala, vient de remporter la 47e élection présidentielle américaine. Si on ne lui tire pas dessus d’ici-là, il prendra les rênes du pays en janvier 2025. Les démocrates pourront alors faire leur visite du Capitole...
Less talk, more rock
Il y en a un qui voulait très fort que Kamala passe, c’est Zelensky. Pour lui, les carottes ne sont pas cuites, mais il va falloir qu’il soit encore meilleur commercial qu’avant pour arracher 60 milliards de dollars à Trump dans deux mois. En attendant, il peut se passer beaucoup de choses. Averti ou pas des polls, les sondages US, le Premier ministre israélien a, la veille des résultats, limogé son ministre de la Défense, le taré Yoav Gallant. Une sorte de représaille(s) préventive par rapport à la volonté du candidat Trump d’obtenir une paix au Proche-Orient ?
Les cartes sont rebattues, clament en chœur les médias mainstream français, qui ont tout fait pour que leurs lecteurs pensent que Kamala avait une chance. Or, elle n’en avait aucune : pas parce qu’elle est une femme, qui plus est noire, ou presque, mais parce qu’elle a été la vice-présidente fantomatique d’un président lui-même fantomatique, deux marionnettes grotesques manipulées par un pouvoir pas si profond que ça, avec un Obama haineux aux manettes. Qui n’aura pas osé présenter sa « femme », pour les raisons que l’on sait, ici.
Quand Le Monde tentait de faire passer Kamala pour subtile
Un petit coucou en passant à nos confrères de Libé, qui, à 6h10, persistaient à faire espérer leurs troupes...
Quand les électeurs gauchistes se réveilleront-ils face à ceux qui les endorment avec des fables ?
Les États-Unis sont engagés dans deux guerres injustes, nous verrons maintenant si Trump sait ou peut y mettre un terme. Les Israéliens ont été trop loin dans le massacre, qui a viré au génocide des Palestiniens : pour eux, plus rien ne sera comme avant, la Shoah a été effacée par le 8 octobre et les jours suivants.
Du côté de l’Europe, les Ukrainiens ont aussi été loin dans le massacre, mais de leur propre peuple, poussés qu’ils étaient par la perfide organisation atlantiste, c’est-à-dire l’entité anglo-américaine, avec sa putain européenne en guise de porte-monnaie. Le couple Scholz-Leyen, objectivement à la tête de l’Union européenne, a à la fois trahi les Allemands et les Européens, en choisissant le mauvais cheval, celui de la guerre fratricide et suicidaire contre la Russie.
Aujourd’hui, l’Europe se réveille avec la gueule de bois, en ayant tout misé sur les démocrates, c’est-à-dire la guerre, le woke et le vaccin. Ce qu’il faut, pour tenir tête à l’Amérique et à la Chine, c’est tout simplement un Trump européen. Et ce ne sera pas Macron, même si notre président est un caméléon, un reptile trans-formable... La preuve, son tweet à 8h54 !
« Félicitations président Donald Trump. Prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années. Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité. »
Le discours de victoire de Trump sous-titré en français
« Je remercie les électeurs de m’avoir élu 47e président »
« Nous allons aider notre pays à guérir »
« Nous avons écrit l’Histoire »
« C’est une magnifique victoire pour le peuple américain. Cela nous permettra de rendre à nouveau l’Amérique grande. L’Amérique nous a donné un mandat sans précédent et puissant »
« Nous avons repris le contrôle du Sénat, c’est génial. »
Zelensky en mode lèche-cul
« Je me souviens de notre grande rencontre avec le président Trump en septembre dernier, lorsque nous avons discuté en détail du partenariat stratégique entre l’Ukraine et les États-Unis, du plan de victoire et des moyens de mettre fin à l’agression russe contre l’Ukraine. J’apprécie l’engagement du président Trump en faveur de l’approche de la “paix par la force” dans les affaires mondiales. C’est exactement le principe qui peut concrètement rapprocher l’Ukraine d’une paix juste. Je suis impatient de féliciter personnellement le président Trump et de discuter des moyens de renforcer le partenariat stratégique de l’Ukraine avec les États-Unis. »