À Plouvara, la famille Schwartz doit finir de rénover sa maison avant cet hiver, sous peine de voir ses enfants placés dans un gîte d’accueil. Elle lance un appel à la générosité.
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Ophélie et Didier se sont rencontrés il y a deux ans et demi. Jusqu’au mois d’avril dernier, ils vivaient dans un appartement, à Châtelaudren, avec leurs sept enfants. Pour plus de confort, ils ont décidé de retaper la maison de Didier, à Plouvara. Mais, rapidement, les finances ne suivent plus.
La famille n’a d’autre choix que de quitter l’appartement et venir s’installer sur le terrain de la maison. Le couple et un bébé vivent dans une caravane aménagée, les autres enfants, dans un chalet installé dans le jardin.
Didier décide d’arrêter de travailler pour consacrer tout son temps à la rénovation. Mais les travaux n’avancent pas comme prévu. Et à l’angoisse des travaux qui n’en finissent pas s’est ajoutée une nouvelle inquiétude, il y a deux semaines : celle de voir les enfants placés dans un gîte d’accueil « si la sécurité et le confort de la maison ne s’améliorent pas d’ici l’hiver ».
Cet ultimatum a été lancé par l’éducatrice du Centre social départemental (CSD) de Guingamp (qui suit régulièrement Ophélie et quatre de ses cinq enfants depuis le décès de son premier mari) et une représentante de la Protection maternelle infantile (PMI), venues prendre le pouls de l’avancée de la maison.
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