Naulleau antisémite !!! Naulleau au bûcher

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Bonjour,
j’aimerais soumettre l’idée de traduire de l’anglais et de publier l’ouvrage de Frank Kitson, qui concerne (entre autres) les opérations sous faux-drapeau. Dans gouverner par le chaos, il en est dit :
"Ce livre aux tirages confidentiels n’a jamais été traduit dans notre langue(...). De fait, la diffusion à un large public de ce texte pourrait à elle seule faire basculer des équilibres géopolitiques entiers"
Scriptoblog : http://www.scriptoblog.com/index.ph...

Je sais que c’est une entreprise difficile, mais j’espère que cette idée sera examinée.
Cordialement

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Dévoré la moitié hier soir, un régal.
Soral développe avec concision et punch ses analyses habituelles, provocantes, parfois salutairement choquantes, et souvent d’une façon très humoristique, et met une claque à un Naulleau encore plus dépassé, écrasé, que je ne l’aurai pensé, et qui, pour donner l’impression d’être encore là, fait le poète en multipliant les petites références littéraires (moi aussi je suis cultivé), sans jamais rentrer dans le vif du sujet (veut pas se griller complet le mec), et ne maîtrisant pas du tout les sujets évoqués par Soral (socio, éco, philo), se contentant, malgré quelques éclairs de lucidité, de se retrancher dans les idées prêtes à consommer du gauchiste idéaliste bobo médiatique de base. Son petit côté arrogant et piquant (sympathique quand il fait le critique et qu’il s’en prend aux baudruches de notre époque) s’en trouve un peu ridiculisé.
Bref, pas un réel match, plutôt une démo de type Dream Team 1992 VS équipe de D2 française, et on se demande pourquoi Naulleau a accepté ce combat truqué ? En devait-il une à Soral ? Besoin d’un petit billet ? Ou réelle volonté de dialoguer entre potes ?
Mais je n’ai pas fini le livre... Peut-être se réveille-t-il dans la seconde moitié ?

A quand un réel débat entre personnes compétentes, afin que Soral, le plus souvent seul face caméra à monologuer, puisse être mis en face de contradicteurs équipés, parlant des mêmes sujets, et qui pourraient donner de la nuance, voire de la contradiction, étayée et construite, à ses analyses parfois uniquement provocantes (qui percutent et font réfléchir) et relevant de l’opinion. Mais où sont ces personnes ? existent-elles ? ou savent-elles toutes qu’elles ont perdu d’avance ? ou trop à perdre en confirmant certaines analyses soraliennes ?

Bref, un cadeau de noël idéal à offrir à tous vos proches dont le cerveau n’a pas encore été débranché de l’idéologie dominante.

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Décoiffant ! Je l’ai commencé hier, il se lit pratiquement d’une traite... Match passionnant, les coups ne sont pas épargnés de part et d’autre !

Alain Soral est au mieux de sa forme ! Son exécution du "mariage pour tous" est époustouflante ; consise, juste et bien ciblée. Ce à quoi Naulleau répond : "bigre, j’ai l’impression de t’avoir marché sur la queue !

Est-ce une impression parce que je suis du côté soralien, mais il me semble que Naulleau a du mal à esquiver les coups. Sonné, il continue à encaisser les attaques avec un sourire sarcastique mais quelque peu édenté tout de même... Mais, je ne l’ai pas encore fini...

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Naulleau, cheval de Troie de Soral face au système ???

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Super bouquin ! Malheureusement un peu trop court.
Je retiens une punchline de Soral :" C’est la connaissance qui guide la moral, pas la moral qui interdit la connaissance " (de tête donc c’est peut être pas exactement ça)
En tout cas c’est tout à l’honneur de Naulleau d’avoir accepté ce bouquin et d’en faire la promotion.

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Aujourd’hui, mercredi 6 novembre 2013 10 heures du matin, le bouquin est numéro 60 dans les ventes sur Amazon.

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Pour paraphraser un chanteur en vogue actuellement, ce livre tient en un mot : FORMIDABLE.

Accessible, ce livre se lit d’une traite, avec une envie dévorante de tourner la page suivante. Cette frénésie nous amène très vite à la fin du livre après en avoir parcouru le riche contenu, et les différents thèmes qu’il propose. Du divertissement au service de la culture.

Précis et soucieux du détail comme toujours sur les thèmes abordés, Soral et Naulleau sont au rendez-vous pour un échange de qualité, rythmé par quelques bons mots, voire même quelques fulgurances de styles ou autres formules magiques dont eux seuls ont le secret. Ils font du Soral, et du Naulleau.

La victoire de ce combat d’une grande qualité est toutefois à attribuer à Alain Soral, qui comme toujours ne se défile jamais face aux questions de son interlocuteur, tandis que ce dernier a, comme souvent, la fâcheuse tendance à sombrer dans le lyrisme, ou l’esquive esthétique, malheureusement au service du flou, mais le lecteur ne s’y trompera pas...

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J’ai acheté le livre hier qui ma été fortement déconseiller par le vendeur fnac...

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Lu ce matin d’une traite avant le petit dej. Ca se lit comme on regarde un combat de boxe : Soral, fin tacticien du combat idéologique, jab, crochette, pousse Naulleau dans les cordes, et lui ferme ses espaces mondains. Soral sautille légèrement avant de s’ancrer dans le concret pour lui délivrer un droite gauche que Naulleau prend en pleine face au son de cloche, qui le sauve et lui donne l’occasion d’entamer le round suivant avec une approche différente : tantôt frontale, tantôt avec ironie, mais jamais vraiment percutante. On espère une contre attaque de Naulleau, un sursaut d’honneur mais il s’était trompé dans sa préparation : il s’est entraîné avec des citations quand Soral s’est entraîné avec des concepts...On sort de ce combat avec l’impression que Naulleau, même si honnête et courageux d’entrer sur le ring avec Soral, n’en était qu’un sparring partner, alors que Soral, lui, revient dans l’arène médiatique plus affuté dans ses convictions. Soral aurait probablement pu mettre son adversaire K.O., notamment sur la question sociale économique, mais il préfère gagner chaque round des sujets aux points ; tactique subtile lui permettant a la fois de donner a Naulleau respect, ou en tout cas considération, pour le combat offert, mais aussi et surtout d’inviter d’autres prétendants a venir tourner avec lui, pour le titre suprême, et posthume.

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