La raison d’être de la commission est la même que le vote.
Il suffit que vous y participiez pour que vous cautionniez le système que vous espériez amender.
En français, ça s’appelle un piège à cons.
Donc, la prochaine fois, inversez l’hypothèse de travail :
Que se serait-il passé si la commission avait démissionné en bloc ?
Ou que se passerait-il si un parti refusait sa participation à des élections "structurellement truqées" et invitait ses électeurs à aller à la pêche ?
Il se serait CONCRETEMENT , IMMEDIATEMENT ET EFFECTIVEMENT passé ceci :
La commission aurait invité les medias numériques à une conférence de presse pour leur donner le scoop ce qui aurait mis aussitôt le feu à toutes les rédactions mainstream.
Le parti aurait pu dire que le nombre des abstentionnistes = le nombre de ses sympathisants et qu’il est de tous les partis du régime le seul légitime.
Et alors ?
Alors la commission démissionnaire aurait pu appeler à la grève du vaccin.
Et le parti à la grève de l’impôt.
Que ces grèves soient ou non suivi d’effet n’auraient aucune importance puisque la grève ainsi appelée, par ce seul fait, sans l’accord des électeurs :
Le vaccin ne serait plus jamais obligatoire
Ni l’impôt !
Et donc voici faite la démonstration que commission et parti ne servent à rien puisqu’aussi longtemps que leur main qui reçoit leurs émoluements est en dessous de celle du pouvoir qui les nourrit :
Ils ont le droit de parler
mais à condition de ne rien dire.
C’est pour manger que le parti nous fait voter
Et pour continuer à manger que la commission ne démissionne pas.
Donnez-nous le droit de les nourrir,
Interdisez au pouvoir de le faire à notre place avec notre argent.
Et alors c’est sûr :
EM sera dans le goudron
Et VDL dans le goudron et les plumes.
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