Même si la Fed annonce une réduction de son plan d’aide, Christine Lagarde maintient le cap : dans la Zone euro, la politique monétaire continuera telle quelle, peu importe ce que font les autres banques centrales… [...]
Interrogée sur le taper (la réduction progressive de la taille du bilan d’une banque centrale), Christine Lagarde a répondu qu’elle ne coordonnerait pas sa politique avec les autres banques centrales, expliquant que, selon elle, « les comparaisons sont “odieuses”, simplement parce que nous n’avons pas les mêmes économies ».
En clair, cela voulait dire que la politique de soutien de la BCE continuerait même après le taper américain, que l’euro allait baisser par rapport au dollar, que l’or exprimé en euros allait monter et que les Bourses européennes allaient bénéficier de flux de capitaux spéculatifs. [...] Cela veut dire également que Lagarde recherche délibérément une inflation supérieure et une baisse du pouvoir d’achat des salaires. (la-chronique-agora.com )
L’Europe entre dans un cycle inflationniste voulu par ses dirigeants, au détriment des peuples, dont le pouvoir d’achat est en train de baisser.
C’est pendant ce temps que les dirigeants nationaux lancent des contre-feux sanitaires complètement insensés (vacciner les enfants de force, détruire les libertés de tous, vaccinés et non-vaccinés, surveiller et punir la liberté d’expression sur la politique de santé), histoire de cacher la réalité économico-sociale brutale. Nous ne somme pas encore en Allemagne en 1923, nous sommes en France en 2021, mais l’Histoire aime repasser les plats, avec parfois un peu plus, parfois un peu moins de piment.
« La seule solution consiste, dès l’automne 1923, à refonder la monnaie sur la richesse véritable. C’est ce qu’on appelle le Rentenmark. Une monnaie qui ne serait plus en elle-même garante du pouvoir d’achat, mais qui représenterait la vraie richesse, les usines, les champs, les banques allemandes, gagés sur le pouvoir de l’Allemagne, cette extraordinaires machine à créer de la richesse.
Cette histoire nous rappelle donc que les limites à la création monétaires sont doubles : elle dépendent des autres, usagers de la monnaie, à l’intérieur du pays et à l’extérieur, mais elles dépendent aussi de la capacité à toujours relier la monnaie, le signe monétaire, à la richesse véritable, à la richesse qu’on appelle parfois réelle. »
Ce que dit cet universitaire à propos de l’Allemagne de 1923 résonne à nos oreilles de petits Français de 2021, en ce sens que le covidisme, cette agression mondialiste programmée contre les peuples, leurs économies et leurs richesses (il s’agit d’un vulgaire braquage universel, total, sur toutes les richesses du monde), a l’effet d’une guerre atomique en termes de destruction de valeur.
Pour résumer, la politique de madame Lagarde a quatre conséquences :
elle accélère les hausses de prix et la baisse de pouvoir d’achat en Europe ;
elle entretient l’exubérance folle sur les marchés financiers ;
elle crée des tensions fortes en Allemagne ;
elle accentue les risques pour la stabilité financière dans le monde.
En France, on le sait, sous le régime du petit banquier de Rothschild, même pas brillant d’ailleurs, la France est décarcassée par les traîtres à la patrie, du moins ceux qui n’en ont rien à foutre de la patrie et qui la vendent par morceaux aux Américains (ou aux Allemands), tout en prenant leur pourcentage au passage. C’est le fameux pacte de corruption macronien développé par Faits & Documents.
Même si le lecteur français moyen est réticent à se plonger dans l’économie et la monnaie, il faut bien comprendre ce qui se trame dans l’ombre, dont nous ne voyons rien ou presque, mais qui change brutalement le visage de notre pays, et à marche forcée, transformant nos champs et nos usines en terrains hachés par les bombardements mondialistes.
C’est une sorte de nouvelle guerre de 14, et si l’on ne fait rien, si l’on ne comprend pas ce qui se trame, notre chère France risque de ressembler à la terre retournée de Champagne en 1917, la fameuse zone rouge, que Wikipédia définit ainsi :
La zone rouge est le nom donné en France à environ 120 000 hectares de champ de bataille où, à cause de dégâts physiques majeurs sur le milieu pendant la Première Guerre mondiale et en raison de la présence de milliers de cadavres et de millions de munitions non explosées, certaines activités ont été provisoirement ou définitivement interdites par la loi. Alors que la période du tout début de la reconstruction est relativement pauvre en archives, la seule existence de ce zonage permet d’appréhender la difficulté et les enjeux de la reconstruction.
La reconstruction après la destruction, c’est évidemment l’objectif des puissances mondialistes (Big Pharma, Big Tech, Big Bank, c’est-à-dire ces fonds de pension qui sont déjà plus puissants que des États).
Actuellement, la BCE, faisant croire aux peuples européens qu’elle soutient l’activité, est au contraire en train de détruire la production (sous le prétexte de l’écologie) et le pouvoir d’achat (là, sous aucun prétexte). En 2008, ce sont principalement les banques qui avaient été sauvées par le plan Sarkozy ; en 2021, les centaines de milliards injectés dans l’économie et reliés à aucune activité réelle (bien au contraire), vont faire l’effet d’une bombe.
Déjà, on l’a vu, tout le monde peut le voir, les prix grimpent. Certes, on ne va pas aller acheter sa baguette avec une brouette de billets, et d’ailleurs, les billets vont disparaître progressivement d’ici deux ans, comme ça tout le monde sera tracé, par sa carte bleue, mais aussi son mobile et son pass sanitaire. Avec le passeport numérique, l’Union européenne montre son vrai visage, pour le coup soviétique, et le mauvais côté du soviétisme, celui de la surveillance et de la répression acharnées, pas celui du soutien social.
Rions avec Alexandre Bompard, PDG de Carrefour
En 2020, il a touché 1,5 million d’euros de rémunération fixe, 2,47 millions d’euros de rémunération variable, plus une attribution d’actions de performance à hauteur de 3,975 millions d’euros qu’il touchera le 26 février 2023 « sous réserve que les conditions de performance aient été atteintes » et qu’il soit toujours présent au sein de l’entreprise. Pour 2021, sa rémunération fixe restera inchangée (comme depuis 2017), mais le plafond maximum de la rémunération variable a été relevé à 190 % de la rémunération fixe, contre 165 % précédemment. L’attribution d’actions de performance est également prévue. « Nous estimons la politique de rémunération non conforme aux résultats sociaux », explique Sylvain Macé.
Déjà, pour lui, tout va mieux (normal, vu son salaire décortiqué par Capital), le néolibéralisme macronien a vaincu la crise. Mais il aborde ensuite le chapitre des prix, et là, c’est plus la même saucisse. Alex ne dit pas que ses clients sont de plus en plus pauvres, il préfère dire :
« Il y a une appétence, il y a un besoin d’aller vers les premiers prix »
Sur le « pacte de corruption » et l’affaire Alstom,
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