De la prise en otages de la communauté juive française par ses pseudo-représentants...
« Tous les juifs français ne se sentent pas représentés par le CRIF » (David Chemla, secrétaire du mouvement européen Jcall, qui milite pour la paix)
Les juifs de France oseront-ils un jour envoyer valdinguer ces dangereux exploiteurs du communautarisme qui isolent les juifs de France ?
En tous les cas, avec cette histoire de Jérusalem capitale d’un État fébrile, les masques tombent. Le président d’une minuscule association sans aucun poids populaire se permet d’indiquer la voie à suivre au président de la République !
Il n’y a qu’en France occupée que l’on voit ça.
Après la décision prise par Donald Trump de reconnaître officiellement Jérusalem comme capitale d’Israël, le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) et le Consistoire appellent Emmanuel Macron à faire de même : reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et y transférer l’ambassade de France. Une déclaration qui ne fait pas l’unanimité au sein de la communauté juive.
Le CRIF veut « rétablir la vérité historique »
Le président du CRIF, lui, assume :
« Reconnaître Jérusalem comme capitale, c’est une demande que les institutions juives réitèrent depuis des années au président de la République. Rien de nouveau, donc, » répète Francis Kalifat à Europe 1. « C’est rétablir la vérité historique. L’ensemble du pouvoir, les tribunaux, toute la vie politique, se trouvent à Jérusalem. C’est de fait la capitale. Ça fait 3 000 ans que les juifs se tournent vers Jérusalem pour prier », soutient-il.
La communauté juive divisée sur la méthode
Pour le président du Crif, cette revendication fait consensus. Pourtant, après ce communiqué demandant à Emmanuel Macron de suivre la même démarche que Donald Trump, les téléphones ont chauffé du côté de la communauté. Des associations regrettent de ne pas avoir été consultées. La déclaration est jugée comme « précipitée ».