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ÉducNat pédophile : sept associations conservatrices saisissent le Conseil d’État

Pour Aurore Bergé, qui n’est pas la fille de Pierre Bergé, mais qui a une vision des choses troublante, l’éducation à la sexualité à l’école est une « nécessité absolue ». Visiblement, le sexe passe avant l’apprentissage.

Extrême-droitiser la protection des enfants : malin !

C’est sûr qu’en ces temps de paupérisation, d’effondrement moral du pouvoir et de conflits tous azimuts, la priorité est d’éduquer les enfants à devenir des acteurs sexuels de premier plan.

Le néolibéralisme – ou capitalisme financier – ôte une à une leurs libertés aux citoyens, qu’il remplace par la liberté sexuelle. C’est la transition sociétale actuelle, qui nous vient tout droit de l’exécutif. Et le plut tôt, visiblement, sera le mieux.

On insiste sur ce sujet, qui n’est évidemment pas accessoire : la presse, qui joue le jeu du progressisme à fond, a quand même des scrupules à défendre l’enseignement de la masturbation ou de la sodomie à des enfants de 6 ans. Car même les journalistes mainstream ont des enfants. Et là, ça achoppe.

Dans le titre de l’article de Sud-Ouest, on sent bien que le qualificatif « conservatrice » signifie rétrograde, catholique, voire, complotiste. Ainsi, la défense des enfants face à l’offensive woke, qui cache une offensive pédophile, se retourne et devient de la lutte contre le complotisme.

Pourtant, du terrain, des informations glaçantes commencent à remonter. Les journalistes aux ordres arrivent malgré tout à trouver des parents qui ne voient pas le mal, histoire d’étouffer la révolte qui gronde.

 

 

On se demande ce que les instituteurs et autres enseignants ont dans la tête pour appliquer ces programmes immondes : mais ce sont de bons petits soldats, on l’a vérifié lors de la terreur covidiste en 2020-2021, quand les enfants dans les écoles n’avaient plus le droit de jouer, retenus qu’ils étaient dans des séparateurs à la craie, la prison pendant la récré.

Là aussi, il faudra faire la liste de ceux qui ont décidé cette ignominie, qui a été avalée tout cru par le gauchisme servile – ou alors sadique – d’une majorité du corps enseignant. On n’a rien contre les profs, mais c’était là lune occasion unique de s’opposer réellement au pouvoir, devenu une tyrannie.

Les Cottineau de la République se frottent les mains

 

Sur ce thread, Séverine détaille le contenu du projet EVARS.

 

 
La Rédaction d’E&R

 


 

Éducation à la sexualité : sept associations conservatrices saisissent le Conseil d’État

Sept associations conservatrices et 300 parents d’élèves ont annoncé ce vendredi avoir présenté un recours contre le programme d’éducation à la vie affective et sexuelle (Evars) devant le Conseil d’État pour demander son annulation.

 

Ces organisations – Juristes pour l’Enfance, SOS Éducation, Le Syndicat de la Famille, les Mamans Louves, Au Coeur de l’humain, Enfance et Compagnie, Famille et Liberté – les parents d’élèves déplorent notamment que le programme ne « permette pas d’informer les parents » à l’avance des dates, contenus des séances, supports utilisés ou associations ou institutions partenaires.

Contesté par une partie de la droite et les milieux conservateurs, le programme Evars a été officiellement publié début février, après des concertations depuis mars 2024. Prévu pour s’appliquer à partir de septembre 2025, il prévoit « au moins trois séances annuelles spécifiques obligatoires » dans l’ensemble des écoles, collèges et lycées, publics comme privés sous contrat. Ces séances étaient jusque-là théoriquement imposées par la loi depuis 2001, mais de fait peu réalisées. Le programme publié par le ministère prévoit un apprentissage en plusieurs étapes : une éducation à la vie affective et relationnelle pour l’école maternelle et l’école élémentaire, et une éducation à la vie affective et relationnelle et à la sexualité pour le collège et le lycée.

« Idéologie du genre »

Selon les associations requérantes, le programme constitue « l’appropriation par l’État de la transmission de l’éducation sexuelle » tout en banalisant la sexualité précoce et (une) sexualité déconnectée de toute affectivité dès la 4e ».

Ils affirment aussi que « l’idéologie du genre est bel et bien diffusée dans le programme », qui d’après eux représente une atteinte à « la primauté éducative des parents et à la vie privée », explique Olivia Sarton, directrice juridique de Juristes pour l’enfance.

Une procédure de référé suspensive devrait être examinée courant mars et ultérieurement pour la procédure d’examen du programme sur le fond.

Lire l’article entier sur sudouest.fr

 

Éducation à la sexualité à l’école : c’est une « nécessité absolue », dit Aurore Bergé

L’éducation à la sexualité, qui a fait l’objet d’une fronde conservatrice sous l’ancien gouvernement Barnier, est une « nécessité absolue », a déclaré mardi la nouvelle ministre chargée de l’Égalité femmes-hommes Aurore Bergé.

« J’ai toujours dit […] qu’on avait une nécessité absolue d’avoir une éducation à la vie affective et à la sexualité dès le plus jeune âge. (...)
En fonction de la maturité des enfants, on n’aborde pas les mêmes choses à la maternelle et au lycée, pour des raisons évidentes. (...)
Dès la maternelle, on peut expliquer à nos tout petits-enfants que personne n’a le droit de toucher leur corps, que personne n’a le droit de leur faire du mal.
(...) Ce que veut dire “dire oui”, ce que veut dire “dire non”, ça, c’est une nécessité absolue quand on parle du consentement, ça veut dire apprendre le respect, ça veut dire apprendre l’égalité, l’égalité entre les filles et les garçons, le respect vis-à-vis de toutes les familles qui existent dans notre pays tout simplement, qu’elles soient hétérosexuelles, qu’elles soient homoparentales, et ça, c’est une nécessité encore une fois ».

[...]

Aurore Bergé assurant que ce sujet serait « évidemment une priorité ».

L’éducation à la sexualité fait depuis plusieurs années l’objet d’une offensive d’organisations conservatrices qui a gagné en vigueur en novembre avec les déclarations d’Alexandre Portier, alors ministre délégué à la Réussite scolaire. Ce membre de l’ex-gouvernement Barnier avait notamment déclaré que le projet de programme n’était « en l’état pas acceptable ».

Lire l’article entier sur sudouest.fr

L’esprit Bergé à l’école

 






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10 Commentaires

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  • #3499224
    Le 26 février à 14:21 par Yannick de la croix de Chavaux
    ÉducNat pédophile : sept associations conservatrices saisissent le Conseil (...)

    Le programme de ces pervers sera surtout appliqué dans les écoles où les blancs sont majoritaire.

     

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  • Comme ils sont en perdition, ils vont tout faire pour accélérer leur calendrier et ... leur chute !!!

     

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  • Qu’est-ce qui vous fait dire qu’Aurore Bergé n’a pas de rapport avec Pierre Bergé ?
    Toujours laissé plané le doute... soit utiliser les armes de l’adversaire : l’amalgame par la proximité idéologique !

     

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  • "On se demande ce que les instituteurs et autres enseignants ont dans la tête pour appliquer ces programmes immondes : mais ce sont de bons petits soldats" ah ça des larbins pareils, malveillants à dégueuler.

     

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  • Cette Aurore Bergé a fait sciences pô, puis travaillé dans des agences de communication comme Publicis, elle est entrée en politique par son mariage en 2009 avec le député socialiste Nicolas Bay (qui l’a plaquée depuis pour Agnès Pannier-Runacher) en prenant comme témoins de mariage Roselyne Bachelot qui était ministre de la Santé.

    Elle n’a donc aucune compétence pour donner un avis sur l’éducation et la santé des enfants, elle n’a pas de formation ni d’expérience comme enseignante ou pédagogue, ni comme médecin, ni en pédiatre, ni comme psychologue, ni comme philosophe ou religieuse, elle n’a jamais pris de responsabilité pour s’occuper d’enfants ou d’adolescents, ou même d’une famille puisqu’elle vient d’avoir son premier enfant à 37 ans il y a deux ans et qu’elle n’en aura pas d’autre. Son avis ne vaut rien.

     

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  • legisfrance/
    absentéisme
    Si vous continuez, après un avertissement donné par le Dasen : Dasen : Directeur académique des services de l’éducation nationale, à ne pas imposer à votre enfant l’obligation d’assiduité scolaire et si vous ne justifiez pas l’absence de votre enfant ou si en donnez des motifs inexacts, vous risquez une amende de 750 €.

    Si ces absences injustifiées compromettent l’éducation de votre enfant ( quid des présences comprometantes ? ), vous risquez 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ( bref vous risquez des emmerdes maousses et comaks avec placements judiciaires à la clef )

    legisfrance/
    l’école a la maison
    L’instruction à domicile encore appelée “école à la maison” est une possibilité offerte aux familles, mais depuis la loi “confortant les principes de la République” qui a été promulguée le 24 août 2021, les conditions de la scolarisation à domicile sont durcies
    État de santé de l’enfant (motif 1a) ;
    Situation de handicap de l’enfant (motif 1b) ;
    Pratique d’activités sportives ou artistiques intensives de l’enfant (motif 2) ;
    Itinérance de la famille en France (motif 3a) ;
    Éloignement géographique de tout établissement scolaire public (motif 3b) ;
    Existence d’une situation propre à l’enfant motivant le projet éducatif (motif 4).

    veuillez noter l’arbitraire : Existence d’une situation propre à l’enfant motivant le projet éducatif , a motifs arbitraires, refus arbitraires

    la republique a donc des principes qu’elle érige en vertus ( jamais l’inverse), car ou se trouve la vertu devant de tels faits relatés par cet article

     

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  • désolé d’avoir le cerveau lent , mais là , je n’arrive plus à suivre ! quel est l’intérêt ? concrètement ? quel intérêt on nos maitres d’ hypersexualisé , de pervertir nos enfants le plus jeune possible ? dans quel but ? si quelqu’un pouvait m’éclairer ... merci d’avance.

     

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  • Pour Aurore Bergé...’’ l’éducation à la sexualité à l’école est une « nécessité absolue’’
    Qui la paie sous-main pour détruire le pays où elle s’incruste, malveillante, malfaisante sociopathe sans scrupule ? Bonniche toutes mains. Ne touche pas aux enfants !

     

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  • Parlez d’éducation sans mettre une seul fois le mot
    "écran", ou "internet", c’est pas mal.

    Vous pouvez accusez l’éducation nationale tant que vous voulez, ca ne change rien aux faits, les enfants consultent de la pornographie,
    On voit bien que c’est toute la société qui est défaillante, c’est bien pratique
    de faire porter le chapeau à l’EducNat qui pervertirait les enfants.

     

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