« Les hommes de terrain pour empêcher la guerre civile » : présentation de la vidéo par Lounès Darbois.
Pourquoi faut-il préférer la réconciliation à la violence ? C’est parce que cette dernière option mène à la guerre civile. Les hommes de terrain, patriotes de tous bords, ont en général l’expérience de la violence physique, et pour cette raison ils souhaitent l’éviter. Les hommes de terrain, les charbonneurs, les bonhommes, les rajeuls, les vaillants, eux seuls, ont intérêt à la paix. Au contraire, ce sont les gnomes embusqués dans quelque embrasure, pilotant des caméras depuis un poste de contrôle capitonné, qui eux ont intérêt au chaos déclenché par attentats sous faux drapeau et réactions reptiliennes calculées à l’avance.
Toute la paix du pays reposera bientôt sur les hommes comme l’auditeur que nous entendons dans l’extrait ci-dessous, les hommes de paix, les vrais patriotes de tous bords et communautés, et ces hommes de paix se reconnaîtront entre eux pour avoir travaillé à pacifier leurs communautés respectives longtemps avant les événements.
Bassem s’est fait connaître par des appels à la raison dès les attentats de novembre 2015, et ses auditeurs reconnaissent en lui le grand frère issu du milieu ouvrier lyonnais, l’homme de terrain dont les mots sont pesés par l’expérience concrète, et ceci avec l’humour toujours prêt, bor* de Bordeaux !
Qui que nous soyons en France, pourquoi en nous affrontant (ce qu’à Dieu ne plaise), ferions-nous le régal de toutes les vermines sous faux drapeau, nos oppresseurs, qui eux ne viennent jamais sur le terrain ?
Demain le pays aura besoin d’un Bassem par communauté pour s’asseoir à la table d’un nouveau CNR, sous une bannière marquée « Réconciliation nationale ».
Là où est la haine, faites que je mette la Charité. (Saint François d’Assise)