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Dans quelques jours ou semaines le bull run, qui dure quelques semaines ou quelques mois va arriver, comme tous les quatre ans, ce qui signifie que l’essentiel des actifs cryptos vont connaître en une courte période des multiples incroyables, des émotions, des gains et des pertes hors du commun. Et 90 % des investisseurs perdront, comme toujours.
Comme 99,9 % des français et 90 % des investisseurs cryptos, vous ne connaissez rien à la crypto, et ne savez pas quoi penser de cet investissement ressemblant à un énième Ponzi où la spéculation est la seule raison d’existence, comme le fabuleux Sestrel de l’ami Dieudonné qui a mis certains militants de la résistance dans une délicate situation.
Échanger la maison de famille ou l’or caché pour un actif immatériel se réduisant à un algorithme sur un ordinateur sent l’arnaque. Les voies du Seigneur comme celles du créateur du Bitcoin sont inconnues. A priori, oui... sauf que, de la même manière qu’il faut faire l’inverse de ce que dit BHL pour savoir quoi penser, il suffit d’écouter Christine Lagarde et l’Union européenne pour savoir dans quoi investir. Ce sont les meilleurs conseillers en investissement.
Le 19 mars 2024, « l’UE interdit les transactions anonymes de cryptomonnaies via des self custody wallet. Le Parlement européen a approuvé à la majorité l’interdiction le 19 mars, dans le cadre de la récente législation anti-blanchiment (AML). L’interdiction des paiements en cryptomonnaies s’applique spécifiquement aux wallets non enregistrés proposés par des fournisseurs de services, couvrant les self custody wallet fournis via des applications mobiles, de bureau ou de navigateur. Les lois approuvées devraient être pleinement opérationnelles dans les trois ans suivant leur entrée en vigueur ». La mise en place du communisme 2.0.
Pour les courageux qui veulent comprendre l’histoire profonde depuis les années 1980 de la création de la monnaie numérique, un entretien de Tim May, un des pères fondateurs du Bitcoin. « Si vous voulez innover, ne demandez pas l’autorisation », explique-t-il dans la vidéo.
Acheter du Bitcoin c’est joindre l’utile à l’agréable, s’enrichir en combattant le Système en quelques coups de clics. Il est hautement conseillé de se former pour comprendre les bases de ce système. Et sécuriser ses actifs. Vos actifs financiers sont déjà, de fait, des algorithmes appartenant à une banque. Mieux vaut que ces chiffres soient contrôlés par vous plutôt que par votre banque.
Il y a 62 millions de millionnaires dans le monde, beaucoup grâce aux cryptos, qui ne sont pas forcément des résistants ni des génies. Au-delà de la spéculation, la crypto ce n’est pas une pyramide de Ponzi ou la vente de pantalons à une jambe. Il y a 21 millions de Bitcoin, et le système de sécurité est probablement infalsifiable. Le seul vrai risque est une attaque 51, qu’une entité possède 51 % des BTC pour contrôler le marché.
Pour comprendre, il existe de très bons influenceurs français, à commencer par le Canadien judéo-critique Paul, qui flirte parfois avec la loi.
Il y aussi le sarcastique Jon Black, donnant cinq raisons de ne pas acheter du Bitcoin.
Enfin, le traditionnel mais non moins excellent Julian Roman.
Ces trois youtubeurs expliquent, pour résumer, que c’est maintenant qu’il faut investir. Il y a toutes les chances que tout monte de façon parabolique dans quelques jours ou semaines, répétant les cycles de quatre ans, de façon immuable, comme en 2013, 2017, 2021… 2025 ?
Le système de contrôle communiste français ne veut pas que vous vous enrichissiez ni que vous soyez libres. Il taxe votre héritage, dévalue votre monnaie, vous étrangle d’impôts, pour le donner soit aux millions d’Africains qui sont logés, soignés et payés, avec vos impôts, soit à Zelensky pour le génocide intra-européen. Soit au remboursement des intérêts de la dette. Communisme 2.0 français, alors que vos cryptos, sécurisées sur une clef, vous appartiennent pour l’éternité ! Vous ne serez pas obligés de financer une guerre inter-ethnique au cœur de l’Europe, ou l’appartement de Mamadou et ses sept enfants, pendant que vous vivez dans un magnifique deux pièces à Juvisy avec vos 3 000 euros par mois plus trois heures de RER au quotidien, somme colossale n’assurant pas une existence princière en Île-de-France.
La crypto n’est pas le paradis mais la solution du moment ! Le mystérieux Satoshi Nakamoto est peut-être une création de la CIA, il s’agit néanmoins de la quatrième révolution industrielle. Il n’y a pas à l’aimer ou pas – c’est plutôt répugnant –, comme le montre Jacques Ellul, elle est inéluctable, la technologie finit toujours par s’imposer. Il n’y aura pas de coupure de l’électricité.
Dans cinq à huit ans la monnaie numérique – CBDC – doit voir le jour dans la zone euro, ainsi que le contrôle total de nos vies, il sera temps de songer à d’autres systèmes de survie. Pour la première fois dans l’histoire, notre existence sera conditionnée à certains actes accomplis. Les dirigeants auront le pouvoir absolu sur nos existences par l’informatique, toutes les données étant reliées et centralisées. Ce n’est qu’une question de temps. La crypto c’est comme prendre le virage de l’Internet vers 2000, une étrange nouveauté qui devient en quelques années – malheureusement – indispensable.
La France, toujours à la traîne, commence tout juste à parler crypto du bout des lèvres, comme elle restait encore à utiliser le Minitel en 2000 quand tous les foyers s’équipaient d’Internet. Vingt-cinq ans après, sans être trop complotiste, on peut penser que l’échec du Minitel, qui est un pré-Internet, fut sûrement piloté, par « l’État profond » et le fameux génie Mark Zuckerberg.
La France était à la pointe des télécommunications alors avec Alcatel. On peut lire Le Piège américain qui explique comment tout le génie français fut lentement et brutalement démembré en soixante ans.
Pas sûr que l’élection de Trump change grand-chose à l’échiquier mondial, mais elle officialise l’institutionnalisation des cryptos comme actif officiel, qui serait arrivé de toute façon. Sans mettre la dote de votre fille en bitcoins ou en sestrels, il est indispensable de se former aux b.a.-ba de ce système, avant qu’il ne vous soit imposé.
