Chaque jour, le pouvoir politico-médical (les néolibéraux qui ont mis la main sur l’État et le Big Pharma qui corrompt ces déshumanistes) nous sortent une marionnette qui menace les Français des pires punitions s’ils ne se font pas vacciner en masse.
Naturellement, les menaces de ces sociopathes renforcent notre conviction de ne pas aller nous faire déglinguer le métabolisme par la coalition des Folamour et des Mengele incarnés par l’axe maléfique Gates-Soros-Macron-Fauci. Finalement, à l’image de ses congénères socialement dégénérés, la Ducros agit comme un répulsif.
Écoutez la petite mère fouettarde s’énerver :
« Ça suffit, y a pas des milliers de réponses à donner, y a plus d’excuses à donner, la seule réponse c’est le vaccin, le vaccin, et je vais le dire une troisième fois ! »
▶️ #Covid19 – « Ça suffit, il n’y a pas des milliers de réponse à donner, il n’y a plus d’excuse à donner, la seule réponse c’est le vaccin »@Emma_Ducros#24hPujadas #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/1ptm938kE8
— 24h Pujadas (@24hPujadas) June 29, 2021
On pourrait croire que la Ducros est une sommité de la médecine, à l’égal de Raoult ou McCullough, mais pas du tout : c’est juste une journaliste chargée, selon Wikipédia, « des questions des transports, de l’agriculture et de l’alimentation ». Mais alors, qu’est-ce qu’elle fout dans une émission qui parle de santé ? D’où tient-elle ses informations, ou plutôt ses menaces ? Quel rapport avec l’agriculture, l’alimentation et les transports ?
Ah, on apprend qu’elle a été pendant 10 ans journaliste financière, on comprend mieux le rapport entre son pétage de plombs et le vaccin : il s’agit de faire gagner encore plus d’argent à Bancel & Bourla, qui sont déjà milliardaires. Mais vous le savez, l’argent appelle l’argent, et quand on en a beaucoup, on peut se payer des journalistes, mieux, un média !
Attendez, la réalité est encore pire que ce qu’on pensait : Libé a déterminé que la Ducros avait touché de l’argent de groupes agroalimentaires, alors qu’elle fait des articles sur l’alimentation ! De là à penser qu’elle aurait touché du Big Pharma, une corruption en appelant une autre... C’est un pas que nous ne franchirons pas, car une corruption suffit. On ne résiste évidemment pas à citer tout le paragraphe :
Libération révèle notamment qu’elle a touché de l’argent pour organiser des débats, notamment en février 2019, lors de sa participation à la réunion annuelle de l’Union des industries de la protection des plantes (UIPP), qualifiée de « lobby national des pesticides » par Checknews. Emmanuelle Ducros se défend d’avoir été rémunérée au cours de cette journée. Dans un échange audio réalisé début mars entre l’UIPP et une personne se faisant passer pour Emmanuelle Ducros, celle-ci aurait réclamé un devis d’un montant de 2 000 à 3 000 € auprès de l’UIPP pour sa prestation, selon des sources industrielles qui ont raconté le contenu de l’échange à CheckNews. À la suite de cet enregistrement, Emmanuelle Ducros porte plainte pour usurpation d’identité.
Après la parution de l’article de Libération, le patron de l’Opinion, Nicolas Beytout, interpelle Laurent Joffrin, directeur général de la rédaction de Libération, en déplorant des méthodes « indignes ». Laurent Joffrin lui répond en argumentant que « la journaliste concernée n’a demandé ni rectificatif ni droit de réponse sur les faits rapportés ».
Papier dithyrambique sur le "fact-checking" pro-glyphosate de la journaliste de @lopinion_fr @emma_ducros dans @LePoint : bizarre qu'il oublie de parler de ses prestations d'animatrice de la réunion annuelle du lobby de l'industrie des pesticides ! #lobbying https://t.co/3gTCxwSXPc
— Karl Laske (@karl_laske) June 13, 2019
Étonnant, non ??? https://t.co/NwalndXP3i
— Elise Lucet (@EliseLucet) June 16, 2019
Mieux, la Ducros a utilisé un faux compte Twitter pour s’attaquer au journaliste de Libé qui a sorti son affaire de corruption. Et c’est la même Ducros qui insulte les Français soucieux de leur santé plutôt que de la santé du Big Pharma sur LCI. En fait, la société des journalistes de LCI aurait dû s’élever contre cette personne à la moralité douteuse. Comme dirait Soral, un journaliste c’est soit un chômeur soit une personne de petite vertu.
Décidément, le portrait de Wikipédia est sans appel : dans l’onglet Récompenses, on apprend ça :
En 2018, Emmanuelle Ducros est lauréate du prix Citi - Columbia University de New York de l’excellence journalistique.
En 2021, elle est finaliste du Prix du meilleur article financier coattribué par la Banque de France, l’AJEF et Lire la Société.
Columbia, la fabrique d’agents du Système... Tout est cohérent ! C’est donc dans un grand éclat de rire qu’on souhaite bonne chance à la Ducros sur les réseaux sociaux, qui vont se faire un plaisir d’épier le ou les comptes Twitter qui ne manqueront pas de surgir du néant pour la défendre. Nous, sur E&R, on est pauvres. Mais on préfère la pauvreté à cet entrelacs de magouilles.
Bonus : le sens de la confraternité chez Ducros
Cocasse ! Ce n'était pas un ménage mais une participation à une table ronde. Les entreprises du secteur, lassées du journalisme de caniveau que vous incarnez, voulaient rencontrer un journaliste honnête !
— Emmanuelle Ducros (@emma_ducros) June 14, 2019
Quelle belle prise ! On sent qu’on n’a pas fini de se marrer, avec la Ducros.