« Le syndicalisme perd une grande figure », a réagi son successeur, Laurent Berger.
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François Chérèque a dirigé la CFDT de 2002 à 2012, où il a conforté la culture de la négociation. Il avait gravi un à un les échelons du syndicat avant d’être élu à sa tête au lendemain du revers électoral de la gauche, absente du second tour de l’élection présidentielle.
Il a passé la main à Laurent Berger en novembre 2012, pour rejoindre l’Inspection générale des affaires sociales et être chargé du suivi du plan gouvernemental sur la pauvreté. Il avait aussi, au même moment, pris la présidence de Terra Nova, centre de réflexion proche du PS.
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François Chérèque, symbole d’un syndicalisme compromis avec le Pouvoir ? Revoir l’analyse d’Alain Soral à propos de la classe ouvrière et des syndicats :