Pour Aurore Bergé, qui n’est pas la fille de Pierre Bergé, mais qui a une vision des choses troublante, l’éducation à la sexualité à l’école est une « nécessité absolue ». Visiblement, le sexe passe avant l’apprentissage.
Extrême-droitiser la protection des enfants : malin !
C’est sûr qu’en ces temps de paupérisation, d’effondrement moral du pouvoir et de conflits tous azimuts, la priorité est d’éduquer les enfants à devenir des acteurs sexuels de premier plan.
Le néolibéralisme – ou capitalisme financier – ôte une à une leurs libertés aux citoyens, qu’il remplace par la liberté sexuelle. C’est la transition sociétale actuelle, qui nous vient tout droit de l’exécutif. Et le plut tôt, visiblement, sera le mieux.
On insiste sur ce sujet, qui n’est évidemment pas accessoire : la presse, qui joue le jeu du progressisme à fond, a quand même des scrupules à défendre l’enseignement de la masturbation ou de la sodomie à des enfants de 6 ans. Car même les journalistes mainstream ont des enfants. Et là, ça achoppe.
Dans le titre de l’article de Sud-Ouest, on sent bien que le qualificatif « conservatrice » signifie rétrograde, catholique, voire, complotiste. Ainsi, la défense des enfants face à l’offensive woke, qui cache une offensive pédophile, se retourne et devient de la lutte contre le complotisme.
Pourtant, du terrain, des informations glaçantes commencent à remonter. Les journalistes aux ordres arrivent malgré tout à trouver des parents qui ne voient pas le mal, histoire d’étouffer la révolte qui gronde.
Pour tous ceux qui ne croient pas à ce qui se passe dans les écoles, dès la maternelle en matière d'éducation et de pratiques sexuelles entre enfants, je vous conseille d'écouter ce court reportage diffusé dans un média maistream.#pedocriminalite #evars pic.twitter.com/i8932TwLHK
— sergiodde (@sergiodde) February 25, 2025
On se demande ce que les instituteurs et autres enseignants ont dans la tête pour appliquer ces programmes immondes : mais ce sont de bons petits soldats, on l’a vérifié lors de la terreur covidiste en 2020-2021, quand les enfants dans les écoles n’avaient plus le droit de jouer, retenus qu’ils étaient dans des séparateurs à la craie, la prison pendant la récré.
Là aussi, il faudra faire la liste de ceux qui ont décidé cette ignominie, qui a été avalée tout cru par le gauchisme servile – ou alors sadique – d’une majorité du corps enseignant. On n’a rien contre les profs, mais c’était là lune occasion unique de s’opposer réellement au pouvoir, devenu une tyrannie.
Les Cottineau de la République se frottent les mains
"Des images irregardables" : comment les enquêteurs ont démantelé un vaste réseau pédocriminel en Loire-Atlantique dirigé par l'ex-candidat LFI Pierre-Alain Cottineaupic.twitter.com/ikeHegOhBt
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) February 24, 2025
Sur ce thread, Séverine détaille le contenu du projet EVARS.
1⃣ J'ai étudié attentivement le programme d'éducation à la sexualité publié le 6 février dernier (https://t.co/LhAZznEoUc)
Je vous explique pourquoi les #ParentsVigilants s'opposent à ce programme.
(THREAD) pic.twitter.com/3pH80DCYQ5
— Séverine DUMINY (@SeverineDuminy) February 23, 2025
Éducation à la sexualité : sept associations conservatrices saisissent le Conseil d’État
Sept associations conservatrices et 300 parents d’élèves ont annoncé ce vendredi avoir présenté un recours contre le programme d’éducation à la vie affective et sexuelle (Evars) devant le Conseil d’État pour demander son annulation.
Ces organisations – Juristes pour l’Enfance, SOS Éducation, Le Syndicat de la Famille, les Mamans Louves, Au Coeur de l’humain, Enfance et Compagnie, Famille et Liberté – les parents d’élèves déplorent notamment que le programme ne « permette pas d’informer les parents » à l’avance des dates, contenus des séances, supports utilisés ou associations ou institutions partenaires.
Contesté par une partie de la droite et les milieux conservateurs, le programme Evars a été officiellement publié début février, après des concertations depuis mars 2024. Prévu pour s’appliquer à partir de septembre 2025, il prévoit « au moins trois séances annuelles spécifiques obligatoires » dans l’ensemble des écoles, collèges et lycées, publics comme privés sous contrat. Ces séances étaient jusque-là théoriquement imposées par la loi depuis 2001, mais de fait peu réalisées. Le programme publié par le ministère prévoit un apprentissage en plusieurs étapes : une éducation à la vie affective et relationnelle pour l’école maternelle et l’école élémentaire, et une éducation à la vie affective et relationnelle et à la sexualité pour le collège et le lycée.
« Idéologie du genre »
Selon les associations requérantes, le programme constitue « l’appropriation par l’État de la transmission de l’éducation sexuelle » tout en banalisant la sexualité précoce et (une) sexualité déconnectée de toute affectivité dès la 4e ».
Ils affirment aussi que « l’idéologie du genre est bel et bien diffusée dans le programme », qui d’après eux représente une atteinte à « la primauté éducative des parents et à la vie privée », explique Olivia Sarton, directrice juridique de Juristes pour l’enfance.
Une procédure de référé suspensive devrait être examinée courant mars et ultérieurement pour la procédure d’examen du programme sur le fond.
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Éducation à la sexualité à l’école : c’est une « nécessité absolue », dit Aurore Bergé
L’éducation à la sexualité, qui a fait l’objet d’une fronde conservatrice sous l’ancien gouvernement Barnier, est une « nécessité absolue », a déclaré mardi la nouvelle ministre chargée de l’Égalité femmes-hommes Aurore Bergé.
« J’ai toujours dit […] qu’on avait une nécessité absolue d’avoir une éducation à la vie affective et à la sexualité dès le plus jeune âge. (...)
En fonction de la maturité des enfants, on n’aborde pas les mêmes choses à la maternelle et au lycée, pour des raisons évidentes. (...)
Dès la maternelle, on peut expliquer à nos tout petits-enfants que personne n’a le droit de toucher leur corps, que personne n’a le droit de leur faire du mal.
(...) Ce que veut dire “dire oui”, ce que veut dire “dire non”, ça, c’est une nécessité absolue quand on parle du consentement, ça veut dire apprendre le respect, ça veut dire apprendre l’égalité, l’égalité entre les filles et les garçons, le respect vis-à-vis de toutes les familles qui existent dans notre pays tout simplement, qu’elles soient hétérosexuelles, qu’elles soient homoparentales, et ça, c’est une nécessité encore une fois ».
[...]
Aurore Bergé assurant que ce sujet serait « évidemment une priorité ».
L’éducation à la sexualité fait depuis plusieurs années l’objet d’une offensive d’organisations conservatrices qui a gagné en vigueur en novembre avec les déclarations d’Alexandre Portier, alors ministre délégué à la Réussite scolaire. Ce membre de l’ex-gouvernement Barnier avait notamment déclaré que le projet de programme n’était « en l’état pas acceptable ».
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